
La Commission européenne a publié son huitième rapport dans le cadre du Mécanisme de suspension des visas le 19 décembre, mettant en lumière une augmentation des demandes d’asile de ressortissants géorgiens et serbes ainsi que des contrôles frontaliers laxistes dans plusieurs États des Caraïbes. Bien que l’Espagne ne soit pas directement visée, ces conclusions pourraient déclencher une procédure en vertu de l’article 8, réinstaurant l’obligation de visa pour certaines nationalités et allongeant les délais d’intégration pour les entreprises espagnoles.
En 2025, les consulats espagnols ont traité plus de 220 000 demandes de visa de court séjour émanant de citoyens des Balkans occidentaux ; toute suspension redirigerait cette charge de travail vers un réseau consulaire déjà saturé, prolongeant ainsi les délais pour les missions ponctuelles. Les services RH des entreprises sont donc invités à recenser les nationalités présentes dans leur personnel mobile et à anticiper des plans de contingence.
À ce stade, il peut être utile pour les entreprises de s’associer à un spécialiste comme VisaHQ, qui accélère les demandes de visa pour l’Espagne, informe les équipes RH des évolutions réglementaires et peut même pré-vérifier les documents avant les rendez-vous consulaires. Leur portail dédié à l’Espagne (https://www.visahq.com/spain/) propose des temps de traitement en temps réel et des alertes, permettant aux organisations de s’adapter rapidement en cas d’application des restrictions de l’article 8.
Ce rapport s’inscrit dans la préparation de Madrid au Système Entrée/Sortie de l’UE et aux exigences biométriques élargies. Les responsables mobilité sont encouragés à préenregistrer les voyageurs lorsque cela est possible et à utiliser les pilotes de documents de voyage numériques pour éviter les futurs goulets d’étranglement. Les prestataires de services visa anticipent une hausse de la demande de 15 à 20 % si l’article 8 est activé.
Les employeurs espagnols dépendant de la main-d’œuvre saisonnière balkanique dans l’agriculture et le tourisme doivent également surveiller l’éventuelle introduction par Madrid de permis de travail à quotas ou la promotion du nouveau concept de « corridor de mobilité professionnelle » actuellement débattu pour les travailleurs africains.
En 2025, les consulats espagnols ont traité plus de 220 000 demandes de visa de court séjour émanant de citoyens des Balkans occidentaux ; toute suspension redirigerait cette charge de travail vers un réseau consulaire déjà saturé, prolongeant ainsi les délais pour les missions ponctuelles. Les services RH des entreprises sont donc invités à recenser les nationalités présentes dans leur personnel mobile et à anticiper des plans de contingence.
À ce stade, il peut être utile pour les entreprises de s’associer à un spécialiste comme VisaHQ, qui accélère les demandes de visa pour l’Espagne, informe les équipes RH des évolutions réglementaires et peut même pré-vérifier les documents avant les rendez-vous consulaires. Leur portail dédié à l’Espagne (https://www.visahq.com/spain/) propose des temps de traitement en temps réel et des alertes, permettant aux organisations de s’adapter rapidement en cas d’application des restrictions de l’article 8.
Ce rapport s’inscrit dans la préparation de Madrid au Système Entrée/Sortie de l’UE et aux exigences biométriques élargies. Les responsables mobilité sont encouragés à préenregistrer les voyageurs lorsque cela est possible et à utiliser les pilotes de documents de voyage numériques pour éviter les futurs goulets d’étranglement. Les prestataires de services visa anticipent une hausse de la demande de 15 à 20 % si l’article 8 est activé.
Les employeurs espagnols dépendant de la main-d’œuvre saisonnière balkanique dans l’agriculture et le tourisme doivent également surveiller l’éventuelle introduction par Madrid de permis de travail à quotas ou la promotion du nouveau concept de « corridor de mobilité professionnelle » actuellement débattu pour les travailleurs africains.











