
Le Département d’État a intensifié la pression sur le Conseil national électoral hondurien en difficulté le 19 décembre en refusant un visa à Marlon Ochoa, membre du conseil, et en révoquant le visa américain de Mario Morazán, président du tribunal électoral. Le secrétaire d’État Marco Rubio a déclaré que cette mesure vise les individus « sapant la démocratie » en retardant le recomptage manuel de l’élection présidentielle contestée du 30 novembre.
Près de trois semaines après le vote des Honduriens, seuls des résultats partiels sont disponibles, le candidat conservateur Nasry Asfura conservant une avance très mince de 43 000 voix. Les États-Unis ont exigé un recomptage de 15 % des bulletins présentant des irrégularités et ont menacé de sanctions supplémentaires si les autorités ne certifient pas des résultats crédibles avant la date limite du 30 décembre.
Les sanctions sur les visas sont un outil privilégié des États-Unis car elles évitent les longues procédures du Trésor tout en affectant directement les responsables qui voyagent fréquemment à Miami pour affaires ou raisons familiales. Des mesures similaires au Guatemala et au Salvador ont rapidement conduit à un respect des normes électorales, ce qui laisse penser que le Département d’État attend un changement rapide de comportement.
Pour les voyageurs et les organisations qui doivent s’adapter à ces restrictions en constante évolution, VisaHQ peut simplifier le processus. Via sa plateforme (https://www.visahq.com/united-states/), les utilisateurs peuvent vérifier s’ils ou leurs employés sont concernés par les nouvelles interdictions de visa, obtenir des documents de voyage alternatifs et recevoir des mises à jour en temps réel sur les exigences d’entrée aux États-Unis et dans le monde, réduisant ainsi les perturbations coûteuses lorsque des événements politiques bouleversent la mobilité du jour au lendemain.
Pour les entreprises multinationales, cet épisode rappelle que l’instabilité politique peut rapidement devenir un risque pour la mobilité. Les cadres expatriés à Tegucigalpa doivent se préparer à d’éventuelles manifestations et perturbations des transports ; la direction régionale devrait revoir les plans d’évacuation et les critères de résidence fiscale en cas d’aggravation des troubles. Les citoyens américains en déplacement professionnel sont invités à éviter les manifestations et à suivre les alertes de l’ambassade.
Si les sanctions sur les visas s’étendent, elles pourraient viser les élites économiques accusées de financer la fraude, compliquant les négociations transfrontalières et les contrôles de conformité. Les responsables mobilité en charge de l’Amérique centrale doivent intégrer immédiatement les vérifications des interdictions de visa dans leurs protocoles de diligence.
Près de trois semaines après le vote des Honduriens, seuls des résultats partiels sont disponibles, le candidat conservateur Nasry Asfura conservant une avance très mince de 43 000 voix. Les États-Unis ont exigé un recomptage de 15 % des bulletins présentant des irrégularités et ont menacé de sanctions supplémentaires si les autorités ne certifient pas des résultats crédibles avant la date limite du 30 décembre.
Les sanctions sur les visas sont un outil privilégié des États-Unis car elles évitent les longues procédures du Trésor tout en affectant directement les responsables qui voyagent fréquemment à Miami pour affaires ou raisons familiales. Des mesures similaires au Guatemala et au Salvador ont rapidement conduit à un respect des normes électorales, ce qui laisse penser que le Département d’État attend un changement rapide de comportement.
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