
À Manama, le 29 décembre, le secrétaire au Commerce Sunil Barthwal et sa consœur bahreïnie Eman Al-Doseri ont échangé les termes de référence pour lancer les négociations d’un Accord global de partenariat économique (CEPA). Si les gros titres mettent l’accent sur la réduction des tarifs douaniers, la mobilité est au cœur des discussions : des responsables bahreïnis ont confirmé qu’Inde a insisté pour un chapitre dédié à l’entrée temporaire des hommes d’affaires, des professionnels de la santé et du secteur de l’hôtellerie, des secteurs où la pénurie de main-d’œuvre dans le Golfe est particulièrement aiguë.
Un groupe de travail conjoint sur le commerce et l’investissement va désormais rédiger un texte couvrant la reconnaissance mutuelle des qualifications et la délivrance accélérée de visas à entrées multiples pour des missions allant jusqu’à 90 jours. Les géants indiens de la construction Larsen & Toubro et Shapoorji Pallonji, déjà des acteurs majeurs à Bahreïn, estiment que des cycles de permis plus rapides pourraient réduire de plusieurs semaines la mobilisation des projets.
Les professionnels désireux de saisir ces nouvelles opportunités peuvent simplifier leurs démarches via le portail indien de VisaHQ (https://www.visahq.com/india/), qui offre un accompagnement pas à pas pour les visas d’affaires, de travail et de visite à destination de Bahreïn. La plateforme rassemble les documents nécessaires, suit les demandes en temps réel et informe les utilisateurs des dernières évolutions liées au CEPA, constituant ainsi un outil précieux pendant que les deux gouvernements peaufinent leurs règles de mobilité.
Pour l’Inde, le Golfe reste la première destination des travailleurs expatriés : plus de 9 millions d’Indiens résident dans les États du CCG, et les envois de fonds en provenance de cette région ont dépassé 50 milliards de dollars US lors du dernier exercice fiscal. Le CEPA pourrait standardiser les mécanismes de résolution des litiges et faciliter la transférabilité des employés indiens, répondant ainsi à des préoccupations sociales de longue date.
Les négociateurs espèrent conclure l’accord dans un délai d’un an, à l’image du CEPA accéléré signé avec les Émirats arabes unis en 2022. Les chambres de commerce des deux pays se montrent optimistes : « Un CEPA favorable à la mobilité dynamisera la collaboration dans la fintech et les énergies renouvelables », a déclaré Abdulnabi Al-Shola de la Bahrain India Society.
Si l’accord aboutit, il renforcera la présence de l’Inde au Moyen-Orient et offrira aux entreprises une voie réglementée pour faire circuler les talents entre l’Asie du Sud et le Golfe.
Un groupe de travail conjoint sur le commerce et l’investissement va désormais rédiger un texte couvrant la reconnaissance mutuelle des qualifications et la délivrance accélérée de visas à entrées multiples pour des missions allant jusqu’à 90 jours. Les géants indiens de la construction Larsen & Toubro et Shapoorji Pallonji, déjà des acteurs majeurs à Bahreïn, estiment que des cycles de permis plus rapides pourraient réduire de plusieurs semaines la mobilisation des projets.
Les professionnels désireux de saisir ces nouvelles opportunités peuvent simplifier leurs démarches via le portail indien de VisaHQ (https://www.visahq.com/india/), qui offre un accompagnement pas à pas pour les visas d’affaires, de travail et de visite à destination de Bahreïn. La plateforme rassemble les documents nécessaires, suit les demandes en temps réel et informe les utilisateurs des dernières évolutions liées au CEPA, constituant ainsi un outil précieux pendant que les deux gouvernements peaufinent leurs règles de mobilité.
Pour l’Inde, le Golfe reste la première destination des travailleurs expatriés : plus de 9 millions d’Indiens résident dans les États du CCG, et les envois de fonds en provenance de cette région ont dépassé 50 milliards de dollars US lors du dernier exercice fiscal. Le CEPA pourrait standardiser les mécanismes de résolution des litiges et faciliter la transférabilité des employés indiens, répondant ainsi à des préoccupations sociales de longue date.
Les négociateurs espèrent conclure l’accord dans un délai d’un an, à l’image du CEPA accéléré signé avec les Émirats arabes unis en 2022. Les chambres de commerce des deux pays se montrent optimistes : « Un CEPA favorable à la mobilité dynamisera la collaboration dans la fintech et les énergies renouvelables », a déclaré Abdulnabi Al-Shola de la Bahrain India Society.
Si l’accord aboutit, il renforcera la présence de l’Inde au Moyen-Orient et offrira aux entreprises une voie réglementée pour faire circuler les talents entre l’Asie du Sud et le Golfe.






