
Le ministère finlandais de l’Intérieur a diffusé des consignes d’application aux bureaux locaux de l’immigration après que le président Alexander Stubb a signé des amendements à la loi sur les étrangers, durcissant considérablement les conditions d’obtention du statut de résident permanent (RP) en Finlande. À partir du 8 janvier 2026, la plupart des ressortissants de pays tiers devront justifier de six années consécutives de séjour légal (contre quatre auparavant) avant de pouvoir demander le permis dit P-UE ou le titre de résident permanent national. Le temps passé sous permis étudiant ou autres visas temporaires ne sera pris en compte que si la personne a ensuite travaillé en Finlande pendant au moins deux ans.
La maîtrise de la langue devient également obligatoire. Les candidats devront désormais présenter un certificat national de compétence linguistique (YKI) de niveau A2 en finnois ou en suédois, ou un diplôme reconnu délivré dans l’une de ces langues. Les employeurs souhaitant faire passer leurs collaborateurs de contrats temporaires à un statut de résident permanent doivent donc anticiper des formations et tests linguistiques.
L’autonomie financière constitue un autre pilier de la réforme. Les candidats doivent justifier d’une activité professionnelle continue ou de revenus vérifiables ; les allocations chômage ou aides sociales perçues plus de trois mois au cours des deux années précédant la demande entraîneront un refus automatique. L’Office finlandais de l’immigration (Migri) a précisé que les seules économies bancaires ne suffiront plus, et que fiches de paie, bilans d’entreprise audités ou relevés de pension seront exigés.
VisaHQ facilite cette démarche tant pour les employeurs que pour les candidats. Ses spécialistes Finlande suivent en temps réel chaque évolution réglementaire et aident à rassembler les fiches de paie, déclarations fiscales et certificats linguistiques désormais requis ; ils peuvent aussi organiser des rendez-vous express chez Migri et proposer des alternatives de permis lorsque le RP est inaccessible. Découvrez vos options sur https://www.visahq.com/finland/.
Ces critères renforcés ont une portée politique importante : le gouvernement de coalition à quatre partis s’est engagé à « lier davantage les droits aux responsabilités » dans un contexte économique morose et d’un débat public intense sur l’immigration. Pour les équipes RH internationales, le message est clair : commencez dès maintenant à évaluer l’éligibilité de vos collaborateurs. Les entreprises ayant des travailleurs détachés dont le délai de quatre ans s’achève en 2026 devront peut-être prolonger les missions ou envisager des solutions à l’échelle européenne, comme le permis de transfert intra-entreprise (ICT), pour conserver leurs talents sur place.
Migri indique que les règles transitoires permettront de traiter les demandes de RP déposées avant le 8 janvier 2026 selon le cadre actuel, plus souple, mais prévient d’un risque d’engorgement début 2026, le temps que les nouveaux processus biométriques et de vérification linguistique soient pleinement opérationnels. Les voyageurs d’affaires et expatriés prévoyant un déménagement à long terme sont invités à déposer des dossiers complets bien avant la fermeture des bureaux pour les fêtes de fin d’année afin d’éviter la cohue.
La maîtrise de la langue devient également obligatoire. Les candidats devront désormais présenter un certificat national de compétence linguistique (YKI) de niveau A2 en finnois ou en suédois, ou un diplôme reconnu délivré dans l’une de ces langues. Les employeurs souhaitant faire passer leurs collaborateurs de contrats temporaires à un statut de résident permanent doivent donc anticiper des formations et tests linguistiques.
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