
La Direction générale de l’aviation civile indienne (DGCA) a adressé une mise en demeure au PDG d’IndiGo, Pieter Elbers, après l’annulation de plus de 2 000 vols entre le 1er et le 7 décembre, une perturbation sans précédent dans l’aviation indienne. Le régulateur pointe du doigt une mauvaise planification liée aux nouvelles limitations du temps de service des pilotes (FDTL) et une couverture insuffisante en avions de réserve.
IndiGo a répondu le 8 décembre, invoquant une « combinaison de facteurs » : nouvelles règles de repos des pilotes, ajustements initiaux du programme hivernal, petits problèmes techniques et congestion du trafic aérien. La compagnie a demandé 15 jours pour fournir une analyse approfondie des causes. La DGCA a accordé une ultime prolongation de 24 heures, tout en avertissant qu’en cas d’explication insatisfaisante, des mesures unilatérales pourraient être prises, incluant des restrictions de routes et des sanctions financières.
Pour les voyageurs d’affaires, les conséquences se traduisent par des files d’attente plus longues à l’immigration, des correspondances internationales manquées et une estimation de 827 crores ₹ en remboursements à prévoir. Les gestionnaires de mobilité réorientent les passagers vers Air India et Vistara et adaptent les protocoles de prise en charge pour intégrer des alertes en temps réel sur les perturbations. Le ministère de l’aviation civile a également demandé aux aéroports de limiter l’attribution des créneaux si la planification des équipages n’est pas stabilisée d’ici le 15 décembre.
IndiGo a répondu le 8 décembre, invoquant une « combinaison de facteurs » : nouvelles règles de repos des pilotes, ajustements initiaux du programme hivernal, petits problèmes techniques et congestion du trafic aérien. La compagnie a demandé 15 jours pour fournir une analyse approfondie des causes. La DGCA a accordé une ultime prolongation de 24 heures, tout en avertissant qu’en cas d’explication insatisfaisante, des mesures unilatérales pourraient être prises, incluant des restrictions de routes et des sanctions financières.
Pour les voyageurs d’affaires, les conséquences se traduisent par des files d’attente plus longues à l’immigration, des correspondances internationales manquées et une estimation de 827 crores ₹ en remboursements à prévoir. Les gestionnaires de mobilité réorientent les passagers vers Air India et Vistara et adaptent les protocoles de prise en charge pour intégrer des alertes en temps réel sur les perturbations. Le ministère de l’aviation civile a également demandé aux aéroports de limiter l’attribution des créneaux si la planification des équipages n’est pas stabilisée d’ici le 15 décembre.











