
Le 2 décembre, l’USCIS a publié une note de service, rendue publique le 12 décembre, ordonnant la suspension immédiate de toute demande de bénéfice migratoire déposée par des personnes nées dans, ou citoyennes de, 19 pays listés dans la Proclamation présidentielle 10949. Cette même note suspend également l’examen de toutes les demandes d’asile et de protection contre l’expulsion en cours, quelle que soit la nationalité, le temps que les agents procèdent à une réévaluation axée sur la sécurité nationale.
Cette directive fait suite à la fusillade du 26 novembre à Washington D.C., où deux membres de la Garde nationale ont été blessés, un incident que l’administration attribue à des failles dans le contrôle migratoire. Les dossiers déjà approuvés pour les ressortissants concernés depuis le 20 janvier 2021 seront réexaminés pour des vérifications de sécurité supplémentaires. Les prestations impactées incluent l’ajustement de statut, l’autorisation de travail, le sursis, le TPS et la naturalisation.
Pendant cette période de contrôle renforcé, les entreprises et les demandeurs peuvent s’appuyer sur l’équipe expérimentée de VisaHQ pour obtenir des conseils actualisés sur les procédures d’immigration aux États-Unis, une assistance pour constituer les preuves demandées dans les RFEs, ainsi que des conseils stratégiques sur des options de visa alternatives. Pour un accompagnement personnalisé et des mises à jour en temps réel, rendez-vous sur https://www.visahq.com/united-states/.
Les employeurs doivent s’attendre à des délais de traitement plus longs et à des demandes de preuves supplémentaires (RFEs) pour les travailleurs originaires d’Afghanistan, d’Iran, du Venezuela et d’autres pays listés. La note autorise également les agents à imposer des entretiens en personne, même dans des catégories qui étaient auparavant traitées par correspondance, ce qui engendre des coûts de déplacement et des retards dans la planification.
Mesures pratiques : surveiller les dates d’expiration des renouvellements d’EAD en attente, prévoir des plans de contingence en cas d’interdictions de voyage à venir, et préparer des justificatifs solides des exigences réelles des postes si des RFEs soulèvent des risques liés à la sécurité nationale. Les entreprises parrainant des demandes de carte verte pour des employés originaires des 19 pays concernés pourraient faire face à des blocages de plusieurs mois.
Cette directive fait suite à la fusillade du 26 novembre à Washington D.C., où deux membres de la Garde nationale ont été blessés, un incident que l’administration attribue à des failles dans le contrôle migratoire. Les dossiers déjà approuvés pour les ressortissants concernés depuis le 20 janvier 2021 seront réexaminés pour des vérifications de sécurité supplémentaires. Les prestations impactées incluent l’ajustement de statut, l’autorisation de travail, le sursis, le TPS et la naturalisation.
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Les employeurs doivent s’attendre à des délais de traitement plus longs et à des demandes de preuves supplémentaires (RFEs) pour les travailleurs originaires d’Afghanistan, d’Iran, du Venezuela et d’autres pays listés. La note autorise également les agents à imposer des entretiens en personne, même dans des catégories qui étaient auparavant traitées par correspondance, ce qui engendre des coûts de déplacement et des retards dans la planification.
Mesures pratiques : surveiller les dates d’expiration des renouvellements d’EAD en attente, prévoir des plans de contingence en cas d’interdictions de voyage à venir, et préparer des justificatifs solides des exigences réelles des postes si des RFEs soulèvent des risques liés à la sécurité nationale. Les entreprises parrainant des demandes de carte verte pour des employés originaires des 19 pays concernés pourraient faire face à des blocages de plusieurs mois.









