
Les Émirats arabes unis ont adopté d'importantes modifications à leur décret-loi fédéral sur la lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes, introduisant l'expulsion obligatoire des étrangers condamnés pour des infractions liées à la drogue, ainsi que des peines de prison minimales de cinq ans et des amendes d'au moins 50 000 AED. Le président Sheikh Mohamed a signé ces changements le 11 décembre ; ils entrent en vigueur immédiatement.
Auparavant, les juges pouvaient, dans certains cas mineurs de possession, suspendre l'expulsion. Cette marge de manœuvre a disparu. Désormais, seuls des cas exceptionnels – par exemple lorsque l'expulsion porterait atteinte à la stabilité familiale – permettent aux tribunaux de renoncer à l'expulsion. Le décret renforce également les règles pour les médecins et pharmaciens, qui encourent les mêmes peines de prison s'ils délivrent des ordonnances sans justification médicale stricte.
Environ 15 000 Australiens vivent aux Émirats, et des dizaines de milliers transitent chaque mois par Dubaï et Abou Dhabi. Les services consulaires alertent sur le fait que même des traces résiduelles de médicaments sur ordonnance ou la présence d’huiles de vapotage contenant du CBD peuvent être considérées comme de la possession. Les employeurs dont le personnel travaille en rotation pour les projets énergétiques du Golfe révisent leurs protocoles de dépistage avant départ et réexaminent la couverture d’assurance pour les frais de détention et d’expulsion.
Les voyageurs souhaitant s’assurer de disposer des documents adéquats – que ce soit pour des médicaments sur ordonnance, des visas de transit ou des déplacements ultérieurs dans le Golfe – peuvent simplifier leurs démarches via le portail australien de VisaHQ (https://www.visahq.com/australia/). Ce service fournit les exigences d’entrée à jour, facilite l’attestation des documents et propose des options de livraison porte-à-porte, offrant ainsi une sécurité supplémentaire aux employeurs et employés dans le contexte de renforcement des contrôles aux Émirats.
Cette loi s’inscrit dans une politique plus large de conformité, qui a conduit les autorités émiraties à expulser 6 000 personnes en situation irrégulière depuis la fin d’une amnistie en février. Les avocats spécialisés en immigration soulignent que les expulsions liées à la drogue entraînent l’annulation automatique des visas de travail, la perte des indemnités de fin de contrat et, dans certains cas, des obligations fiscales rétroactives lorsque les expatriés quittent le pays avant la fin de leur contrat.
Les conseillers en gestion des risques de voyage recommandent aux cadres australiens d’informer leurs collaborateurs sur les règles strictes concernant le transport de médicaments sur ordonnance et la nécessité d’obtenir des certificats médicaux dûment attestés. Le non-respect de ces règles peut désormais entraîner une interdiction à vie de réentrée aux Émirats, mettant en péril les calendriers des projets régionaux.
Auparavant, les juges pouvaient, dans certains cas mineurs de possession, suspendre l'expulsion. Cette marge de manœuvre a disparu. Désormais, seuls des cas exceptionnels – par exemple lorsque l'expulsion porterait atteinte à la stabilité familiale – permettent aux tribunaux de renoncer à l'expulsion. Le décret renforce également les règles pour les médecins et pharmaciens, qui encourent les mêmes peines de prison s'ils délivrent des ordonnances sans justification médicale stricte.
Environ 15 000 Australiens vivent aux Émirats, et des dizaines de milliers transitent chaque mois par Dubaï et Abou Dhabi. Les services consulaires alertent sur le fait que même des traces résiduelles de médicaments sur ordonnance ou la présence d’huiles de vapotage contenant du CBD peuvent être considérées comme de la possession. Les employeurs dont le personnel travaille en rotation pour les projets énergétiques du Golfe révisent leurs protocoles de dépistage avant départ et réexaminent la couverture d’assurance pour les frais de détention et d’expulsion.
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Cette loi s’inscrit dans une politique plus large de conformité, qui a conduit les autorités émiraties à expulser 6 000 personnes en situation irrégulière depuis la fin d’une amnistie en février. Les avocats spécialisés en immigration soulignent que les expulsions liées à la drogue entraînent l’annulation automatique des visas de travail, la perte des indemnités de fin de contrat et, dans certains cas, des obligations fiscales rétroactives lorsque les expatriés quittent le pays avant la fin de leur contrat.
Les conseillers en gestion des risques de voyage recommandent aux cadres australiens d’informer leurs collaborateurs sur les règles strictes concernant le transport de médicaments sur ordonnance et la nécessité d’obtenir des certificats médicaux dûment attestés. Le non-respect de ces règles peut désormais entraîner une interdiction à vie de réentrée aux Émirats, mettant en péril les calendriers des projets régionaux.









