
Le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a discrètement publié un projet de règlement qui obligerait les ressortissants des 42 pays participant au Programme d’exemption de visa (VWP) à fournir les identifiants de leurs comptes sur les réseaux sociaux utilisés au cours des cinq dernières années lors de leur demande d’autorisation de voyage électronique (ESTA). Cette proposition, qui devrait entrer en vigueur le 8 février 2026 après une période de consultation de 60 jours, exigerait également des demandeurs qu’ils communiquent toutes les adresses e-mail utilisées au cours des dix dernières années, ainsi que des informations biographiques détaillées sur leurs parents, frères et sœurs, conjoints et enfants. Les autorités justifient ce renforcement des contrôles par la nécessité de « filtrer au maximum », conformément à un décret exécutif signé par Donald Trump le 20 janvier, tout en reconnaissant que cela allongera d’environ 30 minutes le temps de traitement de chaque demande.
Les acteurs du secteur touristique ont réagi rapidement. L’Association américaine du voyage a mis en garde contre cette collecte de données « intrusive » qui pourrait dissuader jusqu’à trois millions de visiteurs à fort pouvoir d’achat par an, entraînant une perte de 7 milliards de dollars pour le tourisme intérieur, alors que l’industrie compte sur la Coupe du Monde de la FIFA 2026 pour relancer la fréquentation. Du côté européen, les autorités envisagent des « mesures réciproques », ce qui pourrait compliquer les déplacements des hommes d’affaires américains vers l’Union européenne.
Dans ce contexte en évolution, des intermédiaires comme VisaHQ peuvent faciliter les démarches. Via son portail américain (https://www.visahq.com/united-states/), ce service suit en temps réel les mises à jour réglementaires et permet aux demandeurs d’organiser en toute sécurité leurs comptes sur les réseaux sociaux, leurs anciennes adresses e-mail et les informations familiales requises avant de commencer leur demande ESTA, réduisant ainsi les erreurs et aidant les voyageurs à soumettre des dossiers complets et conformes dès la première tentative.
Du point de vue de la conformité, les employeurs multinationales doivent informer les voyageurs fréquents bénéficiant de l’entrée sans visa que leur empreinte numérique sera bientôt scrutée. Les entreprises doivent mettre à jour leurs avis de confidentialité, conseiller leurs cadres de supprimer tout contenu sensible et se préparer à des délais de traitement plus longs qui pourraient perturber les déplacements de dernière minute. Les conseillers en immigration recommandent également de revoir les politiques internes sur les réseaux sociaux afin d’éviter que les employés ne publient involontairement des contenus susceptibles d’être mal interprétés par les autorités consulaires ou frontalières américaines.
Les experts soulignent que la formulation large de la règle pourrait exposer les voyageurs à des refus pour des publications anodines sorties de leur contexte, ou en raison de paramètres de confidentialité masquant des contenus anciens. Des avocats préparent déjà des recours fondés sur le Premier Amendement, arguant que ce règlement porte atteinte à la liberté d’expression et empiète sur les données personnelles de millions de personnes sans suspicion individuelle. Pour l’heure, les entreprises doivent anticiper d’éventuels retards et commencer à sensibiliser leurs collaborateurs mobiles à leur présence en ligne avant l’entrée en vigueur de la mesure début 2026.
Les acteurs du secteur touristique ont réagi rapidement. L’Association américaine du voyage a mis en garde contre cette collecte de données « intrusive » qui pourrait dissuader jusqu’à trois millions de visiteurs à fort pouvoir d’achat par an, entraînant une perte de 7 milliards de dollars pour le tourisme intérieur, alors que l’industrie compte sur la Coupe du Monde de la FIFA 2026 pour relancer la fréquentation. Du côté européen, les autorités envisagent des « mesures réciproques », ce qui pourrait compliquer les déplacements des hommes d’affaires américains vers l’Union européenne.
Dans ce contexte en évolution, des intermédiaires comme VisaHQ peuvent faciliter les démarches. Via son portail américain (https://www.visahq.com/united-states/), ce service suit en temps réel les mises à jour réglementaires et permet aux demandeurs d’organiser en toute sécurité leurs comptes sur les réseaux sociaux, leurs anciennes adresses e-mail et les informations familiales requises avant de commencer leur demande ESTA, réduisant ainsi les erreurs et aidant les voyageurs à soumettre des dossiers complets et conformes dès la première tentative.
Du point de vue de la conformité, les employeurs multinationales doivent informer les voyageurs fréquents bénéficiant de l’entrée sans visa que leur empreinte numérique sera bientôt scrutée. Les entreprises doivent mettre à jour leurs avis de confidentialité, conseiller leurs cadres de supprimer tout contenu sensible et se préparer à des délais de traitement plus longs qui pourraient perturber les déplacements de dernière minute. Les conseillers en immigration recommandent également de revoir les politiques internes sur les réseaux sociaux afin d’éviter que les employés ne publient involontairement des contenus susceptibles d’être mal interprétés par les autorités consulaires ou frontalières américaines.
Les experts soulignent que la formulation large de la règle pourrait exposer les voyageurs à des refus pour des publications anodines sorties de leur contexte, ou en raison de paramètres de confidentialité masquant des contenus anciens. Des avocats préparent déjà des recours fondés sur le Premier Amendement, arguant que ce règlement porte atteinte à la liberté d’expression et empiète sur les données personnelles de millions de personnes sans suspicion individuelle. Pour l’heure, les entreprises doivent anticiper d’éventuels retards et commencer à sensibiliser leurs collaborateurs mobiles à leur présence en ligne avant l’entrée en vigueur de la mesure début 2026.








