
Le ministère indien des Affaires étrangères (MEA) a confirmé vendredi avoir « exprimé ses préoccupations » auprès des États-Unis concernant le report soudain de milliers d’entretiens pour les visas H-1B, initialement programmés dans plusieurs consulats en Inde. Des courriels envoyés la semaine dernière ont informé les candidats que leurs rendez-vous étaient repoussés jusqu’à cinq mois afin de permettre aux agents de mener un « examen approfondi » des historiques sur les réseaux sociaux.
Ces reports touchent particulièrement les candidats de première demande issus des promotions de printemps des universités indiennes, qui visent généralement un début d’activité aux États-Unis en avril-mai. Les entreprises de recrutement redoutent des retards dans les projets et des pénalités financières liées au non-respect des délais d’intégration.
Face à cette situation, le portail VisaHQ Inde (https://www.visahq.com/india/) propose une solution rapide pour que les candidats et les équipes RH puissent suivre les créneaux de rendez-vous nouvellement disponibles, accéder à des listes de documents adaptées aux dernières exigences consulaires américaines, et envisager des alternatives de visa ou de permis de travail afin de maintenir les projets dans les temps malgré les retards d’entretien.
Lors du point hebdomadaire du MEA, le porte-parole Randhir Jaiswal a indiqué que les diplomates indiens sont « activement engagés » avec leurs homologues américains pour rétablir les créneaux antérieurs et simplifier le processus de vérification. Si la mission américaine invoque des « raisons opérationnelles », des sources du secteur du voyage suggèrent que les services consulaires réaffectent leurs ressources pour traiter un important retard dans les dossiers de regroupement familial avant la clôture de l’exercice fiscal.
Les responsables de la mobilité internationale doivent s’attendre à des délais plus longs : les données du secteur montrent déjà que le temps d’attente moyen pour un entretien H-1B à Mumbai est passé de 22 jours en octobre à 104 jours après le report. Il est conseillé aux entreprises de déposer des demandes d’amendement pour obtenir une plus grande flexibilité dans la notification consulaire et d’explorer des hubs alternatifs de mobilité internationale (Canada, Mexique) pour les missions de courte durée.
Ces reports touchent particulièrement les candidats de première demande issus des promotions de printemps des universités indiennes, qui visent généralement un début d’activité aux États-Unis en avril-mai. Les entreprises de recrutement redoutent des retards dans les projets et des pénalités financières liées au non-respect des délais d’intégration.
Face à cette situation, le portail VisaHQ Inde (https://www.visahq.com/india/) propose une solution rapide pour que les candidats et les équipes RH puissent suivre les créneaux de rendez-vous nouvellement disponibles, accéder à des listes de documents adaptées aux dernières exigences consulaires américaines, et envisager des alternatives de visa ou de permis de travail afin de maintenir les projets dans les temps malgré les retards d’entretien.
Lors du point hebdomadaire du MEA, le porte-parole Randhir Jaiswal a indiqué que les diplomates indiens sont « activement engagés » avec leurs homologues américains pour rétablir les créneaux antérieurs et simplifier le processus de vérification. Si la mission américaine invoque des « raisons opérationnelles », des sources du secteur du voyage suggèrent que les services consulaires réaffectent leurs ressources pour traiter un important retard dans les dossiers de regroupement familial avant la clôture de l’exercice fiscal.
Les responsables de la mobilité internationale doivent s’attendre à des délais plus longs : les données du secteur montrent déjà que le temps d’attente moyen pour un entretien H-1B à Mumbai est passé de 22 jours en octobre à 104 jours après le report. Il est conseillé aux entreprises de déposer des demandes d’amendement pour obtenir une plus grande flexibilité dans la notification consulaire et d’explorer des hubs alternatifs de mobilité internationale (Canada, Mexique) pour les missions de courte durée.







