
Dans un arrêt retentissant rendu le 18 décembre 2025, la Cour de justice de l’Union européenne a conclu que le Tribunal constitutionnel polonais n’est ni indépendant ni impartial au regard du droit européen, en raison de nominations judiciaires irrégulières remontant à 2015. Cette décision annule une série de verdicts du Tribunal qui remettaient en cause la primauté des traités européens sur le droit polonais.
Pourquoi les responsables mobilité devraient-ils s’en soucier ? D’abord, l’accès de la Pologne aux fonds de cohésion de l’UE — dont certains destinés à la numérisation des procédures de visa et de permis de séjour — est désormais incertain. Un gel prolongé pourrait ralentir les plans visant à résorber le retard de 260 000 dossiers de permis de séjour, malgré la récente transition vers des dépôts entièrement numériques.
Les entreprises cherchant des informations actualisées sur les règles d’entrée en Pologne durant cette période d’incertitude peuvent s’appuyer sur des agences spécialisées comme VisaHQ, qui suit quotidiennement les évolutions des politiques de visa, e-visa et permis de séjour, et propose une assistance aux demandes via son portail dédié à la Pologne (https://www.visahq.com/poland/). Leurs outils et alertes offrent aux responsables mobilité une veille anticipée sur les changements soudains de documents et aident les voyageurs à constituer des dossiers conformes, même en cas de ralentissement des portails locaux ou de blocage des financements.
Ensuite, la confiance mutuelle entre les États Schengen est un pilier de la libre circulation. Si la Commission européenne engage de nouvelles procédures d’infraction, d’autres membres pourraient réclamer un renforcement des contrôles documentaires aux frontières polonaises, réintroduisant des frictions qui avaient largement disparu après la pandémie.
Enfin, ce verdict soulève des questions sur la reconnaissance des qualifications professionnelles et la supervision des travailleurs détachés. Bruxelles a laissé entendre qu’un non-respect persistant pourrait perturber les portails de coopération administrative utilisés pour vérifier les données des permis de travail, obligeant les salariés détachés dans des professions réglementées à fournir des documents supplémentaires ou à repasser des certifications.
Le gouvernement pro-européen du Premier ministre Donald Tusk a salué la décision et promis une action législative rapide, mais avec deux présidents proches de l’ancienne majorité encore dotés d’un droit de veto, les experts juridiques prévoient plusieurs mois de blocage. Les employeurs doivent donc anticiper des délais supplémentaires dans leurs stratégies d’autorisation de travail en Pologne et surveiller d’éventuelles sanctions de la CJUE susceptibles de détourner des fonds destinés à la modernisation des systèmes d’immigration.
Pourquoi les responsables mobilité devraient-ils s’en soucier ? D’abord, l’accès de la Pologne aux fonds de cohésion de l’UE — dont certains destinés à la numérisation des procédures de visa et de permis de séjour — est désormais incertain. Un gel prolongé pourrait ralentir les plans visant à résorber le retard de 260 000 dossiers de permis de séjour, malgré la récente transition vers des dépôts entièrement numériques.
Les entreprises cherchant des informations actualisées sur les règles d’entrée en Pologne durant cette période d’incertitude peuvent s’appuyer sur des agences spécialisées comme VisaHQ, qui suit quotidiennement les évolutions des politiques de visa, e-visa et permis de séjour, et propose une assistance aux demandes via son portail dédié à la Pologne (https://www.visahq.com/poland/). Leurs outils et alertes offrent aux responsables mobilité une veille anticipée sur les changements soudains de documents et aident les voyageurs à constituer des dossiers conformes, même en cas de ralentissement des portails locaux ou de blocage des financements.
Ensuite, la confiance mutuelle entre les États Schengen est un pilier de la libre circulation. Si la Commission européenne engage de nouvelles procédures d’infraction, d’autres membres pourraient réclamer un renforcement des contrôles documentaires aux frontières polonaises, réintroduisant des frictions qui avaient largement disparu après la pandémie.
Enfin, ce verdict soulève des questions sur la reconnaissance des qualifications professionnelles et la supervision des travailleurs détachés. Bruxelles a laissé entendre qu’un non-respect persistant pourrait perturber les portails de coopération administrative utilisés pour vérifier les données des permis de travail, obligeant les salariés détachés dans des professions réglementées à fournir des documents supplémentaires ou à repasser des certifications.
Le gouvernement pro-européen du Premier ministre Donald Tusk a salué la décision et promis une action législative rapide, mais avec deux présidents proches de l’ancienne majorité encore dotés d’un droit de veto, les experts juridiques prévoient plusieurs mois de blocage. Les employeurs doivent donc anticiper des délais supplémentaires dans leurs stratégies d’autorisation de travail en Pologne et surveiller d’éventuelles sanctions de la CJUE susceptibles de détourner des fonds destinés à la modernisation des systèmes d’immigration.









