
La députée de l’opposition, Sussan Ley, a dévoilé une task-force de sept membres de la Coalition qui, selon elle, « mettra pleinement en œuvre » le rapport Segal sur l’antisémitisme, incluant des mesures pour vérifier les demandes de visa afin de détecter des opinions extrémistes ou haineuses. Aux côtés du porte-parole de l’opposition sur les affaires intérieures, Dan Tehan, Ley a critiqué les actions du gouvernement Albanese, les qualifiant de « fragmentaires », et a promis de déposer des projets de loi d’initiative parlementaire dès la reprise des travaux si les ministres ne s’engagent pas sur un calendrier clair.
Les trois axes de la task-force sont : 1) l’adoption législative des 49 recommandations ; 2) le renforcement des mesures de sécurité nationale et de lutte contre le terrorisme ; 3) un engagement communautaire approfondi pour protéger les Australiens juifs. Concernant les visas, la Coalition souhaite que le ministère de l’Intérieur effectue des vérifications sur une nouvelle liste de surveillance regroupant des organisations et chaînes en ligne antisémites. Les candidats ayant soutenu la négation de l’Holocauste ou des discours violents antijuifs pourraient être déclarés inaptes au test de moralité, à l’image des règles déjà appliquées aux contenus islamistes extrémistes.
Les groupes d’affaires ont salué cet élan bipartisan sur des questions susceptibles de ternir l’image de l’Australie comme destination sûre pour les migrants qualifiés et les étudiants. Toutefois, l’organisation universitaire Universities Australia a mis en garde : toute nouvelle question de filtrage doit être fondée sur des preuves et respecter les principes de liberté académique, alertant contre un « glissement de mission » qui pourrait étouffer le débat politique légitime.
Dans ce contexte, les entreprises et voyageurs souhaitant rester informés des règles d’entrée en constante évolution peuvent se tourner vers VisaHQ pour une assistance pratique. Le portail australien de la société (https://www.visahq.com/australia/) suit en temps réel les changements réglementaires, clarifie les nouvelles exigences liées au test de moralité et guide les utilisateurs dans la collecte des documents, réduisant ainsi les risques de retards coûteux.
Si ces mesures sont adoptées, le contrôle renforcé rapprocherait l’Australie des États-Unis et du Canada, qui ont tous deux intégré des questions sur les discours haineux dans leurs autorisations de voyage électroniques en 2024-2025. Les avocats spécialisés en immigration prévoient une légère augmentation des demandes de renseignements complémentaires, sans s’attendre à une annulation massive de visas, soulignant que la plupart des contenus haineux sont publiés sous pseudonyme et difficiles à vérifier.
Ley a annoncé que la task-force tiendra des auditions publiques mensuelles et publiera un tableau de bord des progrès, maintenant ainsi la pression sur le gouvernement à l’approche des élections fédérales de 2025. Les responsables de programmes de mobilité doivent suivre ce débat de près : un changement de gouvernement l’an prochain pourrait accélérer l’adoption de nouvelles couches de contrôle des visas et de conditions de financement pour les employeurs parrains.
Les trois axes de la task-force sont : 1) l’adoption législative des 49 recommandations ; 2) le renforcement des mesures de sécurité nationale et de lutte contre le terrorisme ; 3) un engagement communautaire approfondi pour protéger les Australiens juifs. Concernant les visas, la Coalition souhaite que le ministère de l’Intérieur effectue des vérifications sur une nouvelle liste de surveillance regroupant des organisations et chaînes en ligne antisémites. Les candidats ayant soutenu la négation de l’Holocauste ou des discours violents antijuifs pourraient être déclarés inaptes au test de moralité, à l’image des règles déjà appliquées aux contenus islamistes extrémistes.
Les groupes d’affaires ont salué cet élan bipartisan sur des questions susceptibles de ternir l’image de l’Australie comme destination sûre pour les migrants qualifiés et les étudiants. Toutefois, l’organisation universitaire Universities Australia a mis en garde : toute nouvelle question de filtrage doit être fondée sur des preuves et respecter les principes de liberté académique, alertant contre un « glissement de mission » qui pourrait étouffer le débat politique légitime.
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Si ces mesures sont adoptées, le contrôle renforcé rapprocherait l’Australie des États-Unis et du Canada, qui ont tous deux intégré des questions sur les discours haineux dans leurs autorisations de voyage électroniques en 2024-2025. Les avocats spécialisés en immigration prévoient une légère augmentation des demandes de renseignements complémentaires, sans s’attendre à une annulation massive de visas, soulignant que la plupart des contenus haineux sont publiés sous pseudonyme et difficiles à vérifier.
Ley a annoncé que la task-force tiendra des auditions publiques mensuelles et publiera un tableau de bord des progrès, maintenant ainsi la pression sur le gouvernement à l’approche des élections fédérales de 2025. Les responsables de programmes de mobilité doivent suivre ce débat de près : un changement de gouvernement l’an prochain pourrait accélérer l’adoption de nouvelles couches de contrôle des visas et de conditions de financement pour les employeurs parrains.







