
Les voyageurs transitant par l’aéroport de Málaga-Costa del Sol les 26 et 27 décembre ont dû faire face à certaines des files d’attente les plus longues depuis le début de la période des fêtes. Les passagers non européens, et de plus en plus de titulaires de passeports de l’UE, ont signalé des attentes pouvant atteindre deux heures au contrôle des passeports, alors que l’Espagne poursuit les essais en conditions réelles du nouveau Système d’Entrée/Sortie (EES) de l’Union européenne. Ce dispositif biométrique, destiné à remplacer le tampon manuel par une reconnaissance des empreintes digitales et du visage, est confronté à des pannes fréquentes des bornes automatiques et à un manque d’agents de la Policía Nacional formés pour intervenir en cas de blocage des machines.
Les compagnies aériennes ont réagi rapidement. Ryanair a envoyé des e-mails à ses clients les invitant à se présenter à l’aéroport au moins trois heures avant le départ, en les avertissant des « files d’attente plus longues dues au nouveau système ». Les acteurs locaux du tourisme craignent que ces mauvaises nouvelles ne nuisent au marché crucial du tourisme hivernal, qui maintient les hôtels pleins entre janvier et mars. Málaga a accueilli plus de 20 millions de passagers en 2025 et constitue la principale porte d’entrée pour la communauté d’expatriés et les acheteurs immobiliers de la Costa del Sol.
Pour les voyageurs souhaitant éviter les mauvaises surprises administratives, le portail Espagne de VisaHQ (https://www.visahq.com/spain/) propose des informations en temps réel sur les exigences d’entrée, les procédures biométriques et les options de passage rapide. La plateforme peut organiser les documents nécessaires bien avant le départ et informe les utilisateurs lorsque des essais opérationnels comme l’EES instaurent de nouveaux contrôles, aidant ainsi vacanciers et professionnels à arriver à Málaga bien préparés.
Le problème de fond est que l’EES est encore en phase d’essai et n’est pas encore harmonisé dans les principaux aéroports espagnols. En l’absence d’un plan national complet, chaque aéroport a dû improviser sur les effectifs et la signalisation, entraînant des expériences passagers très disparates entre Madrid et Tenerife. Des images partagées sur les réseaux sociaux par des vacanciers bloqués montrent seulement deux guichets manuels ouverts pour plusieurs centaines de passagers, tandis que les portiques électroniques sans surveillance se ferment à répétition.
Pour les multinationales qui font tourner leur personnel dans leurs filiales espagnoles, ces retards ont un coût réel. Les correspondances manquées vers des villes régionales comme Séville ou Grenade entraînent des nuits d’hôtel supplémentaires et des réunions perdues. Les responsables mobilité intègrent désormais des temps d’attente plus longs dans leurs politiques de voyage et rappellent aux employés que les files aux frontières Schengen ne peuvent plus être anticipées avec la précision d’avant la pandémie.
Bien que le ministère de l’Intérieur espagnol assure que ces dysfonctionnements sont temporaires, les professionnels du secteur réclament une pause jusqu’à ce que l’infrastructure soit stabilisée. Si les problèmes persistent pendant la saison des salons professionnels de février-mars, les acheteurs de voyages d’affaires avertissent que certains événements pourraient être déplacés vers des hubs plus accessibles comme Lisbonne ou Dublin, privant ainsi l’Andalousie de revenus MICE précieux.
Les compagnies aériennes ont réagi rapidement. Ryanair a envoyé des e-mails à ses clients les invitant à se présenter à l’aéroport au moins trois heures avant le départ, en les avertissant des « files d’attente plus longues dues au nouveau système ». Les acteurs locaux du tourisme craignent que ces mauvaises nouvelles ne nuisent au marché crucial du tourisme hivernal, qui maintient les hôtels pleins entre janvier et mars. Málaga a accueilli plus de 20 millions de passagers en 2025 et constitue la principale porte d’entrée pour la communauté d’expatriés et les acheteurs immobiliers de la Costa del Sol.
Pour les voyageurs souhaitant éviter les mauvaises surprises administratives, le portail Espagne de VisaHQ (https://www.visahq.com/spain/) propose des informations en temps réel sur les exigences d’entrée, les procédures biométriques et les options de passage rapide. La plateforme peut organiser les documents nécessaires bien avant le départ et informe les utilisateurs lorsque des essais opérationnels comme l’EES instaurent de nouveaux contrôles, aidant ainsi vacanciers et professionnels à arriver à Málaga bien préparés.
Le problème de fond est que l’EES est encore en phase d’essai et n’est pas encore harmonisé dans les principaux aéroports espagnols. En l’absence d’un plan national complet, chaque aéroport a dû improviser sur les effectifs et la signalisation, entraînant des expériences passagers très disparates entre Madrid et Tenerife. Des images partagées sur les réseaux sociaux par des vacanciers bloqués montrent seulement deux guichets manuels ouverts pour plusieurs centaines de passagers, tandis que les portiques électroniques sans surveillance se ferment à répétition.
Pour les multinationales qui font tourner leur personnel dans leurs filiales espagnoles, ces retards ont un coût réel. Les correspondances manquées vers des villes régionales comme Séville ou Grenade entraînent des nuits d’hôtel supplémentaires et des réunions perdues. Les responsables mobilité intègrent désormais des temps d’attente plus longs dans leurs politiques de voyage et rappellent aux employés que les files aux frontières Schengen ne peuvent plus être anticipées avec la précision d’avant la pandémie.
Bien que le ministère de l’Intérieur espagnol assure que ces dysfonctionnements sont temporaires, les professionnels du secteur réclament une pause jusqu’à ce que l’infrastructure soit stabilisée. Si les problèmes persistent pendant la saison des salons professionnels de février-mars, les acheteurs de voyages d’affaires avertissent que certains événements pourraient être déplacés vers des hubs plus accessibles comme Lisbonne ou Dublin, privant ainsi l’Andalousie de revenus MICE précieux.










