
La police nationale espagnole a démantelé un réseau criminel organisé spécialisé dans l’introduction de ressortissants marocains en Espagne via des visas touristiques, puis dans la conversion frauduleuse de leur statut en résidence de longue durée grâce à des enregistrements fictifs de partenariats domestiques (« parejas de hecho »). Quarante-huit suspects — 37 femmes espagnoles et 11 hommes marocains — ont été arrêtés lors de raids coordonnés à Jaén, Málaga, Barcelone, Tenerife et Melilla, à l’issue d’une enquête de dix mois baptisée « Opération Vínculo ».
Selon le dossier d’enquête, les chefs de file facturaient jusqu’à 12 000 € par demandeur pour organiser des contrats de location falsifiés, de fausses inscriptions municipales (empadronamiento) et des certificats notariés nécessaires à l’enregistrement du partenariat en Catalogne. Une fois les documents acceptés, le partenaire étranger obtenait une carte de résident familial de l’UE valable cinq ans, lui conférant tous les droits de travail. La police estime que le réseau a généré plus de 30 millions d’euros de revenus illicites et facilité au moins 300 permis de séjour.
Ce système exploitait la procédure relativement rapide de regroupement familial en Espagne, mettant en lumière une faille structurelle pour les gestionnaires de mobilité d’entreprise qui s’appuient sur les permis « familiar comunitario » légitimes pour les conjoints hors UE. Les avocats spécialisés en immigration prévoient un renforcement des contrôles de conformité, notamment à Barcelone, où la majorité des partenariats frauduleux ont été notariés, ce qui entraînera des délais d’instruction plus longs pour les demandes authentiques au premier semestre 2026.
Pour les organisations et voyageurs nécessitant des visas ou cartes de séjour légitimes, VisaHQ propose d’optimiser les démarches. L’entreprise offre un accompagnement pas à pas, la vérification des documents et le suivi des demandes, que ce soit pour des visas Schengen de court séjour ou des permis de regroupement familial, garantissant la conformité avec la réglementation espagnole en vigueur. Plus d’informations sont disponibles sur https://www.visahq.com/spain/.
Pour les employeurs, le risque immédiat est double : les salariés déjà titulaires de cartes obtenues via ce réseau démantelé pourraient perdre leur autorisation de travail, et les nouvelles demandes présentant un profil à risque (femme espagnole/homme marocain, notaire à Barcelone) pourraient faire l’objet d’un contrôle renforcé. Les entreprises sont invitées à revoir proactivement leurs dossiers de mobilité interne, à vérifier l’authenticité des documents de partenariat et à se préparer à d’éventuelles révocations pouvant impacter la paie et les déclarations sociales.
Le ministère de l’Intérieur a demandé aux bureaux régionaux des étrangers d’annuler tous les permis liés à cette affaire et de récupérer les prestations sociales versées. De nouvelles arrestations sont attendues, les équipes de criminalistique numérique analysant les ordinateurs et téléphones saisis. Les multinationales sont conseillées d’informer leurs collaborateurs transférés de cette opération et de prévoir des délais supplémentaires pour les cartes de séjour familiales jusqu’au début 2026.
Selon le dossier d’enquête, les chefs de file facturaient jusqu’à 12 000 € par demandeur pour organiser des contrats de location falsifiés, de fausses inscriptions municipales (empadronamiento) et des certificats notariés nécessaires à l’enregistrement du partenariat en Catalogne. Une fois les documents acceptés, le partenaire étranger obtenait une carte de résident familial de l’UE valable cinq ans, lui conférant tous les droits de travail. La police estime que le réseau a généré plus de 30 millions d’euros de revenus illicites et facilité au moins 300 permis de séjour.
Ce système exploitait la procédure relativement rapide de regroupement familial en Espagne, mettant en lumière une faille structurelle pour les gestionnaires de mobilité d’entreprise qui s’appuient sur les permis « familiar comunitario » légitimes pour les conjoints hors UE. Les avocats spécialisés en immigration prévoient un renforcement des contrôles de conformité, notamment à Barcelone, où la majorité des partenariats frauduleux ont été notariés, ce qui entraînera des délais d’instruction plus longs pour les demandes authentiques au premier semestre 2026.
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Le ministère de l’Intérieur a demandé aux bureaux régionaux des étrangers d’annuler tous les permis liés à cette affaire et de récupérer les prestations sociales versées. De nouvelles arrestations sont attendues, les équipes de criminalistique numérique analysant les ordinateurs et téléphones saisis. Les multinationales sont conseillées d’informer leurs collaborateurs transférés de cette opération et de prévoir des délais supplémentaires pour les cartes de séjour familiales jusqu’au début 2026.










