
Dans un avis discrètement publié dans le Bundesanzeiger le jour de Noël, le ministère fédéral de l’Intérieur allemand a confirmé que les contrôles « temporaires » réintroduits en septembre aux frontières intérieures de l’espace Schengen seront maintenus au moins jusqu’au 15 mars 2026. Cette décision concerne les routes et lignes ferroviaires entrant en Allemagne depuis la Pologne, l’Autriche, la République tchèque, le Danemark, les Pays-Bas, le Luxembourg, la France et la Suisse.
Pour les voyageurs entre la Pologne et l’Allemagne, cette prolongation signifie que des contrôles d’identité ou de passeport peuvent avoir lieu à tout moment, y compris sur les trains interurbains qui circulaient traditionnellement sans arrêt aux frontières. Les transporteurs de marchandises transportant des cargaisons de grande valeur ou sensibles au facteur temps à travers la Silésie et le Brandebourg signalent des retards pouvant atteindre 45 minutes par camion, engendrant des coûts répercutés sur les expéditeurs. Les travailleurs frontaliers polonais — estimés à 120 000 navetteurs quotidiens — doivent également composer avec des temps de trajet imprévisibles.
Berlin justifie ces contrôles par la nécessité de lutter contre les réseaux de passeurs qui ont modifié leurs itinéraires après que la Pologne a renforcé sa frontière orientale avec la Biélorussie et la Russie. Toutefois, cette mesure pousse l’Allemagne à dépasser la limite de six mois que la Commission européenne tolère de manière informelle pour les contrôles internes à Schengen, relançant ainsi le débat juridique sur la libre circulation.
Les voyageurs souhaitant plus de sérénité face à ces contrôles renforcés peuvent se tourner vers VisaHQ, dont le portail polonais (https://www.visahq.com/poland/) offre des informations actualisées sur les documents de voyage requis, des vérifications numériques de documents et des services de traitement accéléré. Que vous soyez un navetteur quotidien ou un coordinateur logistique, cette plateforme vous aide à vous assurer que passeports, cartes d’identité et documents complémentaires sont en ordre avant d’atteindre la frontière.
Le ministère polonais de l’Intérieur a déclaré qu’il « regrette cette prolongation », mais qu’il maintiendra des voies rapides pour les navetteurs aux principaux points de passage comme Świecko/Frankfurt-Oder et Olszyna/Görlitz. Les entreprises employant des travailleurs détachés ou des équipes de projet circulant entre les deux pays sont invitées à se munir de copies de contrats de travail et de réservations d’hôtel pour accélérer les contrôles secondaires.
La commission des libertés civiles du Parlement européen devrait interroger la Commission sur la légalité de cette prolongation en janvier, mais peu s’attendent à un recours judiciaire avant la date butoir du 15 mars. Les responsables de la mobilité doivent donc anticiper la poursuite des contrôles ponctuels tout au long du premier trimestre 2026.
Pour les voyageurs entre la Pologne et l’Allemagne, cette prolongation signifie que des contrôles d’identité ou de passeport peuvent avoir lieu à tout moment, y compris sur les trains interurbains qui circulaient traditionnellement sans arrêt aux frontières. Les transporteurs de marchandises transportant des cargaisons de grande valeur ou sensibles au facteur temps à travers la Silésie et le Brandebourg signalent des retards pouvant atteindre 45 minutes par camion, engendrant des coûts répercutés sur les expéditeurs. Les travailleurs frontaliers polonais — estimés à 120 000 navetteurs quotidiens — doivent également composer avec des temps de trajet imprévisibles.
Berlin justifie ces contrôles par la nécessité de lutter contre les réseaux de passeurs qui ont modifié leurs itinéraires après que la Pologne a renforcé sa frontière orientale avec la Biélorussie et la Russie. Toutefois, cette mesure pousse l’Allemagne à dépasser la limite de six mois que la Commission européenne tolère de manière informelle pour les contrôles internes à Schengen, relançant ainsi le débat juridique sur la libre circulation.
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Le ministère polonais de l’Intérieur a déclaré qu’il « regrette cette prolongation », mais qu’il maintiendra des voies rapides pour les navetteurs aux principaux points de passage comme Świecko/Frankfurt-Oder et Olszyna/Görlitz. Les entreprises employant des travailleurs détachés ou des équipes de projet circulant entre les deux pays sont invitées à se munir de copies de contrats de travail et de réservations d’hôtel pour accélérer les contrôles secondaires.
La commission des libertés civiles du Parlement européen devrait interroger la Commission sur la légalité de cette prolongation en janvier, mais peu s’attendent à un recours judiciaire avant la date butoir du 15 mars. Les responsables de la mobilité doivent donc anticiper la poursuite des contrôles ponctuels tout au long du premier trimestre 2026.









