
Les travailleurs indiens titulaires d’un visa H-1B, rentrés en Inde pour les vacances de fin d’année, se retrouvent soudainement dans l’incertitude après que le Département d’État américain a commencé à reprogrammer massivement les rendez-vous pour l’apposition des visas dans les consulats de Delhi, Mumbai, Chennai, Hyderabad et Kolkata. Des e-mails envoyés tard le 9 décembre ont reporté des entretiens initialement prévus à la mi-décembre jusqu’à mars-mai 2026, invoquant une « procédure administrative supplémentaire ».
Les responsables consulaires ont confirmé que ce bouleversement est lié à une nouvelle règle imposant à tous les demandeurs de visa de travail de fournir cinq ans d’historique de leurs réseaux sociaux à partir du 15 décembre 2025. Tant que ces publications ne sont pas examinées par le système de contrôle continu de Washington, aucun visa ne peut être délivré. L’ambassade des États-Unis en Inde a publié un avis officiel avertissant que les candidats se présentant à leurs dates initiales se verront refuser l’accès au consulat.
Dans ce contexte, les voyageurs peuvent bénéficier d’une assistance spécialisée : le portail VisaHQ Inde (https://www.visahq.com/india/) propose un accompagnement complet, de la prise de rendez-vous à la préparation des documents, en passant par le suivi en temps réel du statut, aidant ainsi les demandeurs à anticiper les changements de politique soudains et à identifier des alternatives lorsque les calendriers consulaires sont modifiés sans préavis.
Les avocats en immigration soulignent que les répercussions sont immédiates : les employés qui ne peuvent pas retourner aux États-Unis à temps risquent des interruptions de paie, la perte de projets clients, voire un licenciement en vertu de clauses de « non-disponibilité » dans leurs contrats de travail. « Si vous n’avez pas encore voyagé, restez sur place », a conseillé l’avocate Rebecca Chen lors d’un webinaire largement diffusé, ajoutant que les entreprises devraient activer des plans de travail à distance et envisager une demande de revalidation premium du statut aux États-Unis lorsque cela est possible.
Les géants indiens des services informatiques comme TCS et Infosys s’efforcent de rediriger leur personnel clé via le Canada ou le Mexique pour une « revalidation automatique », mais la capacité est limitée et les coûts explosent. L’association professionnelle NASSCOM a demandé au ministère des Affaires étrangères d’intervenir auprès des autorités américaines, avertissant que des retards prolongés pourraient compromettre la livraison de projets estimés à 1,6 milliard de dollars ce trimestre.
Conseils pratiques pour les voyageurs : (1) surveiller quotidiennement le portail de prise de rendez-vous du consulat pour saisir d’éventuelles ouvertures anticipées ; (2) déclarer avec précision tous les comptes et pseudonymes de réseaux sociaux dans le formulaire DS-160 ; (3) conserver une preuve d’emploi et de paie en cours pendant le séjour en Inde ; (4) souscrire une assurance couvrant les perturbations de voyage liées aux retards d’immigration. Les entreprises sont invitées à étaler les congés de fin d’année 2026 et à prévoir au moins 30 jours de marge opérationnelle pour les rotations du personnel H-1B.
Les responsables consulaires ont confirmé que ce bouleversement est lié à une nouvelle règle imposant à tous les demandeurs de visa de travail de fournir cinq ans d’historique de leurs réseaux sociaux à partir du 15 décembre 2025. Tant que ces publications ne sont pas examinées par le système de contrôle continu de Washington, aucun visa ne peut être délivré. L’ambassade des États-Unis en Inde a publié un avis officiel avertissant que les candidats se présentant à leurs dates initiales se verront refuser l’accès au consulat.
Dans ce contexte, les voyageurs peuvent bénéficier d’une assistance spécialisée : le portail VisaHQ Inde (https://www.visahq.com/india/) propose un accompagnement complet, de la prise de rendez-vous à la préparation des documents, en passant par le suivi en temps réel du statut, aidant ainsi les demandeurs à anticiper les changements de politique soudains et à identifier des alternatives lorsque les calendriers consulaires sont modifiés sans préavis.
Les avocats en immigration soulignent que les répercussions sont immédiates : les employés qui ne peuvent pas retourner aux États-Unis à temps risquent des interruptions de paie, la perte de projets clients, voire un licenciement en vertu de clauses de « non-disponibilité » dans leurs contrats de travail. « Si vous n’avez pas encore voyagé, restez sur place », a conseillé l’avocate Rebecca Chen lors d’un webinaire largement diffusé, ajoutant que les entreprises devraient activer des plans de travail à distance et envisager une demande de revalidation premium du statut aux États-Unis lorsque cela est possible.
Les géants indiens des services informatiques comme TCS et Infosys s’efforcent de rediriger leur personnel clé via le Canada ou le Mexique pour une « revalidation automatique », mais la capacité est limitée et les coûts explosent. L’association professionnelle NASSCOM a demandé au ministère des Affaires étrangères d’intervenir auprès des autorités américaines, avertissant que des retards prolongés pourraient compromettre la livraison de projets estimés à 1,6 milliard de dollars ce trimestre.
Conseils pratiques pour les voyageurs : (1) surveiller quotidiennement le portail de prise de rendez-vous du consulat pour saisir d’éventuelles ouvertures anticipées ; (2) déclarer avec précision tous les comptes et pseudonymes de réseaux sociaux dans le formulaire DS-160 ; (3) conserver une preuve d’emploi et de paie en cours pendant le séjour en Inde ; (4) souscrire une assurance couvrant les perturbations de voyage liées aux retards d’immigration. Les entreprises sont invitées à étaler les congés de fin d’année 2026 et à prévoir au moins 30 jours de marge opérationnelle pour les rotations du personnel H-1B.









