
Le porte-parole de Sinn Féin pour la justice, Matt Carthy TD, a accusé le ministère de la Justice de négliger le contrôle des visas étudiants Stamp 2, en particulier dans le secteur en plein essor des écoles de langue anglaise. Dans une déclaration du 11 décembre, Carthy s’appuie sur des données de l’Economic and Social Research Institute (ESRI) montrant que près de la moitié des premiers permis de séjour délivrés en 2024 à des ressortissants hors EEE étaient à des fins éducatives, alors que seules « quelques » écoles de langue ont fait l’objet d’inspections.
Le député met en garde contre un suivi insuffisant qui permettrait à certains titulaires de visa de basculer dans l’économie informelle ou de déposer des demandes d’asile, aggravant ainsi la pression sur le logement et les services. Il appelle à un audit complet des écoles, à un contrôle plus strict de l’assiduité et à un partage obligatoire des données entre les établissements éducatifs et les autorités de l’immigration.
Pour les candidats qui doivent obtenir ou renouveler un permis Stamp 2, une aide professionnelle peut faciliter les démarches. VisaHQ propose un accompagnement en ligne et en présentiel pour la collecte des documents, la prise de rendez-vous et le suivi du statut, aidant ainsi les étudiants à éviter retards ou refus ; plus d’informations sont disponibles sur https://www.visahq.com/ireland/.
Pour les universités et les instituts de langue légitimes, cette mise sous surveillance est une épée à double tranchant. Un renforcement des contrôles pourrait augmenter les coûts administratifs, mais aussi éliminer les opérateurs frauduleux qui nuisent à la réputation de l’Irlande comme destination d’études. Les employeurs qui recrutent des titulaires de Stamp 2 pour des emplois à temps partiel — autorisés jusqu’à 20 heures pendant les périodes de cours — doivent se préparer à d’éventuels contrôles documentaires.
Le ministère de la Justice n’a pas encore répondu publiquement, mais des responsables ont déjà évoqué la possibilité de lier la Liste provisoire des programmes éligibles (ILEP) aux données d’assiduité en temps réel collectées via des systèmes biométriques. Si cette mesure est adoptée, l’Irlande s’alignerait sur les dispositifs technologiques de contrôle des visas étudiants en Australie et au Canada.
Les entreprises qui recrutent des étudiants internationaux à temps partiel doivent revoir leurs procédures de vérification du droit au travail et rester vigilantes face à de nouvelles obligations de déclaration qui pourraient apparaître dans le projet de loi sur l’immigration de 2026.
Le député met en garde contre un suivi insuffisant qui permettrait à certains titulaires de visa de basculer dans l’économie informelle ou de déposer des demandes d’asile, aggravant ainsi la pression sur le logement et les services. Il appelle à un audit complet des écoles, à un contrôle plus strict de l’assiduité et à un partage obligatoire des données entre les établissements éducatifs et les autorités de l’immigration.
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Le ministère de la Justice n’a pas encore répondu publiquement, mais des responsables ont déjà évoqué la possibilité de lier la Liste provisoire des programmes éligibles (ILEP) aux données d’assiduité en temps réel collectées via des systèmes biométriques. Si cette mesure est adoptée, l’Irlande s’alignerait sur les dispositifs technologiques de contrôle des visas étudiants en Australie et au Canada.
Les entreprises qui recrutent des étudiants internationaux à temps partiel doivent revoir leurs procédures de vérification du droit au travail et rester vigilantes face à de nouvelles obligations de déclaration qui pourraient apparaître dans le projet de loi sur l’immigration de 2026.









