
Dans un nouvel avis publié le 12 décembre, l'ambassade des États-Unis en Inde a mis en garde les demandeurs de visa touristique contre la fausse déclaration d’une grossesse dans le but d’obtenir la citoyenneté américaine pour leurs futurs enfants — ce qu’on appelle le tourisme de naissance —, ce qui peut entraîner un refus de visa et des interdictions de plusieurs années.
Cet avertissement intervient en parallèle du déploiement plus large du contrôle via les réseaux sociaux et fait suite à des cas où des agents consulaires ont refusé des visas B1/B2 après avoir détecté des réservations dans des cliniques de maternité en Californie.
Selon les règles modifiées, le personnel consulaire peut désormais demander des preuves de réservation d’hôpital, des lettres de médecins et des détails d’assurance voyage s’il soupçonne un motif incompatible avec la raison déclarée de « tourisme ». Les demandeurs ayant déjà vu leur rendez-vous reporté doivent se munir de documents à jour sous peine de perdre leur créneau.
Pour les voyageurs souhaitant une sécurité supplémentaire avant l’entretien, la plateforme VisaHQ en Inde (https://www.visahq.com/india/) guide les candidats à travers les exigences américaines en constante évolution, propose des vérifications préalables des documents et signale tout élément suspect — aidant ainsi les familles à éviter des refus coûteux tout en poursuivant leurs projets médicaux ou touristiques légitimes.
Les consultants en immigration indiquent que l’intérêt des Indiens pour le tourisme de naissance a augmenté d’environ 20 % ces deux dernières années, en raison des craintes liées au durcissement des quotas de regroupement familial. L’avis de l’ambassade vise à dissuader les intermédiaires qui proposent des passeports américains garantis pour les nouveau-nés à des tarifs forfaitaires de 25 à 30 lakhs ₹.
Concrètement, les employeurs doivent informer leur personnel qu’un simple voyage familial en fin de grossesse peut entraîner un interrogatoire approfondi tant au guichet du visa qu’au point d’entrée aux États-Unis. Les entreprises prenant en charge le voyage des conjoints de chefs de projet doivent s’assurer que la couverture médicale respecte la règle américaine du « public charge » pour éviter toute inadmissibilité.
L’ambassade a souligné que les cas légitimes de tourisme médical — comme les grossesses à risque élevé orientées vers des spécialistes américains — restent acceptés, à condition d’apporter la preuve de la capacité financière à couvrir les frais.
Cet avertissement intervient en parallèle du déploiement plus large du contrôle via les réseaux sociaux et fait suite à des cas où des agents consulaires ont refusé des visas B1/B2 après avoir détecté des réservations dans des cliniques de maternité en Californie.
Selon les règles modifiées, le personnel consulaire peut désormais demander des preuves de réservation d’hôpital, des lettres de médecins et des détails d’assurance voyage s’il soupçonne un motif incompatible avec la raison déclarée de « tourisme ». Les demandeurs ayant déjà vu leur rendez-vous reporté doivent se munir de documents à jour sous peine de perdre leur créneau.
Pour les voyageurs souhaitant une sécurité supplémentaire avant l’entretien, la plateforme VisaHQ en Inde (https://www.visahq.com/india/) guide les candidats à travers les exigences américaines en constante évolution, propose des vérifications préalables des documents et signale tout élément suspect — aidant ainsi les familles à éviter des refus coûteux tout en poursuivant leurs projets médicaux ou touristiques légitimes.
Les consultants en immigration indiquent que l’intérêt des Indiens pour le tourisme de naissance a augmenté d’environ 20 % ces deux dernières années, en raison des craintes liées au durcissement des quotas de regroupement familial. L’avis de l’ambassade vise à dissuader les intermédiaires qui proposent des passeports américains garantis pour les nouveau-nés à des tarifs forfaitaires de 25 à 30 lakhs ₹.
Concrètement, les employeurs doivent informer leur personnel qu’un simple voyage familial en fin de grossesse peut entraîner un interrogatoire approfondi tant au guichet du visa qu’au point d’entrée aux États-Unis. Les entreprises prenant en charge le voyage des conjoints de chefs de projet doivent s’assurer que la couverture médicale respecte la règle américaine du « public charge » pour éviter toute inadmissibilité.
L’ambassade a souligné que les cas légitimes de tourisme médical — comme les grossesses à risque élevé orientées vers des spécialistes américains — restent acceptés, à condition d’apporter la preuve de la capacité financière à couvrir les frais.











