
Les efforts de Varsovie et de Kyiv pour mettre fin à un blocus de sept semaines organisé par des camionneurs polonais n’ont pas encore permis de débloquer la situation aux principaux points de passage. Au matin du 29 décembre, la Garde frontalière polonaise signalait environ 3 300 poids lourds en attente d’entrer en Ukraine via Rava-Ruska/Hrebenne, Krakivets/Korczowa et Yahodyn/Dorohusk. Sur certaines voies, l’attente dépasse 60 heures, immobilisant des cargaisons automobiles et agroalimentaires essentielles aux chaînes d’approvisionnement régionales.
Les chauffeurs polonais ont lancé cette protestation le 6 novembre, dénonçant une concurrence jugée déloyale de la part des transporteurs ukrainiens exemptés de permis. Malgré un « plan d’action » négocié par le gouvernement le 22 décembre, les manifestants ne laissent passer qu’un véhicule par heure, à l’exception des cargaisons humanitaires et périssables.
Si le personnel ou les sous-traitants de votre organisation doivent modifier leurs itinéraires en raison de cette perturbation, VisaHQ peut les aider à obtenir rapidement des visas de transit alternatifs ou des autorisations de déviation. Le centre polonais du service (https://www.visahq.com/poland/) offre des conseils en temps réel, des demandes en ligne et des options de livraison de documents, garantissant ainsi la conformité et la mobilité du personnel même en cas de changements soudains aux frontières.
Pour les fabricants multinationales dépendant des flux de pièces en juste-à-temps entre usines polonaises et ukrainiennes, la perturbation commence à se faire sentir. Deux fournisseurs automobiles de rang 1 en Silésie ont indiqué à la Confédération des employeurs polonais qu’ils suspendraient les équipes du week-end si les files d’attente persistent après le Nouvel An, ce qui pourrait concerner 3 000 salariés. Les entreprises de logistique dévient leurs trajets via la Slovaquie, ajoutant 250 km et jusqu’à 600 € par aller-retour.
Les équipes de mobilité internationale doivent avertir les collaborateurs détachés que les passages concernés restent imprévisibles ; les déplacements pour audits ou visites de maintenance doivent être réorientés ou reportés. Les employeurs expédiant des effets personnels aux employés en mobilité risquent des frais de surestarie si les camions manquent les créneaux des ferries à Gdańsk–Karlskrona et sur d’autres routes de la Baltique.
Les chauffeurs polonais ont lancé cette protestation le 6 novembre, dénonçant une concurrence jugée déloyale de la part des transporteurs ukrainiens exemptés de permis. Malgré un « plan d’action » négocié par le gouvernement le 22 décembre, les manifestants ne laissent passer qu’un véhicule par heure, à l’exception des cargaisons humanitaires et périssables.
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