
Le ministère indien des Affaires étrangères (MEA) a ordonné, dimanche 21 décembre 2025, la suspension immédiate et indéfinie des opérations de visa au Centre de demande de visa indien (IVAC) de Chittagong. Cette décision fait suite à une recrudescence de violences politiques dans la ville portuaire du Bangladesh, après la mort du leader jeunesse Sharif Osman Hadi et une manifestation qui s’est brièvement approchée du périmètre de la Haute Commission indienne.
Le personnel consulaire a été prié de fermer le centre plusieurs heures avant l’heure d’ouverture habituelle, tandis que les dispositifs de sécurité ont été renforcés autour de l’IVAC et de la Haute Commission à Dhaka. Un responsable du MEA a déclaré aux journalistes que cette mesure était « purement préventive » mais resterait en vigueur « jusqu’à ce que la situation locale en matière d’ordre public se stabilise ». En temps normal, le centre de Chittagong traite entre 1 200 et 1 400 demandes par jour, principalement pour des voyages familiaux, d’affaires ou médicaux vers l’Inde.
Cette fermeture bloque des centaines de voyageurs d’affaires bangladais qui transitent par les frontières terrestres indiennes pour le commerce du textile et de la petite ingénierie, ainsi que des patients se rendant dans des hôpitaux de Kolkata, Chennai et Vellore. Les agences de voyage indiennes indiquent que décembre est habituellement la haute saison pour les courts séjours transfrontaliers ; les annulations ont commencé quelques heures après l’annonce.
Les voyageurs cherchant des solutions alternatives pourraient trouver utile de recourir à des intermédiaires tiers. VisaHQ, par exemple, peut surveiller la disponibilité des rendez-vous dans toutes les missions indiennes, fournir des conseils pour la préparation des documents et réorienter les demandes via sa plateforme en ligne lorsque les centres physiques sont fermés. Son portail dédié à l’Inde (https://www.visahq.com/india/) diffuse également des alertes en temps réel, aidant entreprises et particuliers à anticiper les changements soudains de politique.
Pour les entreprises indiennes opérant dans le port de Chittagong et la zone économique spéciale de Karnaphuli à proximité, cette suspension complique encore davantage la situation. Les responsables qui doivent faire tourner leurs spécialistes indiens doivent désormais les faire transiter par Dhaka, où les files d’attente pour les rendez-vous peuvent durer plusieurs semaines, ou reporter les déplacements. Les entreprises sont invitées à envisager le télétravail, à s’assurer que leurs employés clés disposent de visas à entrées multiples pour le Bangladesh, et à suivre quotidiennement les avis du MEA.
Historiquement, l’Inde ferme rarement ses centres de visa et pour de courtes durées (par exemple lors des manifestations de Shahbag en 2013 ou du confinement lié à la pandémie en 2020). Le caractère indéfini de cette suspension laisse penser que les autorités anticipent une instabilité prolongée jusqu’en janvier, et les entreprises doivent se préparer à une interruption d’au moins deux à trois semaines. Les voyageurs ayant des besoins humanitaires ou diplomatiques urgents peuvent toujours déposer une demande à Dhaka, mais les visas ordinaires sont en pratique suspendus.
Le personnel consulaire a été prié de fermer le centre plusieurs heures avant l’heure d’ouverture habituelle, tandis que les dispositifs de sécurité ont été renforcés autour de l’IVAC et de la Haute Commission à Dhaka. Un responsable du MEA a déclaré aux journalistes que cette mesure était « purement préventive » mais resterait en vigueur « jusqu’à ce que la situation locale en matière d’ordre public se stabilise ». En temps normal, le centre de Chittagong traite entre 1 200 et 1 400 demandes par jour, principalement pour des voyages familiaux, d’affaires ou médicaux vers l’Inde.
Cette fermeture bloque des centaines de voyageurs d’affaires bangladais qui transitent par les frontières terrestres indiennes pour le commerce du textile et de la petite ingénierie, ainsi que des patients se rendant dans des hôpitaux de Kolkata, Chennai et Vellore. Les agences de voyage indiennes indiquent que décembre est habituellement la haute saison pour les courts séjours transfrontaliers ; les annulations ont commencé quelques heures après l’annonce.
Les voyageurs cherchant des solutions alternatives pourraient trouver utile de recourir à des intermédiaires tiers. VisaHQ, par exemple, peut surveiller la disponibilité des rendez-vous dans toutes les missions indiennes, fournir des conseils pour la préparation des documents et réorienter les demandes via sa plateforme en ligne lorsque les centres physiques sont fermés. Son portail dédié à l’Inde (https://www.visahq.com/india/) diffuse également des alertes en temps réel, aidant entreprises et particuliers à anticiper les changements soudains de politique.
Pour les entreprises indiennes opérant dans le port de Chittagong et la zone économique spéciale de Karnaphuli à proximité, cette suspension complique encore davantage la situation. Les responsables qui doivent faire tourner leurs spécialistes indiens doivent désormais les faire transiter par Dhaka, où les files d’attente pour les rendez-vous peuvent durer plusieurs semaines, ou reporter les déplacements. Les entreprises sont invitées à envisager le télétravail, à s’assurer que leurs employés clés disposent de visas à entrées multiples pour le Bangladesh, et à suivre quotidiennement les avis du MEA.
Historiquement, l’Inde ferme rarement ses centres de visa et pour de courtes durées (par exemple lors des manifestations de Shahbag en 2013 ou du confinement lié à la pandémie en 2020). Le caractère indéfini de cette suspension laisse penser que les autorités anticipent une instabilité prolongée jusqu’en janvier, et les entreprises doivent se préparer à une interruption d’au moins deux à trois semaines. Les voyageurs ayant des besoins humanitaires ou diplomatiques urgents peuvent toujours déposer une demande à Dhaka, mais les visas ordinaires sont en pratique suspendus.









