
Réunion à Bruxelles le 8 décembre 2025, les ministres de la Justice et des Affaires intérieures de l’UE – dont Jim O’Callaghan pour l’Irlande – ont adopté un mandat de négociation pour un nouveau « Système européen de retour » visant à simplifier et renforcer l’éloignement des ressortissants de pays tiers sans droit légal de séjour. Les ministres ont également approuvé une liste commune des pays d’origine sûrs et des critères actualisés pour désigner les « pays tiers sûrs », éléments clés du Pacte européen sur la migration et l’asile.
Pourquoi c’est important pour les entreprises – Bien que les détails opérationnels soient finalisés lors des trilogues l’an prochain, ce système prévoit une décision unique de retour au niveau de l’UE et une meilleure interopérabilité entre les bases de données Schengen et non-Schengen, y compris celles de l’Irlande. Les employeurs doivent s’attendre à une application plus rapide des contrôles des dépassements de séjour et à des vérifications documentaires renforcées dans les ports et aéroports irlandais dès l’entrée en vigueur des règles à la mi-2026.
Mécanisme de solidarité – Le Conseil a également mis en place un « pool de solidarité » combinant relocalisations et contributions financières. L’Irlande, considérée comme « exposée à une pression migratoire », a choisi de verser une contribution de 9,26 millions d’euros plutôt que d’accueillir des relocalisations. L’accès à la Boîte à outils européenne pour la gestion de la migration pourrait financer des technologies supplémentaires de contrôle aux frontières à l’aéroport de Dublin et aux points d’entrée maritimes, impactant potentiellement les procédures de flux de passagers.
Sécurité intérieure – Les ministres ont abordé les menaces liées aux drones et les tendances du trafic de drogue ; l’Irlande a exprimé son soutien à la création de bases de données européennes d’enregistrement des drones, qui pourraient imposer de nouvelles obligations de conformité aux entreprises de logistique assurant des livraisons transfrontalières par drone.
Prochaines étapes – Le Parlement européen devrait voter sur le paquet retour en mars 2026. Les entreprises faisant appel à des talents mobiles hors UE doivent suivre les calendriers de mise en œuvre et revoir leurs politiques de prévention des dépassements de séjour (par exemple, alertes automatisées à l’expiration des visas) pour éviter amendes ou atteinte à leur réputation.
Pourquoi c’est important pour les entreprises – Bien que les détails opérationnels soient finalisés lors des trilogues l’an prochain, ce système prévoit une décision unique de retour au niveau de l’UE et une meilleure interopérabilité entre les bases de données Schengen et non-Schengen, y compris celles de l’Irlande. Les employeurs doivent s’attendre à une application plus rapide des contrôles des dépassements de séjour et à des vérifications documentaires renforcées dans les ports et aéroports irlandais dès l’entrée en vigueur des règles à la mi-2026.
Mécanisme de solidarité – Le Conseil a également mis en place un « pool de solidarité » combinant relocalisations et contributions financières. L’Irlande, considérée comme « exposée à une pression migratoire », a choisi de verser une contribution de 9,26 millions d’euros plutôt que d’accueillir des relocalisations. L’accès à la Boîte à outils européenne pour la gestion de la migration pourrait financer des technologies supplémentaires de contrôle aux frontières à l’aéroport de Dublin et aux points d’entrée maritimes, impactant potentiellement les procédures de flux de passagers.
Sécurité intérieure – Les ministres ont abordé les menaces liées aux drones et les tendances du trafic de drogue ; l’Irlande a exprimé son soutien à la création de bases de données européennes d’enregistrement des drones, qui pourraient imposer de nouvelles obligations de conformité aux entreprises de logistique assurant des livraisons transfrontalières par drone.
Prochaines étapes – Le Parlement européen devrait voter sur le paquet retour en mars 2026. Les entreprises faisant appel à des talents mobiles hors UE doivent suivre les calendriers de mise en œuvre et revoir leurs politiques de prévention des dépassements de séjour (par exemple, alertes automatisées à l’expiration des visas) pour éviter amendes ou atteinte à leur réputation.








