
Une nouvelle vague de perturbations du trafic aérien secoue l’Europe de l’Ouest, laissant des centaines de voyageurs d’affaires et de touristes suisses bloqués à l’aéroport de Genève à quelques jours du réveillon du Nouvel An. Selon AirHelp, spécialiste des droits des passagers, 469 vols ont été retardés et 33 annulés le 26 décembre, Genève figurant parmi les quatre aéroports les plus touchés aux côtés de Londres Heathrow, Dublin et Francfort.
L’analyse publiée le 29 décembre révèle que les répercussions se font encore sentir, les compagnies aériennes devant jongler avec la rotation des équipages, le positionnement des avions et une capacité limitée en pleine saison haute.
Si aucune compagnie n’a donné de cause unique, les autorités suisses de l’aviation évoquent une « tempête parfaite » mêlant fronts météorologiques hivernaux, ressources au sol débordées et pénurie persistante de personnel navigant, un fléau depuis la reprise post-pandémie. Pour les entreprises basées à Genève, le timing est particulièrement mauvais : de nombreuses réunions de lancement en présentiel sont prévues début janvier, et les responsables voyages doivent désormais réacheminer les collaborateurs via Zurich ou par train.
Les compagnies British Airways, Brussels Airlines et Air France concentrent la majorité des départs affectés, tandis que Swiss International Air Lines signale aussi plusieurs retards sur les navettes domestiques vers Zurich et les vols internationaux vers London City et Paris-CDG.
Pour les voyageurs redirigés vers des hubs hors Schengen ou contraints de prolonger leur séjour, VisaHQ peut rapidement vérifier si un visa ou une autorisation de voyage mise à jour est nécessaire et gérer la demande en ligne. Sa page dédiée à la Suisse (https://www.visahq.com/switzerland/) recense en temps réel les règles d’entrée pour plus de 200 destinations et propose un traitement express, offrant ainsi une tranquillité d’esprit aux passagers loisirs comme aux équipes voyages d’entreprise en pleine tourmente saisonnière.
Selon le règlement européen 261/2004 — appliqué en Suisse via l’Ordonnance sur les droits des passagers aériens — les voyageurs peuvent prétendre à une indemnisation pouvant aller jusqu’à 600 € si la perturbation est imputable à la compagnie et entraîne un retard à l’arrivée de plus de trois heures. Toutefois, les incidents liés à la météo ou au contrôle aérien sont exclus, laissant de nombreux passagers dans l’incertitude quant à un éventuel remboursement. Les spécialistes de la mobilité recommandent aux entreprises de bien conserver cartes d’embarquement et notifications de retard, et de déposer les réclamations rapidement, certaines compagnies imposant des délais stricts.
L’aéroport de Genève a renforcé son personnel d’accueil et ouvert un salon supplémentaire dans l’ancienne zone T2, tout en avertissant que les files de sécurité pourraient dépasser 90 minutes lors de l’affluence des 29 et 30 décembre. Il rappelle également aux voyageurs en zone Schengen que les bornes automatiques de contrôle des passeports restent accessibles 24h/24, ce qui peut réduire le temps de correspondance de quelques minutes.
Pour l’heure, les services RH suisses suivent la situation au fil des heures et incitent les employés à s’enregistrer en ligne, à voyager avec un bagage cabine lorsque c’est possible, et à garder des itinéraires flexibles jusqu’à la première semaine de janvier. Si les météorologues annoncent un temps plus calme à partir du 31 décembre, les responsables des opérations aériennes admettent qu’il faudra plusieurs jours — et des heures supplémentaires conséquentes — pour stabiliser pleinement les réseaux européens.
L’analyse publiée le 29 décembre révèle que les répercussions se font encore sentir, les compagnies aériennes devant jongler avec la rotation des équipages, le positionnement des avions et une capacité limitée en pleine saison haute.
Si aucune compagnie n’a donné de cause unique, les autorités suisses de l’aviation évoquent une « tempête parfaite » mêlant fronts météorologiques hivernaux, ressources au sol débordées et pénurie persistante de personnel navigant, un fléau depuis la reprise post-pandémie. Pour les entreprises basées à Genève, le timing est particulièrement mauvais : de nombreuses réunions de lancement en présentiel sont prévues début janvier, et les responsables voyages doivent désormais réacheminer les collaborateurs via Zurich ou par train.
Les compagnies British Airways, Brussels Airlines et Air France concentrent la majorité des départs affectés, tandis que Swiss International Air Lines signale aussi plusieurs retards sur les navettes domestiques vers Zurich et les vols internationaux vers London City et Paris-CDG.
Pour les voyageurs redirigés vers des hubs hors Schengen ou contraints de prolonger leur séjour, VisaHQ peut rapidement vérifier si un visa ou une autorisation de voyage mise à jour est nécessaire et gérer la demande en ligne. Sa page dédiée à la Suisse (https://www.visahq.com/switzerland/) recense en temps réel les règles d’entrée pour plus de 200 destinations et propose un traitement express, offrant ainsi une tranquillité d’esprit aux passagers loisirs comme aux équipes voyages d’entreprise en pleine tourmente saisonnière.
Selon le règlement européen 261/2004 — appliqué en Suisse via l’Ordonnance sur les droits des passagers aériens — les voyageurs peuvent prétendre à une indemnisation pouvant aller jusqu’à 600 € si la perturbation est imputable à la compagnie et entraîne un retard à l’arrivée de plus de trois heures. Toutefois, les incidents liés à la météo ou au contrôle aérien sont exclus, laissant de nombreux passagers dans l’incertitude quant à un éventuel remboursement. Les spécialistes de la mobilité recommandent aux entreprises de bien conserver cartes d’embarquement et notifications de retard, et de déposer les réclamations rapidement, certaines compagnies imposant des délais stricts.
L’aéroport de Genève a renforcé son personnel d’accueil et ouvert un salon supplémentaire dans l’ancienne zone T2, tout en avertissant que les files de sécurité pourraient dépasser 90 minutes lors de l’affluence des 29 et 30 décembre. Il rappelle également aux voyageurs en zone Schengen que les bornes automatiques de contrôle des passeports restent accessibles 24h/24, ce qui peut réduire le temps de correspondance de quelques minutes.
Pour l’heure, les services RH suisses suivent la situation au fil des heures et incitent les employés à s’enregistrer en ligne, à voyager avec un bagage cabine lorsque c’est possible, et à garder des itinéraires flexibles jusqu’à la première semaine de janvier. Si les météorologues annoncent un temps plus calme à partir du 31 décembre, les responsables des opérations aériennes admettent qu’il faudra plusieurs jours — et des heures supplémentaires conséquentes — pour stabiliser pleinement les réseaux européens.







