
La Police fédérale brésilienne (PF) a discrètement publié son dernier bulletin de décisions administratives concernant la loi sur l’immigration le 9 décembre au soir, mais les responsables de la mobilité internationale et les conseillers en immigration d’entreprise ont immédiatement saisi l’importance du message. Des dizaines de nouvelles amendes, allant de pénalités modestes de 100 R$ à une sanction de 7 200 R$ pour dépassement de séjour, ont été rendues publiques, chaque cas mentionnant le nom du ressortissant étranger et l’infraction commise.
Cette liste illustre la volonté croissante de la PF de « nommer et stigmatiser » les expatriés ne respectant pas les formalités post-arrivée. L’infraction la plus fréquente reste l’enregistrement tardif : tout entrant non-touriste doit se présenter en personne dans un bureau de la PF dans les 30 jours suivant son arrivée pour fournir empreintes digitales, photos et documents justificatifs. Le bulletin souligne notamment un technicien bolivien sanctionné de 300 R$ pour avoir manqué ce délai, après être entré sous la nouvelle catégorie visiteur pour services techniques.
Pourquoi ce durcissement maintenant ? L’année 2026 s’annonce record pour le tourisme entrant, le Brésil accueillant une série de méga-événements culminant avec le sommet climatique COP-30 à Belém. Des hauts responsables de la PF ont indiqué aux groupes professionnels que ce renforcement vise à éviter que les ressources policières ne soient détournées de leurs missions de sécurité pour courir après la paperasse.
Les entreprises cherchant un soutien supplémentaire peuvent se tourner vers VisaHQ, dont les spécialistes du Brésil organisent les rendez-vous avec la Police fédérale, préparent les documents et assurent un suivi en temps réel des échéances via un tableau de bord en ligne (https://www.visahq.com/brazil/). Recourir à ce service permet d’éviter les rendez-vous manqués pour les expatriés et les entreprises d’apparaître dans les prochains bulletins d’amendes.
Pour les employeurs, ce bulletin est un rappel opportun d’intégrer la prise de rendez-vous avec la PF dans les plannings de mobilité. Les délais d’attente peuvent atteindre trois semaines à São Paulo et Rio ; de nombreuses entreprises réservent désormais les créneaux avant même l’arrivée de leurs collaborateurs. Ne pas le faire expose non seulement à des amendes, mais aussi à un risque de réputation, ces bulletins étant des documents publics pouvant resurgir lors des renouvellements de visa.
Conseil pratique : les équipes RH doivent auditer les populations d’expatriés actuelles pour identifier ceux entrés dans le dernier mois et vérifier qu’un rendez-vous avec la PF est bien pris. En cas de retard inévitable, les experts recommandent de déposer une justification écrite avant le 30e jour pour limiter les amendes.
Cette liste illustre la volonté croissante de la PF de « nommer et stigmatiser » les expatriés ne respectant pas les formalités post-arrivée. L’infraction la plus fréquente reste l’enregistrement tardif : tout entrant non-touriste doit se présenter en personne dans un bureau de la PF dans les 30 jours suivant son arrivée pour fournir empreintes digitales, photos et documents justificatifs. Le bulletin souligne notamment un technicien bolivien sanctionné de 300 R$ pour avoir manqué ce délai, après être entré sous la nouvelle catégorie visiteur pour services techniques.
Pourquoi ce durcissement maintenant ? L’année 2026 s’annonce record pour le tourisme entrant, le Brésil accueillant une série de méga-événements culminant avec le sommet climatique COP-30 à Belém. Des hauts responsables de la PF ont indiqué aux groupes professionnels que ce renforcement vise à éviter que les ressources policières ne soient détournées de leurs missions de sécurité pour courir après la paperasse.
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Pour les employeurs, ce bulletin est un rappel opportun d’intégrer la prise de rendez-vous avec la PF dans les plannings de mobilité. Les délais d’attente peuvent atteindre trois semaines à São Paulo et Rio ; de nombreuses entreprises réservent désormais les créneaux avant même l’arrivée de leurs collaborateurs. Ne pas le faire expose non seulement à des amendes, mais aussi à un risque de réputation, ces bulletins étant des documents publics pouvant resurgir lors des renouvellements de visa.
Conseil pratique : les équipes RH doivent auditer les populations d’expatriés actuelles pour identifier ceux entrés dans le dernier mois et vérifier qu’un rendez-vous avec la PF est bien pris. En cas de retard inévitable, les experts recommandent de déposer une justification écrite avant le 30e jour pour limiter les amendes.










