
Le Conseil national fédéral a adopté une réforme majeure de la loi sur l’entrée et le séjour des étrangers aux Émirats arabes unis, renforçant considérablement les sanctions contre les abus de visa, le travail illégal et le trafic organisé. Selon les nouvelles dispositions, les amendes débutent à 100 000 dirhams et peuvent atteindre jusqu’à 5 millions de dirhams dans les cas impliquant des faux documents, plusieurs contrevenants ou des réseaux de traite humaine. Les récidives ou infractions aggravées entraînent également une peine de prison minimale obligatoire de deux mois.
Trois problématiques clés ont motivé ce durcissement : (1) les personnes travaillant avec un visa touristique ou de visite, (2) les recruteurs faisant venir des travailleurs sans permis adéquat, et (3) les réseaux qui font entrer illégalement des personnes aux Émirats avec de faux papiers. Les employeurs qui embauchent sciemment du personnel sous un visa inapproprié s’exposent aux mêmes amendes sévères, tandis que les propriétaires risquent d’être inscrits sur une liste noire s’ils hébergent des personnes en situation irrégulière. Les autorités expliquent que ces sanctions renforcées visent à combler les failles sécuritaires et à protéger des initiatives à long terme telles que les programmes de résidence Golden, Green et Blue.
Pour les responsables mobilité, le message est clair : vérifier que le type de visa de chaque transféré correspond exactement à sa mission, prévoir du temps supplémentaire pour les audits de conformité et sensibiliser les employés en déplacement à l’interdiction absolue de tout « travail annexe » même de courte durée sous statut visiteur. Les conseillers juridiques recommandent aussi de revoir les contrats de logement du personnel, car héberger un séjour irrégulier pourrait exposer l’entreprise — et son directeur RH — à des amendes pouvant atteindre plusieurs millions de dirhams.
Face à cette situation, de nombreux employeurs se tournent vers des services spécialisés en visas. Le bureau UAE de VisaHQ (https://www.visahq.com/united-arab-emirates/) propose un accompagnement complet, de la sélection du type de visa au suivi des renouvellements, aidant ainsi les entreprises à éviter les pièges coûteux désormais assortis de sanctions à sept chiffres.
Sur le plan technologique, l’application de ces mesures s’appuiera sur le portail élargi des services intelligents des Émirats, qui permet désormais aux entreprises de suivre en temps réel le statut des visas de leur personnel, ainsi que sur des accords de partage de données entre les agences frontalières du CCG. Parallèlement, le ministère de l’Intérieur instaurera une courte période de grâce pour permettre aux contrevenants mineurs et novices de régulariser leur situation sans expulsion, mais les autorités avertissent que le « visa-running » est désormais plus risqué et beaucoup plus coûteux que jamais. Les entreprises qui ignorent ce nouveau cadre s’exposent non seulement à des sanctions financières, mais aussi à une atteinte à leur réputation, les autorités d’immigration publiant désormais des statistiques de violations par secteur.
Alors que le pays se positionne comme le hub régional des sièges sociaux, cette répression illustre un arbitrage politique plus large : des résidences longues durées généreuses pour les investisseurs et les talents hautement qualifiés, contre une tolérance zéro face aux abus. Les multinationales qui respectent scrupuleusement les règles continueront de bénéficier du marché du travail flexible et de la position stratégique des Émirats, tandis que celles qui ne s’y conforment pas s’exposent désormais à des sanctions retentissantes.
Trois problématiques clés ont motivé ce durcissement : (1) les personnes travaillant avec un visa touristique ou de visite, (2) les recruteurs faisant venir des travailleurs sans permis adéquat, et (3) les réseaux qui font entrer illégalement des personnes aux Émirats avec de faux papiers. Les employeurs qui embauchent sciemment du personnel sous un visa inapproprié s’exposent aux mêmes amendes sévères, tandis que les propriétaires risquent d’être inscrits sur une liste noire s’ils hébergent des personnes en situation irrégulière. Les autorités expliquent que ces sanctions renforcées visent à combler les failles sécuritaires et à protéger des initiatives à long terme telles que les programmes de résidence Golden, Green et Blue.
Pour les responsables mobilité, le message est clair : vérifier que le type de visa de chaque transféré correspond exactement à sa mission, prévoir du temps supplémentaire pour les audits de conformité et sensibiliser les employés en déplacement à l’interdiction absolue de tout « travail annexe » même de courte durée sous statut visiteur. Les conseillers juridiques recommandent aussi de revoir les contrats de logement du personnel, car héberger un séjour irrégulier pourrait exposer l’entreprise — et son directeur RH — à des amendes pouvant atteindre plusieurs millions de dirhams.
Face à cette situation, de nombreux employeurs se tournent vers des services spécialisés en visas. Le bureau UAE de VisaHQ (https://www.visahq.com/united-arab-emirates/) propose un accompagnement complet, de la sélection du type de visa au suivi des renouvellements, aidant ainsi les entreprises à éviter les pièges coûteux désormais assortis de sanctions à sept chiffres.
Sur le plan technologique, l’application de ces mesures s’appuiera sur le portail élargi des services intelligents des Émirats, qui permet désormais aux entreprises de suivre en temps réel le statut des visas de leur personnel, ainsi que sur des accords de partage de données entre les agences frontalières du CCG. Parallèlement, le ministère de l’Intérieur instaurera une courte période de grâce pour permettre aux contrevenants mineurs et novices de régulariser leur situation sans expulsion, mais les autorités avertissent que le « visa-running » est désormais plus risqué et beaucoup plus coûteux que jamais. Les entreprises qui ignorent ce nouveau cadre s’exposent non seulement à des sanctions financières, mais aussi à une atteinte à leur réputation, les autorités d’immigration publiant désormais des statistiques de violations par secteur.
Alors que le pays se positionne comme le hub régional des sièges sociaux, cette répression illustre un arbitrage politique plus large : des résidences longues durées généreuses pour les investisseurs et les talents hautement qualifiés, contre une tolérance zéro face aux abus. Les multinationales qui respectent scrupuleusement les règles continueront de bénéficier du marché du travail flexible et de la position stratégique des Émirats, tandis que celles qui ne s’y conforment pas s’exposent désormais à des sanctions retentissantes.









