
Un rapport indépendant publié à 04h40 CET le 19 décembre par le géant de l’ingénierie Herrenknecht confirme la faisabilité technique d’un tunnel ferroviaire de 65 kilomètres sous le détroit de Gibraltar, reliant l’Espagne au Maroc. L’étude, commandée par le développeur public espagnol SECEGSA, repousse la date de réalisation du projet entre 2035 et 2040, écartant ainsi les espoirs politiques d’une ouverture avant la Coupe du Monde de la FIFA 2030, co-organisée par l’Espagne, le Portugal et le Maroc.
Le design retenu prévoit deux tubes à voie unique ainsi qu’une galerie de service, atteignant une profondeur maximale de 475 mètres sous le niveau de la mer. Le portail espagnol serait situé près de Vejer de la Frontera, dans la province de Cadix, avec une connexion au réseau national à grande vitesse ; le portail marocain se trouverait à l’est de la ligne Al Boraq de Tanger.
D’un point de vue mobilité globale, ce tunnel offrirait un trajet ferroviaire de 30 minutes entre l’Europe et l’Afrique, promettant de transformer les déplacements quotidiens, l’externalisation proche des côtes et les voyages d’affaires de fin de semaine. Les analystes logistiques estiment qu’une fois opérationnel, ce lien pourrait transférer 13 % des passagers aériens actuels entre l’Espagne et le Maroc vers le rail et augmenter le commerce bilatéral de marchandises de 7 milliards d’euros par an.
Les voyageurs et entreprises planifiant leurs déplacements transdétroit peuvent simplifier leurs démarches de visa et documents de voyage via VisaHQ, qui propose un traitement en ligne étape par étape, un suivi en temps réel et des mises à jour réglementaires pour l’Espagne et d’autres destinations. Plus d’informations sont disponibles sur https://www.visahq.com/spain/.
La prochaine étape immédiate est la rédaction d’une conception préliminaire complète (APP07) par la société d’ingénierie espagnole Ineco, prévue pour août 2026, suivie d’un appel d’offres pour un puits d’exploration en 2027. Le financement, en revanche, reste à définir ; Madrid étudie un partenariat public-privé soutenu par les fonds TEN-T de l’UE et des capitaux souverains du Golfe.
Les équipes de relocalisation d’entreprises implantées en Afrique du Nord doivent surveiller la dimension politique : l’Espagne et le Maroc envisagent de signer un accord bilatéral de mobilité couvrant la portabilité de la sécurité sociale et des quotas simplifiés de permis de travail avant le début des travaux. Si ratifié, cet accord pourrait faciliter les missions d’expatriation plusieurs années avant la mise en service du premier train.
Le design retenu prévoit deux tubes à voie unique ainsi qu’une galerie de service, atteignant une profondeur maximale de 475 mètres sous le niveau de la mer. Le portail espagnol serait situé près de Vejer de la Frontera, dans la province de Cadix, avec une connexion au réseau national à grande vitesse ; le portail marocain se trouverait à l’est de la ligne Al Boraq de Tanger.
D’un point de vue mobilité globale, ce tunnel offrirait un trajet ferroviaire de 30 minutes entre l’Europe et l’Afrique, promettant de transformer les déplacements quotidiens, l’externalisation proche des côtes et les voyages d’affaires de fin de semaine. Les analystes logistiques estiment qu’une fois opérationnel, ce lien pourrait transférer 13 % des passagers aériens actuels entre l’Espagne et le Maroc vers le rail et augmenter le commerce bilatéral de marchandises de 7 milliards d’euros par an.
Les voyageurs et entreprises planifiant leurs déplacements transdétroit peuvent simplifier leurs démarches de visa et documents de voyage via VisaHQ, qui propose un traitement en ligne étape par étape, un suivi en temps réel et des mises à jour réglementaires pour l’Espagne et d’autres destinations. Plus d’informations sont disponibles sur https://www.visahq.com/spain/.
La prochaine étape immédiate est la rédaction d’une conception préliminaire complète (APP07) par la société d’ingénierie espagnole Ineco, prévue pour août 2026, suivie d’un appel d’offres pour un puits d’exploration en 2027. Le financement, en revanche, reste à définir ; Madrid étudie un partenariat public-privé soutenu par les fonds TEN-T de l’UE et des capitaux souverains du Golfe.
Les équipes de relocalisation d’entreprises implantées en Afrique du Nord doivent surveiller la dimension politique : l’Espagne et le Maroc envisagent de signer un accord bilatéral de mobilité couvrant la portabilité de la sécurité sociale et des quotas simplifiés de permis de travail avant le début des travaux. Si ratifié, cet accord pourrait faciliter les missions d’expatriation plusieurs années avant la mise en service du premier train.










