
Dans une décision surprise en fin d’année, le Cabinet des Émirats arabes unis a approuvé une refonte majeure du règlement sur l’immigration, introduisant quatre nouveaux types de visas de visite destinés à combler les lacunes en compétences et à dynamiser des secteurs clés des services. Publiée le 27 décembre et applicable immédiatement, cette résolution crée : (1) un Visa Spécialiste en IA pour les scientifiques en intelligence artificielle, ingénieurs de données et autres experts en technologies de pointe, (2) un Visa Divertissement destiné aux artistes et équipes techniques, (3) un Visa Événements pour les organisateurs de conférences et d’expositions, et (4) un Visa Tourisme Maritime pour les équipages de super-yachts et le personnel de l’industrie des croisières. Les entreprises autorisées dans chaque domaine peuvent parrainer des permis d’entrée simple ou multiple valables jusqu’à 90 jours, renouvelables sur place à une fraction du coût d’un visa de résidence d’un an classique.
Selon des sources proches des zones franches de Dubaï, le Visa Spécialiste seul permettra aux employeurs d’économiser près de 10 000 AED par candidat en frais de dépôt, examens médicaux et cartes d’identité Emirates, tout en offrant aux entreprises une période d’essai flexible pour évaluer les talents avant de s’engager dans un parrainage complet. Cette mesure devrait également réduire le phénomène de « contrats fantômes », où des freelances travaillent sous couvert de visas touristiques, un problème récurrent pour les responsables mobilité.
Pour les multinationales, la priorité immédiate est la révision des politiques internes. Les équipes RH doivent mettre à jour les modèles de lettres de mission, les matrices d’assurance santé et les barèmes de per diem, car ces nouvelles catégories sont officiellement des visas de « visite » et non de « résidence », ce qui impacte les droits des ayants droit et les options scolaires. Les services de paie doivent noter que les titulaires de ces visas restent en dehors du régime de sécurité sociale des Émirats et ne sont pas concernés par le futur régime d’imposition sur le revenu prévu pour 2026.
Les entreprises nécessitant un accompagnement pratique pour ces nouveaux permis peuvent s’appuyer sur l’expertise de VisaHQ ; la plateforme dédiée aux Émirats arabes unis (https://www.visahq.com/united-arab-emirates/) facilite le dépôt des demandes, le suivi en temps réel des approbations et la gestion des renouvellements pour les quatre types de visas, permettant aux équipes RH et mobilité de rester conformes sans être submergées par la paperasse.
Concrètement, le principal avantage est la rapidité. Les conseillers en immigration rapportent que les demandes de Visa Spécialiste en IA peuvent être déposées entièrement en ligne via le portail ICP, avec des approbations sous 48 heures si les licences d’entreprise mentionnent clairement les activités liées à l’IA. C’est une amélioration notable par rapport aux deux semaines habituelles pour les visas de mission classiques. Les entreprises recrutant déjà des talents technologiques pour des projets du premier trimestre sont invitées à adopter immédiatement cette nouvelle procédure.
Pour l’agenda plus large des talents aux Émirats, cette réforme marque le retour des permis d’entrée sectoriels dans la stratégie migratoire. Les observateurs anticipent l’apparition de nouvelles catégories — telles que FinTech et Gaming — dès 2026, alors que les Émirats rivalisent pour attirer des compétences de niche et alignent leur politique de visas sur leurs feuilles de route économiques sectorielles.
Selon des sources proches des zones franches de Dubaï, le Visa Spécialiste seul permettra aux employeurs d’économiser près de 10 000 AED par candidat en frais de dépôt, examens médicaux et cartes d’identité Emirates, tout en offrant aux entreprises une période d’essai flexible pour évaluer les talents avant de s’engager dans un parrainage complet. Cette mesure devrait également réduire le phénomène de « contrats fantômes », où des freelances travaillent sous couvert de visas touristiques, un problème récurrent pour les responsables mobilité.
Pour les multinationales, la priorité immédiate est la révision des politiques internes. Les équipes RH doivent mettre à jour les modèles de lettres de mission, les matrices d’assurance santé et les barèmes de per diem, car ces nouvelles catégories sont officiellement des visas de « visite » et non de « résidence », ce qui impacte les droits des ayants droit et les options scolaires. Les services de paie doivent noter que les titulaires de ces visas restent en dehors du régime de sécurité sociale des Émirats et ne sont pas concernés par le futur régime d’imposition sur le revenu prévu pour 2026.
Les entreprises nécessitant un accompagnement pratique pour ces nouveaux permis peuvent s’appuyer sur l’expertise de VisaHQ ; la plateforme dédiée aux Émirats arabes unis (https://www.visahq.com/united-arab-emirates/) facilite le dépôt des demandes, le suivi en temps réel des approbations et la gestion des renouvellements pour les quatre types de visas, permettant aux équipes RH et mobilité de rester conformes sans être submergées par la paperasse.
Concrètement, le principal avantage est la rapidité. Les conseillers en immigration rapportent que les demandes de Visa Spécialiste en IA peuvent être déposées entièrement en ligne via le portail ICP, avec des approbations sous 48 heures si les licences d’entreprise mentionnent clairement les activités liées à l’IA. C’est une amélioration notable par rapport aux deux semaines habituelles pour les visas de mission classiques. Les entreprises recrutant déjà des talents technologiques pour des projets du premier trimestre sont invitées à adopter immédiatement cette nouvelle procédure.
Pour l’agenda plus large des talents aux Émirats, cette réforme marque le retour des permis d’entrée sectoriels dans la stratégie migratoire. Les observateurs anticipent l’apparition de nouvelles catégories — telles que FinTech et Gaming — dès 2026, alors que les Émirats rivalisent pour attirer des compétences de niche et alignent leur politique de visas sur leurs feuilles de route économiques sectorielles.










