
La Coalition fédérale australienne a commencé à esquisser sa plateforme sur l’immigration en vue des élections de 2028, annonçant un virage marqué vers un contrôle renforcé de l’adéquation culturelle et une réduction des flux migratoires. Le ministre fantôme de l’Immigration, Dan Tehan, a confirmé le 10 décembre qu’un futur gouvernement de la Coalition introduirait un test renforcé des valeurs australiennes pour la plupart des visas temporaires et permanents, instaurerait de nouveaux pouvoirs pour annuler les visas en cas de non-respect de l’engagement, et resserrerait les voies de recours pour les migrants en situation irrégulière.
Les autorités pourraient refuser l’entrée aux personnes liées à des organisations jugées incompatibles avec les principes « libéraux-démocratiques » — parmi les exemples évoqués lors des briefings du parti figurent les affiliés au Parti communiste chinois et certaines sectes religieuses extrémistes. Si une interdiction générale des partis politiques reste peu probable, les agents de migration soulignent que ce langage discrétionnaire pourrait créer une incertitude pour les visiteurs d’affaires légitimes ayant eu des liens occasionnels avec des groupes proscrits.
Pour les voyageurs et employeurs souhaitant anticiper ces éventuelles modifications, VisaHQ propose un accompagnement en temps réel sur les visas australiens, une gestion complète des documents et un dépôt rapide en ligne. Ce service suit les évolutions législatives — comme le durcissement des tests de valeurs ou des critères pour les visas étudiants — et aide les candidats à éviter les erreurs pouvant entraîner retards ou refus. Découvrez les outils de la plateforme sur https://www.visahq.com/australia/.
Le document de réflexion de l’opposition relance également son appel à réduire l’immigration permanente de 185 000 à 140 000 pendant deux ans, et à diminuer la migration nette internationale (NOM) d’au moins 100 000 par an. Le nombre d’étudiants internationaux baisserait via une liste plus stricte des pénuries de compétences et des seuils plus élevés en anglais, tandis que le volet familial resterait largement inchangé. Des indicateurs liés à l’offre de logements pourraient être intégrés aux futurs niveaux de planification — une réponse directe aux inquiétudes des électeurs face à l’inflation des loyers.
Les groupes patronaux ont réagi avec prudence. L’Australian Industry Group a averti que des coupes sévères dans la migration qualifiée pourraient aggraver les pénuries de main-d’œuvre dans la santé, la construction et la cybersécurité. Les universités, déjà confrontées au ralentissement des procédures imposé par la Directive ministérielle 115, ont estimé qu’un plafond supplémentaire sur les visas étudiants risquait de leur faire perdre 10 milliards de dollars en recettes d’exportation. En revanche, la politique a été saluée par des défenseurs qui associent la migration à la pression sur les infrastructures.
À trois ans des élections, les détails restent encore à préciser, mais les employeurs disposant de programmes de mobilité internationale doivent suivre l’évolution de cette politique. Si elle est adoptée, les entreprises devront probablement intégrer des évaluations de caractère plus rigoureuses et des délais plus longs pour le déploiement des talents — en particulier pour les collaborateurs ayant des affiliations politiques ou organisationnelles complexes.
Les autorités pourraient refuser l’entrée aux personnes liées à des organisations jugées incompatibles avec les principes « libéraux-démocratiques » — parmi les exemples évoqués lors des briefings du parti figurent les affiliés au Parti communiste chinois et certaines sectes religieuses extrémistes. Si une interdiction générale des partis politiques reste peu probable, les agents de migration soulignent que ce langage discrétionnaire pourrait créer une incertitude pour les visiteurs d’affaires légitimes ayant eu des liens occasionnels avec des groupes proscrits.
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Les groupes patronaux ont réagi avec prudence. L’Australian Industry Group a averti que des coupes sévères dans la migration qualifiée pourraient aggraver les pénuries de main-d’œuvre dans la santé, la construction et la cybersécurité. Les universités, déjà confrontées au ralentissement des procédures imposé par la Directive ministérielle 115, ont estimé qu’un plafond supplémentaire sur les visas étudiants risquait de leur faire perdre 10 milliards de dollars en recettes d’exportation. En revanche, la politique a été saluée par des défenseurs qui associent la migration à la pression sur les infrastructures.
À trois ans des élections, les détails restent encore à préciser, mais les employeurs disposant de programmes de mobilité internationale doivent suivre l’évolution de cette politique. Si elle est adoptée, les entreprises devront probablement intégrer des évaluations de caractère plus rigoureuses et des délais plus longs pour le déploiement des talents — en particulier pour les collaborateurs ayant des affiliations politiques ou organisationnelles complexes.










