
De fortes perturbations en chaîne le 28 décembre ont affecté les trois aéroports les plus fréquentés d’Australie — Sydney, Melbourne Tullamarine et Brisbane — après que des problèmes techniques et de personnel ont contraint Air New Zealand et Jetstar à annuler plus d’une douzaine de vols et à retarder des centaines d’autres. Les données compilées par FlightAware et rapportées par le média spécialisé *Travel and Tour World* indiquent que Sydney a enregistré 3 annulations et 95 retards, Melbourne 1 annulation et 120 retards, et Brisbane 1 annulation et 90 retards. De l’autre côté du détroit de Tasman, Auckland, Wellington et Christchurch ont connu des perturbations similaires, laissant des milliers de voyageurs estivaux bloqués.
Alors que la météo était clémente, les sources évoquent des pénuries de personnel au sol, des problèmes en cascade liés à la rotation des avions et une défaillance informatique dans le système de gestion des équipages d’Air New Zealand. Jetstar, opérant à pleine capacité estivale, disposait de peu d’avions de réserve pour rattraper le retard accumulé. Qantas et Virgin ont également dû réorganiser les passagers dont les correspondances avaient été manquées.
Pour les voyageurs redirigés ou contraints de transiter par des escales imprévues, disposer des bons documents est crucial. Le portail VisaHQ pour l’Australie (https://www.visahq.com/australia/) permet d’accélérer les demandes de visa électronique, les renouvellements de passeport et autres services consulaires en quelques heures, offrant ainsi aux gestionnaires de mobilité et aux passagers une tranquillité d’esprit pendant que les compagnies aériennes s’efforcent de résoudre ces dysfonctionnements.
Pour les responsables des déplacements professionnels, l’ampleur des perturbations illustre le peu de marge de manœuvre dans les horaires trans-Tasman en pleine période de vacances. Les correspondances manquées peuvent entraîner des retards de plusieurs jours pour les employés se déplaçant entre les sièges australiens et les chantiers néo-zélandais. Les entreprises sont donc invitées à : (1) réserver des billets flexibles avec clauses de modification sans pénalité ; (2) répartir les membres clés du personnel sur des dossiers de réservation distincts pour éviter les blocages lors des réajustements de groupe ; et (3) rappeler aux voyageurs de conserver leurs reçus afin de pouvoir réclamer les frais d’hôtels ou de repas hors politique auprès des assureurs ou des compagnies aériennes.
Les organismes touristiques craignent que la prolongation de ces irrégularités ne freine les retombées économiques habituellement générées par le trafic touristique entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Les hôtels de Sydney et Queenstown rapportent déjà des arrivées tardives et des séjours écourtés. Les aéroports réévaluent leurs effectifs de secours et envisagent un assouplissement temporaire des couvre-feux pour résorber les retards si ceux-ci persistent après le Nouvel An.
Côté positif, les deux gouvernements prévoient une augmentation des capacités en 2026, avec Qantas qui ajoutera 60 000 sièges et Air New Zealand qui remettra en service des avions gros-porteurs sur les lignes clés. D’ici là, les gestionnaires de voyages sont invités à suivre en temps réel les applications des compagnies aériennes et à intégrer des marges de sécurité dans les plannings de déplacement des collaborateurs.
Alors que la météo était clémente, les sources évoquent des pénuries de personnel au sol, des problèmes en cascade liés à la rotation des avions et une défaillance informatique dans le système de gestion des équipages d’Air New Zealand. Jetstar, opérant à pleine capacité estivale, disposait de peu d’avions de réserve pour rattraper le retard accumulé. Qantas et Virgin ont également dû réorganiser les passagers dont les correspondances avaient été manquées.
Pour les voyageurs redirigés ou contraints de transiter par des escales imprévues, disposer des bons documents est crucial. Le portail VisaHQ pour l’Australie (https://www.visahq.com/australia/) permet d’accélérer les demandes de visa électronique, les renouvellements de passeport et autres services consulaires en quelques heures, offrant ainsi aux gestionnaires de mobilité et aux passagers une tranquillité d’esprit pendant que les compagnies aériennes s’efforcent de résoudre ces dysfonctionnements.
Pour les responsables des déplacements professionnels, l’ampleur des perturbations illustre le peu de marge de manœuvre dans les horaires trans-Tasman en pleine période de vacances. Les correspondances manquées peuvent entraîner des retards de plusieurs jours pour les employés se déplaçant entre les sièges australiens et les chantiers néo-zélandais. Les entreprises sont donc invitées à : (1) réserver des billets flexibles avec clauses de modification sans pénalité ; (2) répartir les membres clés du personnel sur des dossiers de réservation distincts pour éviter les blocages lors des réajustements de groupe ; et (3) rappeler aux voyageurs de conserver leurs reçus afin de pouvoir réclamer les frais d’hôtels ou de repas hors politique auprès des assureurs ou des compagnies aériennes.
Les organismes touristiques craignent que la prolongation de ces irrégularités ne freine les retombées économiques habituellement générées par le trafic touristique entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Les hôtels de Sydney et Queenstown rapportent déjà des arrivées tardives et des séjours écourtés. Les aéroports réévaluent leurs effectifs de secours et envisagent un assouplissement temporaire des couvre-feux pour résorber les retards si ceux-ci persistent après le Nouvel An.
Côté positif, les deux gouvernements prévoient une augmentation des capacités en 2026, avec Qantas qui ajoutera 60 000 sièges et Air New Zealand qui remettra en service des avions gros-porteurs sur les lignes clés. D’ici là, les gestionnaires de voyages sont invités à suivre en temps réel les applications des compagnies aériennes et à intégrer des marges de sécurité dans les plannings de déplacement des collaborateurs.







