
La pluie nocturne aux Émirats résonne à 2 000 km de là : les voyageurs d’Ahmedabad se sont réveillés vendredi pour découvrir que leurs vols vers Dubaï, Abou Dhabi et Sharjah étaient retardés jusqu’à sept heures et demie. Un Boeing 737 de SpiceJet à destination de DXB (SG 15) a finalement décollé avec plus de 450 minutes de retard, tandis que les vols Emirates EK 540 et EK 538 ont quitté l’aéroport avec des retards moyens de quatre heures, ont confirmé les responsables locaux.
Avant le départ, les passagers peuvent limiter les perturbations en s’assurant que leurs documents de voyage sont en ordre. Le portail en ligne de VisaHQ (https://www.visahq.com/united-arab-emirates/) facilite les demandes de visa pour les Émirats, offre des mises à jour en temps réel et un service de conciergerie — particulièrement utile en cas de changements de dernière minute ou de réacheminements.
Les écrans d’information des vols à l’aéroport international d’Ahmedabad ont attribué les retards aux « conditions météorologiques à destination » ; en réalité, les contraintes de créneaux à DXB et les restrictions de contrôle aérien en route ont forcé les compagnies à immobiliser les avions au sol en Inde. Cet effet domino a laissé des centaines de voyageurs d’affaires bloqués, alors qu’ils devaient assister à des réunions pré-Noël dans les zones franches des Émirats.
Les acheteurs de voyages d’affaires doivent noter que les compagnies low-cost indiennes privilégient généralement la réaffectation sur le prochain vol disponible plutôt que l’interconnexion lors d’opérations perturbées (IROPs). Les voyageurs avec des billets séparés au départ de DXB risquent donc de manquer leur correspondance et doivent demander des dérogations au cas par cas.
Les équipes de mobilité envoyant des techniciens aux Émirats pour les projets de fin d’année devraient envisager un itinéraire via Mumbai ou Delhi, où les vols alternatifs vers les Émirats affichent cette semaine une ponctualité légèrement meilleure.
Avant le départ, les passagers peuvent limiter les perturbations en s’assurant que leurs documents de voyage sont en ordre. Le portail en ligne de VisaHQ (https://www.visahq.com/united-arab-emirates/) facilite les demandes de visa pour les Émirats, offre des mises à jour en temps réel et un service de conciergerie — particulièrement utile en cas de changements de dernière minute ou de réacheminements.
Les écrans d’information des vols à l’aéroport international d’Ahmedabad ont attribué les retards aux « conditions météorologiques à destination » ; en réalité, les contraintes de créneaux à DXB et les restrictions de contrôle aérien en route ont forcé les compagnies à immobiliser les avions au sol en Inde. Cet effet domino a laissé des centaines de voyageurs d’affaires bloqués, alors qu’ils devaient assister à des réunions pré-Noël dans les zones franches des Émirats.
Les acheteurs de voyages d’affaires doivent noter que les compagnies low-cost indiennes privilégient généralement la réaffectation sur le prochain vol disponible plutôt que l’interconnexion lors d’opérations perturbées (IROPs). Les voyageurs avec des billets séparés au départ de DXB risquent donc de manquer leur correspondance et doivent demander des dérogations au cas par cas.
Les équipes de mobilité envoyant des techniciens aux Émirats pour les projets de fin d’année devraient envisager un itinéraire via Mumbai ou Delhi, où les vols alternatifs vers les Émirats affichent cette semaine une ponctualité légèrement meilleure.









