
Le juge fédéral Waverly D. Crenshaw Jr. a annulé le procès prévu le mois prochain pour trafic d’êtres humains contre Kilmar Abrego Garcia, un demandeur d’asile expulsé à tort en 2018 puis autorisé à revenir aux États-Unis. Le magistrat estime qu’il existe des preuves suffisantes que le gouvernement pourrait le poursuivre en représailles à sa victoire pour son retour. Une audience est fixée au 28 janvier, où les procureurs devront justifier la poursuite du dossier sous peine de voir l’affaire classée.
Fuyant la violence des gangs au Salvador et marié à une citoyenne américaine, Garcia avait déjà obtenu une protection contre l’expulsion. Les défenseurs soulignent que son cas illustre comment des mesures d’application strictes peuvent se retourner en litiges coûteux et dissuader d’autres demandeurs d’asile légitimes.
Que vous soyez responsable RH accompagnant des expatriés ou un particulier préparant un voyage international, VisaHQ facilite les démarches de visa et d’immigration, évitant ainsi les interruptions de statut comme celles rencontrées par Garcia. Sa plateforme en ligne (https://www.visahq.com/united-states/) suit les échéances, signale les documents manquants et met en relation avec des spécialistes expérimentés, réduisant le risque de dépassement de séjour ou d’ordres d’expulsion involontaires.
Pour les équipes de mobilité internationale, cette décision rappelle que les ordres d’expulsion, même erronés, peuvent avoir des conséquences durables pour les employés et leurs familles. Les entreprises employant des collaborateurs originaires d’Amérique centrale doivent veiller à ce que leur statut légal soit parfaitement documenté et surveiller tout antécédent d’expulsion ou de retour volontaire susceptible d’être réexaminé dans le cadre de contrôles plus stricts.
Si l’inculpation est annulée, les avocats estiment que Garcia pourrait réclamer des dommages et intérêts, ce qui augmenterait potentiellement les risques financiers du gouvernement dans les affaires d’expulsions injustifiées.
Fuyant la violence des gangs au Salvador et marié à une citoyenne américaine, Garcia avait déjà obtenu une protection contre l’expulsion. Les défenseurs soulignent que son cas illustre comment des mesures d’application strictes peuvent se retourner en litiges coûteux et dissuader d’autres demandeurs d’asile légitimes.
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Si l’inculpation est annulée, les avocats estiment que Garcia pourrait réclamer des dommages et intérêts, ce qui augmenterait potentiellement les risques financiers du gouvernement dans les affaires d’expulsions injustifiées.











