
La Police Fédérale brésilienne (PF) a provoqué une onde de choc dans les cercles de l’immigration d’entreprise en publiant la liste complète des noms de dizaines d’étrangers sanctionnés pour ne pas avoir respecté le délai de 30 jours après leur arrivée pour s’enregistrer. Cette divulgation sans précédent est apparue dans le Bulletin Administratif de la PF publié le 9 décembre, repérée par des conseillers le 11 décembre, et a dominé les discussions sur la conformité dès le 13 décembre.
Selon la loi brésilienne sur la migration, tout entrant non-touriste — qu’il soit titulaire d’un permis de travail, d’un statut étudiant, d’un visa nomade numérique ou en tant que personne à charge — doit se présenter en personne dans un bureau de la PF dans les 30 jours suivant sa première entrée pour être photographié, prendre ses empreintes digitales et présenter ses documents originaux. Les amendes commencent à 100 R$ mais augmentent chaque jour et peuvent dépasser 7 000 R$ en cas de dépassement grave. En publiant les noms ainsi que les montants, la PF mise clairement sur la pression publique pour améliorer le respect de cette règle.
Pour les employeurs multinationales, cette mesure introduit de nouveaux risques en termes de réputation et de relations avec les employés. Les responsables de la mobilité internationale rapportent que les collaborateurs en mission exigent désormais une preuve d’enregistrement dans les délais, et plusieurs entreprises intègrent des rappels automatisés de la PF dans leurs tableaux de bord RH. Les avocats spécialisés en immigration avertissent que les amendes doivent être réglées avant toute demande de renouvellement ou de changement de statut, sous peine de déclencher des procédures d’expulsion.
Pour simplifier ces démarches, employeurs et voyageurs peuvent s’appuyer sur le service clé en main proposé par VisaHQ. Via son bureau dédié au Brésil (https://www.visahq.com/brazil/), la société organise les rendez-vous avec la PF, suit le délai de 30 jours et envoie des alertes automatiques pour éviter que les collaborateurs ne s’exposent à des amendes, tout en offrant aux équipes RH une visibilité en temps réel sur l’état des dossiers.
Parmi les bonnes pratiques, il est conseillé de réserver les rendez-vous PF avant l’arrivée de l’employé, de conserver les cartes d’embarquement comme preuve du début du délai de 30 jours, et de prévoir un délai supplémentaire à São Paulo, Rio de Janeiro et Belo Horizonte où les bureaux régionaux exigent de plus en plus des documents originaux apostillés. Les employeurs sont également invités à familiariser leurs équipes avec PagTesouro, le portail de paiement en ligne du gouvernement, car les bordereaux papier sont progressivement supprimés.
Alors que le Brésil attend un afflux record de visiteurs étrangers avant la COP-30 en 2026, le message de la PF est clair : la conformité sera visible — et coûteuse — pour ceux qui ne respecteront pas les règles.
Selon la loi brésilienne sur la migration, tout entrant non-touriste — qu’il soit titulaire d’un permis de travail, d’un statut étudiant, d’un visa nomade numérique ou en tant que personne à charge — doit se présenter en personne dans un bureau de la PF dans les 30 jours suivant sa première entrée pour être photographié, prendre ses empreintes digitales et présenter ses documents originaux. Les amendes commencent à 100 R$ mais augmentent chaque jour et peuvent dépasser 7 000 R$ en cas de dépassement grave. En publiant les noms ainsi que les montants, la PF mise clairement sur la pression publique pour améliorer le respect de cette règle.
Pour les employeurs multinationales, cette mesure introduit de nouveaux risques en termes de réputation et de relations avec les employés. Les responsables de la mobilité internationale rapportent que les collaborateurs en mission exigent désormais une preuve d’enregistrement dans les délais, et plusieurs entreprises intègrent des rappels automatisés de la PF dans leurs tableaux de bord RH. Les avocats spécialisés en immigration avertissent que les amendes doivent être réglées avant toute demande de renouvellement ou de changement de statut, sous peine de déclencher des procédures d’expulsion.
Pour simplifier ces démarches, employeurs et voyageurs peuvent s’appuyer sur le service clé en main proposé par VisaHQ. Via son bureau dédié au Brésil (https://www.visahq.com/brazil/), la société organise les rendez-vous avec la PF, suit le délai de 30 jours et envoie des alertes automatiques pour éviter que les collaborateurs ne s’exposent à des amendes, tout en offrant aux équipes RH une visibilité en temps réel sur l’état des dossiers.
Parmi les bonnes pratiques, il est conseillé de réserver les rendez-vous PF avant l’arrivée de l’employé, de conserver les cartes d’embarquement comme preuve du début du délai de 30 jours, et de prévoir un délai supplémentaire à São Paulo, Rio de Janeiro et Belo Horizonte où les bureaux régionaux exigent de plus en plus des documents originaux apostillés. Les employeurs sont également invités à familiariser leurs équipes avec PagTesouro, le portail de paiement en ligne du gouvernement, car les bordereaux papier sont progressivement supprimés.
Alors que le Brésil attend un afflux record de visiteurs étrangers avant la COP-30 en 2026, le message de la PF est clair : la conformité sera visible — et coûteuse — pour ceux qui ne respecteront pas les règles.









