
Donna Hughes-Brown, une Irlandaise de 58 ans et détentrice de la carte verte américaine depuis de nombreuses années, est de retour dans sa famille dans le Missouri après avoir passé près de cinq mois en détention auprès de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) aux États-Unis. Selon The Irish Times, Hughes-Brown a été arrêtée à l’aéroport O’Hare de Chicago le 29 juillet, alors qu’elle revenait d’un enterrement en Irlande. Malgré son statut de résidente permanente valide, un incident technique non résolu datant des années 1990 figurait dans son dossier ; elle a été transférée dans une prison du comté du Kentucky en attendant les procédures d’expulsion.
Son calvaire a pris fin la semaine dernière lorsqu’un juge fédéral en immigration a annulé l’affaire, invoquant des erreurs de procédure. Lors d’une conférence de presse le 22 décembre, Hughes-Brown a qualifié les conditions de détention de « loin d’être idéales » et a annoncé qu’elle reporterait ses futurs voyages en Irlande jusqu’à l’obtention de la citoyenneté américaine. Son mari, Jim Brown, a remercié le personnel consulaire irlandais ainsi que les groupes de défense irlando-américains qui sont intervenus.
Cette affaire a relancé le débat à Dublin sur la vulnérabilité des détenteurs irlandais de la carte verte aux États-Unis, estimés à environ 130 000 personnes. Les avocats spécialisés en immigration soulignent que le renforcement des contrôles aux frontières américaines fait que de simples oublis administratifs (comme des empreintes digitales périmées ou des frais non réglés) peuvent entraîner une détention, même pour des résidents de longue date. Le ministère irlandais des Affaires étrangères indique qu’il met à jour ses pages de conseils aux voyageurs pour rappeler aux citoyens résidant aux États-Unis de toujours porter une preuve de présence continue et de conformité fiscale lors de leurs déplacements.
Avant de réserver un vol transatlantique, les résidents irlandais peuvent consulter le portail irlandais de VisaHQ (https://www.visahq.com/ireland/) pour un contrôle en ligne de leurs documents et un service de demande. Les spécialistes de l’entreprise accompagnent les voyageurs dans le renouvellement des visas américains, les permis de retour et autres autorisations de voyage, aidant à détecter les oublis comme les mises à jour d’empreintes ou les reçus de paiement qui ont conduit Hughes-Brown en détention.
Pour les employeurs multinationales, notamment dans les secteurs de la technologie et de la pharmacie, cet incident est un avertissement. Les salariés irlandais en mission avec des visas L-1 ou H-1B — voire les résidents permanents — devraient bénéficier d’un contrôle de conformité avant tout déplacement. Les entreprises sont encouragées à conserver des copies des formulaires I-94 de leurs employés et à organiser des sessions d’information juridique avant les voyages à l’étranger. Cet épisode souligne également l’importance de s’inscrire sur le portail d’enregistrement des citoyens irlandais afin que les agents consulaires puissent intervenir rapidement en cas d’urgence.
Les défenseurs appellent Washington à adopter la loi sur le visa E-3 irlandais, longtemps bloquée, qui attribuerait chaque année des milliers de places inutilisées du visa australien E-3 aux ressortissants irlandais. Ils estiment que cette mesure réduirait la dépendance à la loterie de la carte verte et offrirait aux professionnels irlandais une voie plus sûre pour travailler aux États-Unis, sans risquer la détention pour des erreurs administratives.
Son calvaire a pris fin la semaine dernière lorsqu’un juge fédéral en immigration a annulé l’affaire, invoquant des erreurs de procédure. Lors d’une conférence de presse le 22 décembre, Hughes-Brown a qualifié les conditions de détention de « loin d’être idéales » et a annoncé qu’elle reporterait ses futurs voyages en Irlande jusqu’à l’obtention de la citoyenneté américaine. Son mari, Jim Brown, a remercié le personnel consulaire irlandais ainsi que les groupes de défense irlando-américains qui sont intervenus.
Cette affaire a relancé le débat à Dublin sur la vulnérabilité des détenteurs irlandais de la carte verte aux États-Unis, estimés à environ 130 000 personnes. Les avocats spécialisés en immigration soulignent que le renforcement des contrôles aux frontières américaines fait que de simples oublis administratifs (comme des empreintes digitales périmées ou des frais non réglés) peuvent entraîner une détention, même pour des résidents de longue date. Le ministère irlandais des Affaires étrangères indique qu’il met à jour ses pages de conseils aux voyageurs pour rappeler aux citoyens résidant aux États-Unis de toujours porter une preuve de présence continue et de conformité fiscale lors de leurs déplacements.
Avant de réserver un vol transatlantique, les résidents irlandais peuvent consulter le portail irlandais de VisaHQ (https://www.visahq.com/ireland/) pour un contrôle en ligne de leurs documents et un service de demande. Les spécialistes de l’entreprise accompagnent les voyageurs dans le renouvellement des visas américains, les permis de retour et autres autorisations de voyage, aidant à détecter les oublis comme les mises à jour d’empreintes ou les reçus de paiement qui ont conduit Hughes-Brown en détention.
Pour les employeurs multinationales, notamment dans les secteurs de la technologie et de la pharmacie, cet incident est un avertissement. Les salariés irlandais en mission avec des visas L-1 ou H-1B — voire les résidents permanents — devraient bénéficier d’un contrôle de conformité avant tout déplacement. Les entreprises sont encouragées à conserver des copies des formulaires I-94 de leurs employés et à organiser des sessions d’information juridique avant les voyages à l’étranger. Cet épisode souligne également l’importance de s’inscrire sur le portail d’enregistrement des citoyens irlandais afin que les agents consulaires puissent intervenir rapidement en cas d’urgence.
Les défenseurs appellent Washington à adopter la loi sur le visa E-3 irlandais, longtemps bloquée, qui attribuerait chaque année des milliers de places inutilisées du visa australien E-3 aux ressortissants irlandais. Ils estiment que cette mesure réduirait la dépendance à la loterie de la carte verte et offrirait aux professionnels irlandais une voie plus sûre pour travailler aux États-Unis, sans risquer la détention pour des erreurs administratives.







