
Le 9 décembre, voyageurs d'affaires et de loisirs ont découvert un réseau de transport irlandais paralysé après le passage de la tempête Bram durant la nuit. Met Éireann a émis des alertes orange pour vents violents à l’échelle nationale, avec des rafales dépassant les 160 km/h sur la côte sud-ouest. Ces vents violents ont contraint l’aéroport de Dublin à annuler au moins 42 rotations (21 arrivées, 21 départs) et à dérouter plusieurs vols transatlantiques, tandis que les aéroports de Cork, Shannon et Ireland West (Knock) ont également signalé des annulations et retards supplémentaires. Aer Lingus a supprimé son vol EI 916 de midi entre Knock et Heathrow, et Ryanair a prévenu de retards en chaîne tout au long de la journée.
Les perturbations ont dépassé les pistes d’atterrissage. Irish Ferries et Stena Line ont annulé plusieurs traversées sur les liaisons Dublin–Holyhead et Rosslare–Fishguard, laissant des centaines d’automobilistes et de conducteurs de fret bloqués. Les autorités routières ont appelé à éviter les déplacements non essentiels, des arbres tombés et des débris obstruant des portions des autoroutes M8 et N25, tandis que plus de 22 000 foyers à Cork, Wexford et Limerick ont été privés d’électricité.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette interruption soudaine souligne l’importance d’une planification de contingence en temps réel durant la saison des tempêtes hivernales en Irlande. Les multinationales avec des missions dans les Silicon Docks de Dublin et le corridor pharmaceutique de Cork se sont précipitées pour reprogrammer leur personnel sur les rares départs du soir, tandis que certaines ont activé des protocoles de télétravail pour les équipes projet bloquées à l’étranger. Les prestataires de gestion des risques liés aux voyages ont constaté une hausse des demandes de réservations ferroviaires et hôtelières pour contourner les terminaux aéroportuaires saturés.
Les compagnies aériennes prévoient un retour progressif à la normale à mesure que la tempête se déplace vers le nord-est, mais les agents au sol préviennent que le repositionnement des avions et la réorganisation des équipages pourraient engendrer des effets en cascade pendant au moins 24 heures. Il est conseillé aux voyageurs de suivre les applications des compagnies, de reconfirmer les prises en charge par chauffeur ou location de voiture, et de prévoir un temps supplémentaire pour les contrôles de sécurité dès la reprise des vols. Cet épisode relance également le débat sur la limitation de capacité de l’aéroport de Dublin, les responsables du daa soulignant une fois de plus la volatilité liée aux conditions météorologiques comme argument pour lever le plafond des 32 millions de passagers.
Le passage de la tempête Bram, à seulement deux semaines du pic des fêtes de Noël, rappelle que les conditions météorologiques extrêmes restent l’un des principaux facteurs de perturbation des programmes de mobilité vers l’Irlande sur une seule journée. Les entreprises ayant des déplacements critiques en fin d’année sont invitées à privilégier des classes de réservation flexibles et à envisager des itinéraires Dublin–Amsterdam–États-Unis en secours, en cas de saturation des hubs britanniques.
Les perturbations ont dépassé les pistes d’atterrissage. Irish Ferries et Stena Line ont annulé plusieurs traversées sur les liaisons Dublin–Holyhead et Rosslare–Fishguard, laissant des centaines d’automobilistes et de conducteurs de fret bloqués. Les autorités routières ont appelé à éviter les déplacements non essentiels, des arbres tombés et des débris obstruant des portions des autoroutes M8 et N25, tandis que plus de 22 000 foyers à Cork, Wexford et Limerick ont été privés d’électricité.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette interruption soudaine souligne l’importance d’une planification de contingence en temps réel durant la saison des tempêtes hivernales en Irlande. Les multinationales avec des missions dans les Silicon Docks de Dublin et le corridor pharmaceutique de Cork se sont précipitées pour reprogrammer leur personnel sur les rares départs du soir, tandis que certaines ont activé des protocoles de télétravail pour les équipes projet bloquées à l’étranger. Les prestataires de gestion des risques liés aux voyages ont constaté une hausse des demandes de réservations ferroviaires et hôtelières pour contourner les terminaux aéroportuaires saturés.
Les compagnies aériennes prévoient un retour progressif à la normale à mesure que la tempête se déplace vers le nord-est, mais les agents au sol préviennent que le repositionnement des avions et la réorganisation des équipages pourraient engendrer des effets en cascade pendant au moins 24 heures. Il est conseillé aux voyageurs de suivre les applications des compagnies, de reconfirmer les prises en charge par chauffeur ou location de voiture, et de prévoir un temps supplémentaire pour les contrôles de sécurité dès la reprise des vols. Cet épisode relance également le débat sur la limitation de capacité de l’aéroport de Dublin, les responsables du daa soulignant une fois de plus la volatilité liée aux conditions météorologiques comme argument pour lever le plafond des 32 millions de passagers.
Le passage de la tempête Bram, à seulement deux semaines du pic des fêtes de Noël, rappelle que les conditions météorologiques extrêmes restent l’un des principaux facteurs de perturbation des programmes de mobilité vers l’Irlande sur une seule journée. Les entreprises ayant des déplacements critiques en fin d’année sont invitées à privilégier des classes de réservation flexibles et à envisager des itinéraires Dublin–Amsterdam–États-Unis en secours, en cas de saturation des hubs britanniques.











