
Le ministère de l’Intérieur polonais a révélé la découverte cette année de quatre tunnels clandestins creusés sous sa frontière fortement sécurisée avec la Biélorussie, le plus récent près du village de Narewka. Les autorités affirment que des « spécialistes du Moyen-Orient » ont été envoyés en Biélorussie spécialement pour construire ces passages, permettant à de petits groupes de migrants de contourner la clôture en acier de 5 mètres et d’échapper aux patrouilles des gardes-frontières.
Ces tunnels, d’environ 1,5 mètre de hauteur et s’étendant jusqu’à 60 mètres, illustrent le jeu du chat et de la souris auquel Varsovie est confrontée depuis que Minsk a commencé à orienter des migrants de pays tiers vers l’UE en 2021. La surveillance par drones et le radar à pénétration de sol sont désormais renforcés, tandis que le ministère de la Défense prévoit d’installer des capteurs sismiques dans les secteurs à haut risque de la barrière dite « Bouclier de l’Est ».
Pour les voyageurs et les responsables de la mobilité en entreprise, il est tout aussi crucial de rester informés des règles d’entrée en constante évolution. Le portail VisaHQ pour la Pologne (https://www.visahq.com/poland/) offre des informations actualisées sur les exigences de visa, les avis concernant les zones frontalières et les démarches administratives, permettant aux entreprises de réorienter leur personnel ou d’ajuster les itinéraires à court terme tout en respectant pleinement les règles de l’espace Schengen et nationales.
Sur le plan des programmes de mobilité internationale, cette montée en tension sécuritaire a des répercussions concrètes. Les transitaires ont signalé des fermetures temporaires des postes-frontières de Bobrowniki et Kuźnica lors des inspections des tunnels, contraignant les camions commerciaux à emprunter des itinéraires plus longs via la Lituanie. Les voyagistes ont annulé les excursions dans la forêt de Białowieża, qui contournent la zone d’exclusion, invoquant des restrictions d’assurance.
Sur le plan diplomatique, Varsovie a informé ses partenaires de l’OTAN et presse la Commission européenne pour obtenir des fonds d’urgence afin de renforcer les sections critiques de la frontière. La Biélorussie rejette ces accusations comme des « fabrications », tandis que les ONG de défense des droits humains mettent en garde contre le risque que cette militarisation accrue pousse les migrants à emprunter des passages encore plus dangereux, notamment des zones minées, une menace qui pourrait s’aggraver avec la nouvelle politique polonaise sur les mines terrestres.
Les employeurs dont le personnel travaille dans les comtés frontaliers sont invités à suivre les avis des autorités locales, à revoir les protocoles de sécurité liés aux déplacements et à s’assurer que les travailleurs détachés disposent de copies numériques et papier de leurs pièces d’identité en cas de contrôles inopinés.
Ces tunnels, d’environ 1,5 mètre de hauteur et s’étendant jusqu’à 60 mètres, illustrent le jeu du chat et de la souris auquel Varsovie est confrontée depuis que Minsk a commencé à orienter des migrants de pays tiers vers l’UE en 2021. La surveillance par drones et le radar à pénétration de sol sont désormais renforcés, tandis que le ministère de la Défense prévoit d’installer des capteurs sismiques dans les secteurs à haut risque de la barrière dite « Bouclier de l’Est ».
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Sur le plan des programmes de mobilité internationale, cette montée en tension sécuritaire a des répercussions concrètes. Les transitaires ont signalé des fermetures temporaires des postes-frontières de Bobrowniki et Kuźnica lors des inspections des tunnels, contraignant les camions commerciaux à emprunter des itinéraires plus longs via la Lituanie. Les voyagistes ont annulé les excursions dans la forêt de Białowieża, qui contournent la zone d’exclusion, invoquant des restrictions d’assurance.
Sur le plan diplomatique, Varsovie a informé ses partenaires de l’OTAN et presse la Commission européenne pour obtenir des fonds d’urgence afin de renforcer les sections critiques de la frontière. La Biélorussie rejette ces accusations comme des « fabrications », tandis que les ONG de défense des droits humains mettent en garde contre le risque que cette militarisation accrue pousse les migrants à emprunter des passages encore plus dangereux, notamment des zones minées, une menace qui pourrait s’aggraver avec la nouvelle politique polonaise sur les mines terrestres.
Les employeurs dont le personnel travaille dans les comtés frontaliers sont invités à suivre les avis des autorités locales, à revoir les protocoles de sécurité liés aux déplacements et à s’assurer que les travailleurs détachés disposent de copies numériques et papier de leurs pièces d’identité en cas de contrôles inopinés.








