
L’Association finlandaise des pilotes de ligne (SLL) a informé la compagnie nationale Finnair de deux grèves de 24 heures prévues les 9 et 13 décembre, après l’échec des négociations salariales et sur la stabilité des plannings. Une alerte publiée le 29 novembre annonce que ces arrêts de travail entraîneront l’annulation d’environ 300 vols, impactant jusqu’à 39 000 passagers, et pourraient s’intensifier en l’absence d’accord.
Bien que les dates de grève ne respectent pas le délai légal de préavis de deux semaines, Finnair a d’ores et déjà annulé des vols pour limiter les perturbations de dernière minute. La compagnie précise que la capacité de reprogrammation est restreinte, plusieurs hubs européens étant déjà saturés par les retards liés aux conditions hivernales. Les équipes en charge de la mobilité sont donc invitées à revoir les réservations de janvier et février ; les correspondances long-courriers via Helsinki pourraient devoir être redirigées par Copenhague ou Stockholm.
Ce conflit s’inscrit dans une vague plus large de mouvements sociaux dans les secteurs des transports et de la logistique en Finlande, où les syndicats s’opposent aux propositions gouvernementales visant à durcir les règles sur les grèves et à faciliter les licenciements. Pour les employeurs internationaux, les répercussions dépassent les vols passagers : Finnair Cargo alerte sur une réduction de la capacité en soute sur les liaisons Asie-Europe, ce qui pourrait retarder l’acheminement de pièces détachées sensibles et d’échantillons pour essais cliniques transitant par Vantaa.
Face à ces complications de réacheminement, les voyageurs pourraient également se heurter à des exigences imprévues en matière de visas ou de permis de transit en passant par d’autres points d’entrée Schengen. Le portail Finlande de VisaHQ (https://www.visahq.com/finland/) offre des vérifications rapides d’éligibilité, un accompagnement pas à pas pour les demandes et un service de messagerie, aidant ainsi les équipes mobilité à garantir la conformité des employés alors que les horaires de Finnair restent instables.
Les négociations se poursuivent sous l’égide du Conciliateur national, mais les sources internes indiquent que les positions restent très éloignées. En cas d’échec, la SLL pourrait déclencher des grèves tournantes d’une journée chaque semaine au premier trimestre 2026, ce qui porterait atteinte à la réputation d’Helsinki comme hub fiable du Nord. Les responsables mobilité doivent suivre la page dédiée aux dérogations de Finnair, activer les alertes de suivi des voyageurs et rappeler au personnel que les demandes d’indemnisation au titre du règlement EU261 ne s’appliquent que lorsque la perturbation n’est pas causée par une grève organisée annoncée plus de 14 jours à l’avance, limitant ainsi les possibilités de remboursement.
Finnair conseille aux clients ayant des déplacements essentiels d’envisager des solutions intermodales, comme les trains-couchettes VR, pour rejoindre leurs correspondances continentales, ou de reporter ou avancer leurs voyages jusqu’à la mi-décembre si possible. La compagnie mettra à jour quotidiennement sa FAQ sur la grève.
Bien que les dates de grève ne respectent pas le délai légal de préavis de deux semaines, Finnair a d’ores et déjà annulé des vols pour limiter les perturbations de dernière minute. La compagnie précise que la capacité de reprogrammation est restreinte, plusieurs hubs européens étant déjà saturés par les retards liés aux conditions hivernales. Les équipes en charge de la mobilité sont donc invitées à revoir les réservations de janvier et février ; les correspondances long-courriers via Helsinki pourraient devoir être redirigées par Copenhague ou Stockholm.
Ce conflit s’inscrit dans une vague plus large de mouvements sociaux dans les secteurs des transports et de la logistique en Finlande, où les syndicats s’opposent aux propositions gouvernementales visant à durcir les règles sur les grèves et à faciliter les licenciements. Pour les employeurs internationaux, les répercussions dépassent les vols passagers : Finnair Cargo alerte sur une réduction de la capacité en soute sur les liaisons Asie-Europe, ce qui pourrait retarder l’acheminement de pièces détachées sensibles et d’échantillons pour essais cliniques transitant par Vantaa.
Face à ces complications de réacheminement, les voyageurs pourraient également se heurter à des exigences imprévues en matière de visas ou de permis de transit en passant par d’autres points d’entrée Schengen. Le portail Finlande de VisaHQ (https://www.visahq.com/finland/) offre des vérifications rapides d’éligibilité, un accompagnement pas à pas pour les demandes et un service de messagerie, aidant ainsi les équipes mobilité à garantir la conformité des employés alors que les horaires de Finnair restent instables.
Les négociations se poursuivent sous l’égide du Conciliateur national, mais les sources internes indiquent que les positions restent très éloignées. En cas d’échec, la SLL pourrait déclencher des grèves tournantes d’une journée chaque semaine au premier trimestre 2026, ce qui porterait atteinte à la réputation d’Helsinki comme hub fiable du Nord. Les responsables mobilité doivent suivre la page dédiée aux dérogations de Finnair, activer les alertes de suivi des voyageurs et rappeler au personnel que les demandes d’indemnisation au titre du règlement EU261 ne s’appliquent que lorsque la perturbation n’est pas causée par une grève organisée annoncée plus de 14 jours à l’avance, limitant ainsi les possibilités de remboursement.
Finnair conseille aux clients ayant des déplacements essentiels d’envisager des solutions intermodales, comme les trains-couchettes VR, pour rejoindre leurs correspondances continentales, ou de reporter ou avancer leurs voyages jusqu’à la mi-décembre si possible. La compagnie mettra à jour quotidiennement sa FAQ sur la grève.







