
Les équipes de mobilité internationale disposent enfin de critères clairs concernant la « preuve de maîtrise du français ». Quatre arrêtés datés du 22 décembre et publiés le 26 décembre – mais diffusés aux parties prenantes le 29 décembre – énumèrent les seuls diplômes et tests acceptés pour une demande de carte de séjour ou de nationalité française.
Pour la nationalité (niveau B2), le gouvernement reconnaît le DELF B2, le DALF, le TCF pour la nationalité et le TEF IRN. Pour les cartes de résident de 10 ans (niveau B1) et les cartes pluriannuelles de 4 ans (niveau A2), des versions simplifiées du TCF et du TEF ainsi que certains diplômes professionnels CAP/BEP sont admis. Les certificats doivent dater de moins de deux ans, sauf s’il s’agit d’un diplôme.
Les préfectures appliquaient jusqu’à présent ces règles de manière inégale, contraignant les candidats à repasser des tests coûteux ou à voir leur demande rejetée. Ces nouveaux arrêtés, juridiquement contraignants, devraient mettre fin à cette disparité. Ils imposent également aux organismes de tests de délivrer des résultats numériques sécurisés avec vérification par QR code, permettant aux équipes RH de téléverser les preuves directement sur le portail en ligne ANEF.
Le service France de VisaHQ peut grandement alléger cette charge administrative : son équipe suit en continu les consignes préfectorales, organise les tests de langue accrédités et télécharge les résultats QR codés directement dans le système ANEF pour ses clients. Pour en savoir plus sur son accompagnement complet pour la carte de séjour et la naturalisation, rendez-vous sur https://www.visahq.com/france/.
Les employeurs parrainant des renouvellements de Passeport Talent doivent vérifier leurs dossiers : les salariés ayant fourni des certificats anciens pourraient devoir passer un test actualisé lors de leur prochaine demande de prolongation. Les organismes de formation linguistique proposent déjà des programmes accélérés B1 à Paris, Lyon et Toulouse, anticipant cette demande.
À moyen terme, cette harmonisation devrait accélérer les délais de traitement – actuellement en moyenne de 63 jours pour les cartes de travailleurs qualifiés – en limitant les échanges entre préfectures et candidats. Les responsables mobilité doivent mettre à jour leurs checklists internes et prévoir un budget de 170 à 250 € par salarié pour les tests reconnus.
Pour la nationalité (niveau B2), le gouvernement reconnaît le DELF B2, le DALF, le TCF pour la nationalité et le TEF IRN. Pour les cartes de résident de 10 ans (niveau B1) et les cartes pluriannuelles de 4 ans (niveau A2), des versions simplifiées du TCF et du TEF ainsi que certains diplômes professionnels CAP/BEP sont admis. Les certificats doivent dater de moins de deux ans, sauf s’il s’agit d’un diplôme.
Les préfectures appliquaient jusqu’à présent ces règles de manière inégale, contraignant les candidats à repasser des tests coûteux ou à voir leur demande rejetée. Ces nouveaux arrêtés, juridiquement contraignants, devraient mettre fin à cette disparité. Ils imposent également aux organismes de tests de délivrer des résultats numériques sécurisés avec vérification par QR code, permettant aux équipes RH de téléverser les preuves directement sur le portail en ligne ANEF.
Le service France de VisaHQ peut grandement alléger cette charge administrative : son équipe suit en continu les consignes préfectorales, organise les tests de langue accrédités et télécharge les résultats QR codés directement dans le système ANEF pour ses clients. Pour en savoir plus sur son accompagnement complet pour la carte de séjour et la naturalisation, rendez-vous sur https://www.visahq.com/france/.
Les employeurs parrainant des renouvellements de Passeport Talent doivent vérifier leurs dossiers : les salariés ayant fourni des certificats anciens pourraient devoir passer un test actualisé lors de leur prochaine demande de prolongation. Les organismes de formation linguistique proposent déjà des programmes accélérés B1 à Paris, Lyon et Toulouse, anticipant cette demande.
À moyen terme, cette harmonisation devrait accélérer les délais de traitement – actuellement en moyenne de 63 jours pour les cartes de travailleurs qualifiés – en limitant les échanges entre préfectures et candidats. Les responsables mobilité doivent mettre à jour leurs checklists internes et prévoir un budget de 170 à 250 € par salarié pour les tests reconnus.








