
Lors du International Luxury Travel Market (ILTM) à Cannes, le 7 décembre, le chef économiste de Visa, le Dr Simon Baptist, a dévoilé des données sur les dépenses par carte révélant que le nombre de ménages en Inde gagnant plus de 100 000 dollars américains va augmenter fortement d’ici 2030, dépassant largement la Chine, le Japon et l’Europe.
Ces données anonymisées montrent que les Indiens consacrent une part disproportionnée de leurs dépenses à l’étranger au secteur du commerce de détail, confirmant ainsi la réputation de l’Inde comme un marché sortant à forte valeur pour les marques de luxe et les organisations de promotion touristique. Visa a également souligné que la croissance du PIB indien, à 6 %, contraste nettement avec le ralentissement de l’économie chinoise, ce qui laisse présager une demande extérieure soutenue même si d’autres marchés émergents se tassent.
Pour les équipes en charge de la mobilité internationale, ces résultats sont importants car les comportements de loisirs haut de gamme influencent souvent les attentes en matière de voyages d’affaires : hébergement cinq étoiles, connectivité haut débit et conditions d’annulation flexibles. Les destinations ciblant les voyages d’affaires et les incentives devront peut-être adapter leurs offres aux goûts indiens, comme des suites familiales étendues, des menus végétariens jains et des excursions shopping.
Le réseau de cartes a encouragé les hôteliers à améliorer la qualité du Wi-Fi et l’acceptation des paiements numériques, notant que les secteurs riches en intelligence artificielle créent de nouvelles poches de richesse à Bangalore, Hyderabad et Pune, dont les habitants réservent déjà des suites à l’étranger.
Sans constituer un changement de politique, cet ensemble de données apporte une confirmation chiffrée à ce que les compagnies aériennes et les statistiques de délivrance de visas laissaient entendre depuis plusieurs mois : l’Inde est en passe de devenir le prochain moteur de la mobilité mondiale à forte dépense, et les infrastructures – des salons d’aéroport aux guichets de remboursement de TVA – devront s’adapter en conséquence.
Ces données anonymisées montrent que les Indiens consacrent une part disproportionnée de leurs dépenses à l’étranger au secteur du commerce de détail, confirmant ainsi la réputation de l’Inde comme un marché sortant à forte valeur pour les marques de luxe et les organisations de promotion touristique. Visa a également souligné que la croissance du PIB indien, à 6 %, contraste nettement avec le ralentissement de l’économie chinoise, ce qui laisse présager une demande extérieure soutenue même si d’autres marchés émergents se tassent.
Pour les équipes en charge de la mobilité internationale, ces résultats sont importants car les comportements de loisirs haut de gamme influencent souvent les attentes en matière de voyages d’affaires : hébergement cinq étoiles, connectivité haut débit et conditions d’annulation flexibles. Les destinations ciblant les voyages d’affaires et les incentives devront peut-être adapter leurs offres aux goûts indiens, comme des suites familiales étendues, des menus végétariens jains et des excursions shopping.
Le réseau de cartes a encouragé les hôteliers à améliorer la qualité du Wi-Fi et l’acceptation des paiements numériques, notant que les secteurs riches en intelligence artificielle créent de nouvelles poches de richesse à Bangalore, Hyderabad et Pune, dont les habitants réservent déjà des suites à l’étranger.
Sans constituer un changement de politique, cet ensemble de données apporte une confirmation chiffrée à ce que les compagnies aériennes et les statistiques de délivrance de visas laissaient entendre depuis plusieurs mois : l’Inde est en passe de devenir le prochain moteur de la mobilité mondiale à forte dépense, et les infrastructures – des salons d’aéroport aux guichets de remboursement de TVA – devront s’adapter en conséquence.








