
La Police fédérale australienne (AFP) a déployé plus de 500 agents en uniforme dans les neuf aéroports désignés du pays, en prévision de ce que l’Association des aéroports australiens prévoit comme le pic de fréquentation décembre-janvier le plus important jamais enregistré — plus de 23,4 millions de passagers. Le commandant par intérim de l’aviation, Josh Sinclair-Wadham, a souligné que l’afflux de Noël et du Nouvel An nécessite une mobilisation totale des forces de sécurité afin de minimiser les perturbations et rassurer les voyageurs.
Cette opération est coordonnée avec la Force frontalière australienne, les polices des États et les sociétés privées de sécurité aéroportuaire. Les patrouilles se concentrent sur les halls de départ et les zones de contrôle d’immigration, où l’affluence engendre traditionnellement frustration et comportements agressifs. Les agents bénéficient d’une formation renforcée en désescalade et sont équipés de caméras corporelles mobiles, tandis que des unités canines spécialisées interviennent en rotation dans les files de contrôle pour détecter objets interdits et stupéfiants.
Pour éviter tout problème de dernière minute avec les formalités administratives durant cette période de forte affluence, les passagers peuvent simplifier les vérifications de visa et d’autorisation de voyage avant d’arriver au terminal grâce au service en ligne VisaHQ, qui offre un accompagnement pas à pas pour les visas australiens, un traitement accéléré et des alertes en temps réel pour plus de 200 juridictions (https://www.visahq.com/australia/).
Les responsables des voyages d’affaires sont invités à prévoir au moins 30 minutes supplémentaires pour les formalités avant le vol à Sydney, Melbourne et Brisbane, où le trafic international devrait dépasser les niveaux d’avant la pandémie jusqu’à 8 %. Les équipes de sécurité des entreprises mettent déjà à jour les applications de suivi des voyageurs pour tenir compte des temps plus longs entre le trottoir et la porte d’embarquement, ainsi que des éventuels changements de porte liés aux mesures de gestion des flux.
L’AFP indique que la planification des effectifs basée sur le renseignement permettra de renforcer rapidement la présence policière dans les terminaux confrontés à des retards imprévus — un point crucial après la panne nationale du système de passeports fin novembre, qui a contraint des milliers de personnes à faire la queue pour un traitement manuel. Les exploitants aéroportuaires saluent cette visibilité accrue, mais rappellent que la seule présence policière ne suffit pas à résoudre les engorgements causés par l’augmentation du nombre de passagers et des infrastructures vieillissantes.
Pour les professionnels de la mobilité, le message est clair : privilégier les billets flexibles quand c’est possible, rappeler aux employés d’arriver en avance, et s’assurer que les systèmes de devoir de vigilance intègrent les alertes aéroportuaires en temps réel afin d’ajuster les itinéraires avant que les correspondances manquées ne perturbent les plannings régionaux.
Cette opération est coordonnée avec la Force frontalière australienne, les polices des États et les sociétés privées de sécurité aéroportuaire. Les patrouilles se concentrent sur les halls de départ et les zones de contrôle d’immigration, où l’affluence engendre traditionnellement frustration et comportements agressifs. Les agents bénéficient d’une formation renforcée en désescalade et sont équipés de caméras corporelles mobiles, tandis que des unités canines spécialisées interviennent en rotation dans les files de contrôle pour détecter objets interdits et stupéfiants.
Pour éviter tout problème de dernière minute avec les formalités administratives durant cette période de forte affluence, les passagers peuvent simplifier les vérifications de visa et d’autorisation de voyage avant d’arriver au terminal grâce au service en ligne VisaHQ, qui offre un accompagnement pas à pas pour les visas australiens, un traitement accéléré et des alertes en temps réel pour plus de 200 juridictions (https://www.visahq.com/australia/).
Les responsables des voyages d’affaires sont invités à prévoir au moins 30 minutes supplémentaires pour les formalités avant le vol à Sydney, Melbourne et Brisbane, où le trafic international devrait dépasser les niveaux d’avant la pandémie jusqu’à 8 %. Les équipes de sécurité des entreprises mettent déjà à jour les applications de suivi des voyageurs pour tenir compte des temps plus longs entre le trottoir et la porte d’embarquement, ainsi que des éventuels changements de porte liés aux mesures de gestion des flux.
L’AFP indique que la planification des effectifs basée sur le renseignement permettra de renforcer rapidement la présence policière dans les terminaux confrontés à des retards imprévus — un point crucial après la panne nationale du système de passeports fin novembre, qui a contraint des milliers de personnes à faire la queue pour un traitement manuel. Les exploitants aéroportuaires saluent cette visibilité accrue, mais rappellent que la seule présence policière ne suffit pas à résoudre les engorgements causés par l’augmentation du nombre de passagers et des infrastructures vieillissantes.
Pour les professionnels de la mobilité, le message est clair : privilégier les billets flexibles quand c’est possible, rappeler aux employés d’arriver en avance, et s’assurer que les systèmes de devoir de vigilance intègrent les alertes aéroportuaires en temps réel afin d’ajuster les itinéraires avant que les correspondances manquées ne perturbent les plannings régionaux.









