
Berlin a discrètement prolongé les contrôles « temporaires » qu’elle avait réintroduits en septembre à ses neuf frontières terrestres, en publiant l’avis de prolongation dans le Bundesanzeiger le 26 décembre. Cette mesure signifie que les agents de la Bundespolizei continueront à effectuer des contrôles d’identité ponctuels sur les voitures, autocars et trains en provenance des pays voisins — y compris la République tchèque — au moins jusqu’au 15 mars 2026.
Pour les quelque 40 000 Tchèques qui font quotidiennement la navette vers les usines et bureaux en Bavière et en Saxe, cette décision se traduit par des temps de trajet plus longs et moins prévisibles. Des files d’attente de 30 à 45 minutes ont déjà été signalées sur l’autoroute D5 (Rozvadov–Waidhaus) et sur la ligne ferroviaire Dresde–Prague. Les entreprises de logistique déplorent que les livraisons just-in-time nécessitent désormais des marges plus larges, ce qui alourdit les coûts dans les chaînes d’approvisionnement automobile et électronique.
Du point de vue de la conformité, les voyageurs doivent être munis de leur passeport ou carte d’identité nationale ainsi que de documents justifiant le motif du déplacement — contrats de travail, formulaires A1 de sécurité sociale ou lettres d’invitation. Les employeurs rappellent aux travailleurs détachés que le dépassement des limites Schengen entre les points de contrôle d’identité peut entraîner des amendes.
Face à ces exigences renforcées, le portail en ligne de VisaHQ — qui comprend une section dédiée à la République tchèque sur https://www.visahq.com/czech-republic/ — peut aider les navetteurs, travailleurs détachés et équipes de mobilité d’entreprise à vérifier les listes de documents, télécharger les formulaires A1 et rester informés des règles Schengen, réduisant ainsi le risque de retards lors des contrôles allemands.
Les contrôles aux frontières compliquent également la planification des déplacements professionnels. Les responsables mobilité conseillent au personnel de prévoir au moins une heure supplémentaire pour leurs trajets et de conserver des copies numériques des documents clés sur leur téléphone. Les entreprises à forte fréquence de passages frontaliers envisagent des navettes avec des listes de passagers préalablement validées pour faciliter les inspections.
Berlin affirme que ces contrôles répondent à la migration irrégulière sur la route des Balkans et à des cas récents de trafic de personnes. Cependant, les responsables politiques à Prague mettent en garde contre le risque que ces contrôles prolongés compromettent l’intégration économique des régions frontalières et ont appelé la Commission européenne à examiner cette prolongation.
Pour les quelque 40 000 Tchèques qui font quotidiennement la navette vers les usines et bureaux en Bavière et en Saxe, cette décision se traduit par des temps de trajet plus longs et moins prévisibles. Des files d’attente de 30 à 45 minutes ont déjà été signalées sur l’autoroute D5 (Rozvadov–Waidhaus) et sur la ligne ferroviaire Dresde–Prague. Les entreprises de logistique déplorent que les livraisons just-in-time nécessitent désormais des marges plus larges, ce qui alourdit les coûts dans les chaînes d’approvisionnement automobile et électronique.
Du point de vue de la conformité, les voyageurs doivent être munis de leur passeport ou carte d’identité nationale ainsi que de documents justifiant le motif du déplacement — contrats de travail, formulaires A1 de sécurité sociale ou lettres d’invitation. Les employeurs rappellent aux travailleurs détachés que le dépassement des limites Schengen entre les points de contrôle d’identité peut entraîner des amendes.
Face à ces exigences renforcées, le portail en ligne de VisaHQ — qui comprend une section dédiée à la République tchèque sur https://www.visahq.com/czech-republic/ — peut aider les navetteurs, travailleurs détachés et équipes de mobilité d’entreprise à vérifier les listes de documents, télécharger les formulaires A1 et rester informés des règles Schengen, réduisant ainsi le risque de retards lors des contrôles allemands.
Les contrôles aux frontières compliquent également la planification des déplacements professionnels. Les responsables mobilité conseillent au personnel de prévoir au moins une heure supplémentaire pour leurs trajets et de conserver des copies numériques des documents clés sur leur téléphone. Les entreprises à forte fréquence de passages frontaliers envisagent des navettes avec des listes de passagers préalablement validées pour faciliter les inspections.
Berlin affirme que ces contrôles répondent à la migration irrégulière sur la route des Balkans et à des cas récents de trafic de personnes. Cependant, les responsables politiques à Prague mettent en garde contre le risque que ces contrôles prolongés compromettent l’intégration économique des régions frontalières et ont appelé la Commission européenne à examiner cette prolongation.









