
Les vacanciers et voyageurs d’affaires irlandais se rendant en Europe continentale sont avertis de s’attendre à des contrôles aux frontières plus longs, après que le déploiement anticipé du nouveau système biométrique d’entrée/sortie (EES) de l’UE a provoqué des files d’attente de trois heures au Portugal, en Espagne et en République tchèque. L’EES, qui remplacera le tampon manuel sur les passeports des ressortissants hors UE, a commencé son déploiement progressif en octobre 2025 et doit être pleinement opérationnel à partir du 10 avril 2026.
Le Conseil international des aéroports (ACI) indique que les temps de traitement dans les aéroports participants ont augmenté de 70 % en raison de dysfonctionnements des bornes, d’une formation du personnel insuffisante et d’une installation incomplète des portiques automatiques. Actuellement, seuls 10 % des passagers sont enregistrés, un chiffre qui devrait atteindre 35 % d’ici le 9 janvier, suscitant des craintes de « congestion accrue et risques potentiels pour la sécurité », selon Olivier Jankovec, directeur de l’ACI.
Pour les voyageurs incertains quant aux documents ou à la préinscription nécessaires dans le cadre du nouveau régime EES, le portail irlandais de VisaHQ (https://www.visahq.com/ireland/) offre des conseils en temps réel, des alertes personnalisées et des services de visa accélérés. Cette plateforme aide aussi bien les particuliers que les entreprises à vérifier si leurs employés titulaires de passeports de pays tiers doivent accomplir des démarches supplémentaires avant le départ, facilitant ainsi la planification des voyages durant cette transition.
Si les citoyens irlandais continueront d’emprunter la voie UE/EEE et ne seront pas soumis à l’enregistrement EES, de nombreux voyageurs d’affaires détiennent des passeports britanniques, américains ou d’autres pays tiers. Les binationaux présentant un passeport non européen seront considérés comme entrants de pays tiers et devront enregistrer leurs empreintes digitales et une photo faciale à chaque frontière extérieure de l’espace Schengen. Les responsables mobilité sont donc invités à rappeler aux employés d’emporter leur passeport irlandais autant que possible pour éviter les retards.
Le daa précise que l’aéroport de Dublin collabore avec les compagnies aériennes pour informer les passagers avant le départ, mais dispose de peu d’influence une fois que les voyageurs ont atterri dans l’espace Schengen. Les agences de gestion de voyages recommandent de prévoir au moins 45 minutes de marge pour les correspondances à Lisbonne, Madrid et Prague, jusqu’à ce que le système soit stabilisé. L’ACI a demandé une réunion d’urgence avec la Commission européenne et les États Schengen pour revoir le calendrier de déploiement.
Si les problèmes persistent au deuxième trimestre 2026, les exportateurs irlandais dépendant des livraisons justes-à-temps par avion de passagers pourraient subir des retards en chaîne. Les entreprises disposant d’un important vivier de talents hors UE devraient également organiser des sessions d’information anticipées et veiller à ce que leur personnel mobile s’enregistre dans le nouveau système dès leur premier voyage en 2026, afin d’éviter des saisies répétées des données.
Le Conseil international des aéroports (ACI) indique que les temps de traitement dans les aéroports participants ont augmenté de 70 % en raison de dysfonctionnements des bornes, d’une formation du personnel insuffisante et d’une installation incomplète des portiques automatiques. Actuellement, seuls 10 % des passagers sont enregistrés, un chiffre qui devrait atteindre 35 % d’ici le 9 janvier, suscitant des craintes de « congestion accrue et risques potentiels pour la sécurité », selon Olivier Jankovec, directeur de l’ACI.
Pour les voyageurs incertains quant aux documents ou à la préinscription nécessaires dans le cadre du nouveau régime EES, le portail irlandais de VisaHQ (https://www.visahq.com/ireland/) offre des conseils en temps réel, des alertes personnalisées et des services de visa accélérés. Cette plateforme aide aussi bien les particuliers que les entreprises à vérifier si leurs employés titulaires de passeports de pays tiers doivent accomplir des démarches supplémentaires avant le départ, facilitant ainsi la planification des voyages durant cette transition.
Si les citoyens irlandais continueront d’emprunter la voie UE/EEE et ne seront pas soumis à l’enregistrement EES, de nombreux voyageurs d’affaires détiennent des passeports britanniques, américains ou d’autres pays tiers. Les binationaux présentant un passeport non européen seront considérés comme entrants de pays tiers et devront enregistrer leurs empreintes digitales et une photo faciale à chaque frontière extérieure de l’espace Schengen. Les responsables mobilité sont donc invités à rappeler aux employés d’emporter leur passeport irlandais autant que possible pour éviter les retards.
Le daa précise que l’aéroport de Dublin collabore avec les compagnies aériennes pour informer les passagers avant le départ, mais dispose de peu d’influence une fois que les voyageurs ont atterri dans l’espace Schengen. Les agences de gestion de voyages recommandent de prévoir au moins 45 minutes de marge pour les correspondances à Lisbonne, Madrid et Prague, jusqu’à ce que le système soit stabilisé. L’ACI a demandé une réunion d’urgence avec la Commission européenne et les États Schengen pour revoir le calendrier de déploiement.
Si les problèmes persistent au deuxième trimestre 2026, les exportateurs irlandais dépendant des livraisons justes-à-temps par avion de passagers pourraient subir des retards en chaîne. Les entreprises disposant d’un important vivier de talents hors UE devraient également organiser des sessions d’information anticipées et veiller à ce que leur personnel mobile s’enregistre dans le nouveau système dès leur premier voyage en 2026, afin d’éviter des saisies répétées des données.








