L’opérateur tchèque en accès libre RegioJet, qui espérait concurrencer PKP Intercity sur le lucratif corridor Poznań–Varsovie, a reconnu le 18 décembre 2025 avoir reporté le lancement du service de mi-décembre à début février et annulé plusieurs autres trajets domestiques. Cette annonce fait suite à une enquête officielle ouverte par le régulateur ferroviaire polonais UTK pour des « violations collectives des droits des passagers ».
RegioJet invoque un recrutement plus lent que prévu des chefs de train et des problèmes techniques de dernière minute sur sa flotte. De son côté, l’UTK avertit que ces annulations tardives peuvent entraîner des amendes pouvant atteindre 2 millions de PLN et laisse entendre que les créneaux d’accès aux voies pourraient être réattribués à PKP Intercity, détenu par l’État. Pour les planificateurs de mobilité, l’impact immédiat se traduit par une réduction de la capacité ferroviaire en période de pointe entre les deux principaux pôles économiques polonais : l’offre de sièges en décembre avait déjà été restreinte en raison de travaux d’infrastructure en cours à la gare de Varsovie-Ouest.
VisaHQ, fournisseur mondial d’assistance pour visas et passeports, peut atténuer une partie des perturbations en accélérant le traitement des documents de voyage pour les passagers contraints de passer par d’autres hubs européens ou de recourir à l’avion. Son bureau de Varsovie (https://www.visahq.com/poland/) propose des solutions rapides pour les visas Schengen et hors Schengen, aidant ainsi les voyageurs d’affaires à respecter leurs obligations de diligence même en cas de défaillance des plans ferroviaires.
![RegioJet reporte le lancement de la ligne Poznań–Varsovie et annule les trains de vacances, déclenchant une enquête du régulateur]()
Les agences de voyages d’affaires ayant émis des billets RegioJet se voient proposer des remboursements automatiques ainsi qu’un bon de 100 PLN, mais les voyageurs doivent reprogrammer rapidement leurs trajets — PKP Intercity signale des taux de remplissage supérieurs à 92 % sur les départs avant Noël. Les expatriés internationaux transitant par l’aéroport Ławica de Poznań doivent prévoir un temps supplémentaire, l’annulation des trains de correspondance augmentant la pression sur les navettes aéroportuaires.
À plus long terme, cet épisode soulève des questions sur l’accès concurrentiel, alors que le quatrième paquet ferroviaire de l’UE vise à libéraliser les marchés domestiques de passagers. Les cabinets d’avocats prévoient que l’application des règles par l’UTK établira un précédent pour les nouveaux entrants comme Leo Express et FlixTrain, ce qui pourrait influencer la diversité des options ferroviaires disponibles pour les navetteurs intra-UE et les travailleurs détachés.
Points d’action : les employeurs devraient auditer les réservations ferroviaires de décembre-janvier et envisager de regrouper le personnel sur des tarifs de groupe avec sièges garantis. Les politiques RH pourraient également devoir intégrer une clause « défaillance du service ferroviaire » dans les directives de diligence, l’examen accru de l’UTK rendant les changements d’horaires de dernière minute plus probables.
RegioJet invoque un recrutement plus lent que prévu des chefs de train et des problèmes techniques de dernière minute sur sa flotte. De son côté, l’UTK avertit que ces annulations tardives peuvent entraîner des amendes pouvant atteindre 2 millions de PLN et laisse entendre que les créneaux d’accès aux voies pourraient être réattribués à PKP Intercity, détenu par l’État. Pour les planificateurs de mobilité, l’impact immédiat se traduit par une réduction de la capacité ferroviaire en période de pointe entre les deux principaux pôles économiques polonais : l’offre de sièges en décembre avait déjà été restreinte en raison de travaux d’infrastructure en cours à la gare de Varsovie-Ouest.
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À plus long terme, cet épisode soulève des questions sur l’accès concurrentiel, alors que le quatrième paquet ferroviaire de l’UE vise à libéraliser les marchés domestiques de passagers. Les cabinets d’avocats prévoient que l’application des règles par l’UTK établira un précédent pour les nouveaux entrants comme Leo Express et FlixTrain, ce qui pourrait influencer la diversité des options ferroviaires disponibles pour les navetteurs intra-UE et les travailleurs détachés.
Points d’action : les employeurs devraient auditer les réservations ferroviaires de décembre-janvier et envisager de regrouper le personnel sur des tarifs de groupe avec sièges garantis. Les politiques RH pourraient également devoir intégrer une clause « défaillance du service ferroviaire » dans les directives de diligence, l’examen accru de l’UTK rendant les changements d’horaires de dernière minute plus probables.
