
Des rapporteurs spéciaux des Nations Unies ont vivement critiqué l’expulsion à l’aube de plus de 400 migrants du complexe scolaire désaffecté Badalona 9, survenue le 17 décembre. Dans une déclaration publiée à 5h00 le 20 décembre, ces experts ont averti que contraindre les résidents à dormir dans la rue sans solution de relogement adéquate « pourrait constituer un traitement cruel, inhumain ou dégradant » et violer les obligations de l’Espagne au titre du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels.
Les autorités locales, sous la direction du maire conservateur de Badalona, Xavier García Albiol, justifient cette opération par la nécessité de remédier aux risques sanitaires et à la criminalité présumée dans ce squat. Les associations de défense des migrants rétorquent que ce bâtiment – le plus grand campement informel de migrants en Catalogne – abritait des travailleurs originaires d’Afrique de l’Ouest et subsaharienne, occupant des emplois essentiels mais peu rémunérés dans la logistique et l’hôtellerie à Barcelone. Seuls 30 résidents ont bénéficié d’un hébergement temporaire ; les autres dorment désormais à la rue, en plein hiver.
Pour les organisations ou particuliers confrontés aux évolutions du cadre migratoire espagnol, des outils comme VisaHQ facilitent les démarches de visa et de permis de séjour, en fournissant des informations actualisées sur les documents requis, les frais et les délais. Leur portail dédié à l’Espagne (https://www.visahq.com/spain/) constitue un point de départ utile pour les équipes RH qui doivent régulariser le statut légal de nouveaux employés ou prolonger le séjour de collaborateurs existants dans un contexte de politiques municipales changeantes.
Ce conflit révèle une fracture croissante entre le gouvernement central espagnol, qui prépare un vaste programme de régularisation des travailleurs sans papiers en 2026, et plusieurs responsables régionaux ou municipaux prônant une application plus stricte des règles. Les fédérations patronales craignent que ces expulsions massives aggravent les pénuries de main-d’œuvre déjà ressenties dans le bâtiment et l’agriculture saisonnière. Les gestionnaires de relocalisation doivent s’attendre à un contrôle renforcé des logements surpeuplés par les municipalités et se préparer à accompagner les expatriés pour respecter les normes locales d’occupation.
Les équipes RH employant des travailleurs étrangers en Catalogne sont invitées à revoir les dispositions d’hébergement d’urgence dans leurs politiques d’affectation et à informer les salariés de leurs droits lors d’interventions policières. Les entreprises faisant appel à des sous-traitants doivent auditer les conditions de logement afin d’éviter des risques réputationnels ou liés à la chaîne d’approvisionnement en cas d’expulsions forcées.
Les autorités locales, sous la direction du maire conservateur de Badalona, Xavier García Albiol, justifient cette opération par la nécessité de remédier aux risques sanitaires et à la criminalité présumée dans ce squat. Les associations de défense des migrants rétorquent que ce bâtiment – le plus grand campement informel de migrants en Catalogne – abritait des travailleurs originaires d’Afrique de l’Ouest et subsaharienne, occupant des emplois essentiels mais peu rémunérés dans la logistique et l’hôtellerie à Barcelone. Seuls 30 résidents ont bénéficié d’un hébergement temporaire ; les autres dorment désormais à la rue, en plein hiver.
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Ce conflit révèle une fracture croissante entre le gouvernement central espagnol, qui prépare un vaste programme de régularisation des travailleurs sans papiers en 2026, et plusieurs responsables régionaux ou municipaux prônant une application plus stricte des règles. Les fédérations patronales craignent que ces expulsions massives aggravent les pénuries de main-d’œuvre déjà ressenties dans le bâtiment et l’agriculture saisonnière. Les gestionnaires de relocalisation doivent s’attendre à un contrôle renforcé des logements surpeuplés par les municipalités et se préparer à accompagner les expatriés pour respecter les normes locales d’occupation.
Les équipes RH employant des travailleurs étrangers en Catalogne sont invitées à revoir les dispositions d’hébergement d’urgence dans leurs politiques d’affectation et à informer les salariés de leurs droits lors d’interventions policières. Les entreprises faisant appel à des sous-traitants doivent auditer les conditions de logement afin d’éviter des risques réputationnels ou liés à la chaîne d’approvisionnement en cas d’expulsions forcées.







