
Pour la première fois depuis que la Pologne a commencé à numériser son réseau consulaire, tous les consulats et sections consulaires polonais dans le monde ont fermé simultanément du 24 au 28 décembre. Le ministère des Affaires étrangères (MAE) a confirmé cette interruption sur le portail e-Konsulat et via les lignes d’assistance consulaires, invoquant l’ajout de la veille de Noël comme nouveau jour férié légal. Pendant cette période de quatre jours, aucune demande de visa national ou Schengen n’a été acceptée, aucun passeport n’a été délivré, et aucun service d’authentification légale n’a été traité.
Cette fermeture a pris de court de nombreux responsables mobilité et relocalisation, car les années précédentes, au moins une journée ouvrable séparait Noël du Nouvel An, permettant des dépôts urgents. Cette année, même les canaux de secours nationaux ont fait défaut : les bureaux des voïvodies, qui acceptent normalement les prolongations de permis de séjour de dernière minute, ainsi que les guichets de la Police aux frontières dans les principaux aéroports, étaient également fermés. En conséquence, les employés étrangers dont les permis ont expiré pendant les fêtes n’ont pas pu déposer leurs demandes de renouvellement à temps, augmentant les risques de dépassement de séjour et les problèmes potentiels de continuité d’activité pour les employeurs.
Dans les situations où une fermeture consulaire soudaine compromet les délais de voyage et d’immigration, VisaHQ peut intervenir comme solution efficace. Via son portail dédié à la Pologne (https://www.visahq.com/poland/), ce service centralise les créneaux disponibles, automatise les alertes, et propose des options de vérification des documents et de courrier, aidant ainsi les entreprises à rediriger les dossiers urgents ou à transférer les demandes vers d’autres consulats, minimisant ainsi les retards coûteux lorsque les canaux officiels sont hors service.
Concrètement, ce gel signifie que les demandes déposées après le 18 décembre ne bénéficieront pas de rendez-vous biométriques avant janvier, repoussant les premières dates de voyage disponibles à février pour certains postes à forte affluence comme New Delhi, Londres ou Riyad. Les entreprises prévoyant des prises de poste en janvier pour de nouveaux collaborateurs doivent désormais faire face à des retards coûteux ou envisager de réorienter leurs talents via des régimes de détachement intra-UE. Ce goulot d’étranglement devrait se prolonger jusqu’au premier trimestre 2026, période durant laquelle la Pologne quadruplera simultanément les frais de permis de séjour et transférera toutes les démarches vers le nouveau portail MOS2.
Les spécialistes de la mobilité sont invités à vérifier les populations en mission dont les permis expirent début janvier et à préparer des lettres de justification en cas de dépassement de séjour dû à l’impossibilité de déposer une demande de renouvellement. Les équipes RH doivent également informer les voyageurs d’affaires que les consulats polonais feront face à un retard record lors de la première semaine de janvier et planifier les itinéraires en conséquence. Le MAE n’a pas encore annoncé d’heures d’ouverture compensatoires le week-end, si bien que la demande accumulée se concentrera le 2 janvier, date de reprise normale des services.
Cette fermeture a pris de court de nombreux responsables mobilité et relocalisation, car les années précédentes, au moins une journée ouvrable séparait Noël du Nouvel An, permettant des dépôts urgents. Cette année, même les canaux de secours nationaux ont fait défaut : les bureaux des voïvodies, qui acceptent normalement les prolongations de permis de séjour de dernière minute, ainsi que les guichets de la Police aux frontières dans les principaux aéroports, étaient également fermés. En conséquence, les employés étrangers dont les permis ont expiré pendant les fêtes n’ont pas pu déposer leurs demandes de renouvellement à temps, augmentant les risques de dépassement de séjour et les problèmes potentiels de continuité d’activité pour les employeurs.
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Concrètement, ce gel signifie que les demandes déposées après le 18 décembre ne bénéficieront pas de rendez-vous biométriques avant janvier, repoussant les premières dates de voyage disponibles à février pour certains postes à forte affluence comme New Delhi, Londres ou Riyad. Les entreprises prévoyant des prises de poste en janvier pour de nouveaux collaborateurs doivent désormais faire face à des retards coûteux ou envisager de réorienter leurs talents via des régimes de détachement intra-UE. Ce goulot d’étranglement devrait se prolonger jusqu’au premier trimestre 2026, période durant laquelle la Pologne quadruplera simultanément les frais de permis de séjour et transférera toutes les démarches vers le nouveau portail MOS2.
Les spécialistes de la mobilité sont invités à vérifier les populations en mission dont les permis expirent début janvier et à préparer des lettres de justification en cas de dépassement de séjour dû à l’impossibilité de déposer une demande de renouvellement. Les équipes RH doivent également informer les voyageurs d’affaires que les consulats polonais feront face à un retard record lors de la première semaine de janvier et planifier les itinéraires en conséquence. Le MAE n’a pas encore annoncé d’heures d’ouverture compensatoires le week-end, si bien que la demande accumulée se concentrera le 2 janvier, date de reprise normale des services.










