
Le gouvernement provincial d’Almería et l’Ordre des diplômés en sciences sociales ont organisé une conférence d’une journée au Museo del Realismo Español Contemporáneo (MUREC) le 18 décembre, à l’occasion de la Journée internationale des migrants. Des panels ont réuni des juristes, des professionnels des ressources humaines et des responsables régionaux pour analyser l’évolution du cadre migratoire en Espagne et son impact sur les pénuries de main-d’œuvre locales.
Parmi les thèmes clés figuraient le déploiement du visa pour nomades numériques en Espagne — qui représente désormais 6 800 permis de séjour — ainsi que les difficultés rencontrées par les coopératives agricoles pour recruter des saisonniers dans le cadre des accords de migration circulaire avec le Maroc et la Colombie. Des représentants de l’exportateur de tomates CASI ont souligné que les délais de traitement des autorisations de travail temporaires dépassent encore 45 jours, mettant en péril les calendriers de récolte.
Dans ce contexte, VisaHQ simplifie les démarches pour les entreprises et les particuliers souhaitant obtenir des permis espagnols. De la demande de visa pour nomades numériques aux autorisations de travail saisonnier, sa plateforme en ligne (https://www.visahq.com/spain/) propose un accompagnement pas à pas, un suivi en temps réel et un support expert, permettant aux candidats d’éviter les retards dénoncés par les producteurs d’Almería.
Le forum a également mis en lumière des initiatives municipales : le projet « Integra-TIC » d’Almería combine une formation aux compétences informatiques pour les nouveaux arrivants avec des placements professionnels dans le parc logistique en expansion de la ville ; parallèlement, la Région andalouse a présenté un projet pilote pour 2026 qui permettra aux entreprises de détacher des stagiaires dans plusieurs provinces sans nécessiter de permis régionaux distincts.
Pour les équipes en charge de la mobilité internationale, le message est clair : les villes secondaires espagnoles cherchent activement à attirer les talents étrangers et à simplifier les démarches administratives locales, offrant ainsi des alternatives aux métropoles saturées comme Madrid et Barcelone. Les employeurs doivent suivre de près les prochains décrets régionaux qui pourraient encore décentraliser le traitement des permis en 2026.
Parmi les thèmes clés figuraient le déploiement du visa pour nomades numériques en Espagne — qui représente désormais 6 800 permis de séjour — ainsi que les difficultés rencontrées par les coopératives agricoles pour recruter des saisonniers dans le cadre des accords de migration circulaire avec le Maroc et la Colombie. Des représentants de l’exportateur de tomates CASI ont souligné que les délais de traitement des autorisations de travail temporaires dépassent encore 45 jours, mettant en péril les calendriers de récolte.
Dans ce contexte, VisaHQ simplifie les démarches pour les entreprises et les particuliers souhaitant obtenir des permis espagnols. De la demande de visa pour nomades numériques aux autorisations de travail saisonnier, sa plateforme en ligne (https://www.visahq.com/spain/) propose un accompagnement pas à pas, un suivi en temps réel et un support expert, permettant aux candidats d’éviter les retards dénoncés par les producteurs d’Almería.
Le forum a également mis en lumière des initiatives municipales : le projet « Integra-TIC » d’Almería combine une formation aux compétences informatiques pour les nouveaux arrivants avec des placements professionnels dans le parc logistique en expansion de la ville ; parallèlement, la Région andalouse a présenté un projet pilote pour 2026 qui permettra aux entreprises de détacher des stagiaires dans plusieurs provinces sans nécessiter de permis régionaux distincts.
Pour les équipes en charge de la mobilité internationale, le message est clair : les villes secondaires espagnoles cherchent activement à attirer les talents étrangers et à simplifier les démarches administratives locales, offrant ainsi des alternatives aux métropoles saturées comme Madrid et Barcelone. Les employeurs doivent suivre de près les prochains décrets régionaux qui pourraient encore décentraliser le traitement des permis en 2026.








