
Le gouvernement de l’Australie-Occidentale a confirmé, le 8 décembre 2025, avoir reçu l’intégralité de son quota de places allouées par le ministère fédéral de l’Intérieur pour le Programme de migration par nomination d’État (SNMP) 2025-26, et a lancé les rondes régulières d’invitations. La première session de décembre, tenue le 5 décembre, a publié les données d’invitation et devrait être suivie de sélections mensuelles pour le reste de l’année du programme.
Le SNMP permet à l’État de nommer des migrants qualifiés pour les visas de sous-classe 190 (Skilled Nominated) et 491 (Skilled Work Regional – Provisional). Bien que le ministère de l’Intérieur ait maintenu le plafond national des migrations permanentes à 185 000 places, chaque État définit ses propres listes de métiers et systèmes de classement. L’Australie-Occidentale a donné la priorité aux secteurs de la santé, de la construction et des infrastructures critiques afin d’atténuer les pénuries de main-d’œuvre persistantes depuis la reprise minière et le boom immobilier.
Les agents de migration rapportent un regain d’intérêt depuis que Perth a supprimé, l’an dernier, la condition « uniquement région WA » pour de nombreux métiers, rendant cette voie plus attractive pour les diplômés internationaux déjà présents dans l’État. Cependant, la concurrence reste rude : les candidats doivent obtenir un score d’Expression of Interest bien supérieur au minimum de 65 points, ainsi qu’une preuve d’au moins six mois d’expérience professionnelle en Australie-Occidentale ou une offre d’emploi locale.
Pour les employeurs, les invitations de décembre tombent à point nommé. Des projets majeurs, comme le développement du port de Westport, intensifient leurs travaux préparatoires en 2026 et recherchent ingénieurs, géomètres et chefs de projet. Les entreprises ne pouvant pas parrainer directement leurs employés voient dans le SNMP une voie plus rapide que les visas parrainés par l’employeur, souvent retardés par les négociations d’accords de main-d’œuvre.
Le Département de la formation et du développement de la main-d’œuvre de WA invite les futurs migrants à suivre régulièrement la page du SNMP pour les statistiques d’invitation à venir, tout en avertissant que les quotas peuvent s’épuiser rapidement si les allocations fédérales se resserrent en cours d’exercice.
Le SNMP permet à l’État de nommer des migrants qualifiés pour les visas de sous-classe 190 (Skilled Nominated) et 491 (Skilled Work Regional – Provisional). Bien que le ministère de l’Intérieur ait maintenu le plafond national des migrations permanentes à 185 000 places, chaque État définit ses propres listes de métiers et systèmes de classement. L’Australie-Occidentale a donné la priorité aux secteurs de la santé, de la construction et des infrastructures critiques afin d’atténuer les pénuries de main-d’œuvre persistantes depuis la reprise minière et le boom immobilier.
Les agents de migration rapportent un regain d’intérêt depuis que Perth a supprimé, l’an dernier, la condition « uniquement région WA » pour de nombreux métiers, rendant cette voie plus attractive pour les diplômés internationaux déjà présents dans l’État. Cependant, la concurrence reste rude : les candidats doivent obtenir un score d’Expression of Interest bien supérieur au minimum de 65 points, ainsi qu’une preuve d’au moins six mois d’expérience professionnelle en Australie-Occidentale ou une offre d’emploi locale.
Pour les employeurs, les invitations de décembre tombent à point nommé. Des projets majeurs, comme le développement du port de Westport, intensifient leurs travaux préparatoires en 2026 et recherchent ingénieurs, géomètres et chefs de projet. Les entreprises ne pouvant pas parrainer directement leurs employés voient dans le SNMP une voie plus rapide que les visas parrainés par l’employeur, souvent retardés par les négociations d’accords de main-d’œuvre.
Le Département de la formation et du développement de la main-d’œuvre de WA invite les futurs migrants à suivre régulièrement la page du SNMP pour les statistiques d’invitation à venir, tout en avertissant que les quotas peuvent s’épuiser rapidement si les allocations fédérales se resserrent en cours d’exercice.








