
Des centaines de manifestants se sont rassemblés devant l’hôtel de ville de Sydney le 22 décembre, scandant des slogans pro-palestiniens, dont « mondialisez l’intifada », dans un dernier acte de défi face à un projet de loi qui pourrait interdire les manifestations publiques jusqu’à trois mois. Le Premier ministre Chris Minns affirme que ce texte, qui devrait être adopté avec le soutien de l’opposition, est nécessaire pour éviter des rassemblements susceptibles « d’attiser les tensions » après l’attaque terroriste survenue à Bondi Beach.
Bien que cette législation soit au niveau de l’État, des spécialistes de la mobilité préviennent qu’elle aura des répercussions sur les déménagements d’entreprise et la vie des étudiants internationaux. Les titulaires de visa participant à des manifestations non autorisées pourraient être considérés en infraction avec leurs obligations de bonne conduite, s’exposant ainsi aux nouveaux pouvoirs fédéraux d’annulation de visa. Les agents d’éducation reçoivent déjà des questions de parents en Inde et en Chine, inquiets de savoir si leurs enfants pourront manifester sans risquer leur statut.
Pour ceux qui cherchent à comprendre comment ces règles évolutives sur les manifestations s’articulent avec le respect des conditions de visa, le centre de ressources australien de VisaHQ (https://www.visahq.com/australia/) propose des informations claires et à jour sur les tests de caractère, les conditions d’entrée et les documents requis. Leurs spécialistes accompagnent étudiants, expatriés et équipes RH dans la compréhension des dernières réglementations afin que les projets de voyage et de relocalisation restent sur les rails, malgré les changements législatifs.
Les associations de défense des libertés civiles dénoncent un amalgame entre maintien de l’ordre public et sécurité nationale, et mettent en garde contre la criminalisation des rassemblements pacifiques. Elles soulignent que l’interdiction s’appliquerait à l’ensemble de l’État, y compris dans des régions où aucun trouble n’a été constaté, risquant de restreindre les événements communautaires organisés par des groupes de migrants.
Les chambres de commerce redoutent un impact négatif sur la réputation si des images de la police dispersant des étudiants étrangers circulent à l’international. « Les multinationales choisissent Sydney pour son ouverture ; une interdiction générale des manifestations envoie un mauvais signal », déclare la Chambre de commerce Australie-Israël.
Le gouvernement Minns rétorque que ces mesures sont temporaires et feront l’objet d’un examen au bout de 90 jours. Un amendement prévoyant un vote parlementaire de renouvellement a été proposé pour obtenir le soutien des députés indépendants. Si la loi est adoptée, les employeurs devront mettre à jour leurs briefings d’arrivée et rappeler à leurs collaborateurs expatriés que participer à des rassemblements non autorisés pourrait entraîner des conséquences juridiques et migratoires.
Bien que cette législation soit au niveau de l’État, des spécialistes de la mobilité préviennent qu’elle aura des répercussions sur les déménagements d’entreprise et la vie des étudiants internationaux. Les titulaires de visa participant à des manifestations non autorisées pourraient être considérés en infraction avec leurs obligations de bonne conduite, s’exposant ainsi aux nouveaux pouvoirs fédéraux d’annulation de visa. Les agents d’éducation reçoivent déjà des questions de parents en Inde et en Chine, inquiets de savoir si leurs enfants pourront manifester sans risquer leur statut.
Pour ceux qui cherchent à comprendre comment ces règles évolutives sur les manifestations s’articulent avec le respect des conditions de visa, le centre de ressources australien de VisaHQ (https://www.visahq.com/australia/) propose des informations claires et à jour sur les tests de caractère, les conditions d’entrée et les documents requis. Leurs spécialistes accompagnent étudiants, expatriés et équipes RH dans la compréhension des dernières réglementations afin que les projets de voyage et de relocalisation restent sur les rails, malgré les changements législatifs.
Les associations de défense des libertés civiles dénoncent un amalgame entre maintien de l’ordre public et sécurité nationale, et mettent en garde contre la criminalisation des rassemblements pacifiques. Elles soulignent que l’interdiction s’appliquerait à l’ensemble de l’État, y compris dans des régions où aucun trouble n’a été constaté, risquant de restreindre les événements communautaires organisés par des groupes de migrants.
Les chambres de commerce redoutent un impact négatif sur la réputation si des images de la police dispersant des étudiants étrangers circulent à l’international. « Les multinationales choisissent Sydney pour son ouverture ; une interdiction générale des manifestations envoie un mauvais signal », déclare la Chambre de commerce Australie-Israël.
Le gouvernement Minns rétorque que ces mesures sont temporaires et feront l’objet d’un examen au bout de 90 jours. Un amendement prévoyant un vote parlementaire de renouvellement a été proposé pour obtenir le soutien des députés indépendants. Si la loi est adoptée, les employeurs devront mettre à jour leurs briefings d’arrivée et rappeler à leurs collaborateurs expatriés que participer à des rassemblements non autorisés pourrait entraîner des conséquences juridiques et migratoires.








