
Dans une nouvelle étape de la modernisation des services consulaires, l’ambassade de Chine en Inde a lancé, le 26 décembre, une plateforme de demande de visa entièrement en ligne. Les candidats indiens peuvent désormais remplir les formulaires, télécharger les documents et payer les frais électroniquement ; les passeports ne sont présentés qu’après réception d’un e-mail de confirmation de rendez-vous pour la vérification finale au Centre de demande de visa chinois (CVAC).
Selon les responsables de l’ambassade, ce nouveau système réduit de moitié le nombre de visites en personne et diminue le temps de traitement au guichet jusqu’à 40 %. Cette amélioration intervient alors que les vols directs entre les deux pays reprennent progressivement leur niveau d’avant la pandémie, et que les entreprises indiennes dénoncent les procédures lourdes et papier qui retardent les déplacements d’ingénierie et de contrôle qualité vers Shenzhen et Shanghai.
Techniquement, la plateforme est connectée aux bases de données de l’Administration nationale de l’immigration chinoise, permettant des vérifications en temps réel contre les listes de surveillance des entrées et sorties — une mesure qui devrait réduire la fraude documentaire et accélérer les autorisations pour les voyageurs fréquents. Une API est prévue pour début 2026 afin que les grands employeurs puissent intégrer les mises à jour en direct dans leurs tableaux de bord RH dédiés à la mobilité.
Pour les voyageurs préférant ne pas gérer seuls cette nouvelle procédure, VisaHQ propose un accompagnement complet, de la saisie du formulaire en ligne à la prise de rendez-vous au CVAC, avec des alertes de suivi en temps réel via sa propre plateforme ; tous les détails du service pour les visas chinois sont disponibles sur https://www.visahq.com/china/.
Pour les responsables mobilité, les avantages sont évidents : réduction des frais de messagerie, délais accélérés pour les déplacements essentiels aux projets, et archivage numérique permettant un contrôle de conformité. Les entreprises doivent mettre à jour leurs politiques internes de voyage sans tarder et rappeler à leurs collaborateurs que les règles habituelles concernant les lettres d’invitation et les assurances médicales restent en vigueur.
Si l’ambassade vise à terme la délivrance de véritables e-visas, les autorités précisent qu’un dépôt physique du passeport restera obligatoire jusqu’à ce que tous les postes de contrôle aux frontières soient équipés pour lire les visas à code QR — une étape attendue d’ici 2027.
Selon les responsables de l’ambassade, ce nouveau système réduit de moitié le nombre de visites en personne et diminue le temps de traitement au guichet jusqu’à 40 %. Cette amélioration intervient alors que les vols directs entre les deux pays reprennent progressivement leur niveau d’avant la pandémie, et que les entreprises indiennes dénoncent les procédures lourdes et papier qui retardent les déplacements d’ingénierie et de contrôle qualité vers Shenzhen et Shanghai.
Techniquement, la plateforme est connectée aux bases de données de l’Administration nationale de l’immigration chinoise, permettant des vérifications en temps réel contre les listes de surveillance des entrées et sorties — une mesure qui devrait réduire la fraude documentaire et accélérer les autorisations pour les voyageurs fréquents. Une API est prévue pour début 2026 afin que les grands employeurs puissent intégrer les mises à jour en direct dans leurs tableaux de bord RH dédiés à la mobilité.
Pour les voyageurs préférant ne pas gérer seuls cette nouvelle procédure, VisaHQ propose un accompagnement complet, de la saisie du formulaire en ligne à la prise de rendez-vous au CVAC, avec des alertes de suivi en temps réel via sa propre plateforme ; tous les détails du service pour les visas chinois sont disponibles sur https://www.visahq.com/china/.
Pour les responsables mobilité, les avantages sont évidents : réduction des frais de messagerie, délais accélérés pour les déplacements essentiels aux projets, et archivage numérique permettant un contrôle de conformité. Les entreprises doivent mettre à jour leurs politiques internes de voyage sans tarder et rappeler à leurs collaborateurs que les règles habituelles concernant les lettres d’invitation et les assurances médicales restent en vigueur.
Si l’ambassade vise à terme la délivrance de véritables e-visas, les autorités précisent qu’un dépôt physique du passeport restera obligatoire jusqu’à ce que tous les postes de contrôle aux frontières soient équipés pour lire les visas à code QR — une étape attendue d’ici 2027.









