
Une profonde dépression atlantique, surnommée par les météorologues le « cyclone de Noël », a traversé la péninsule italienne entre le 26 et le 27 décembre, déchaînant des vents dépassant les 70 km/h et perturbant fortement l’afflux de voyageurs de fin d’année. Les perturbations les plus importantes ont été enregistrées à Florence-Peretola (FLR), où des vents latéraux et une faible visibilité ont contraint les autorités aéroportuaires à annuler ou retarder lourdement sept départs samedi soir et dimanche matin. Des centaines de passagers, déjà embarqués, ont dû débarquer et passer la nuit dans le terminal 2 ou dans des hôtels à proximité. Les compagnies aériennes ont appliqué le règlement européen 261/2004, proposant réacheminements ou hébergement, mais de nombreux voyageurs ont tout de même subi des retards allant jusqu’à 12 heures, les places sur les correspondances vers Bologne et Rome s’étant rapidement épuisées.
Les répercussions se sont fait sentir bien au-delà de la Toscane. La Protection civile italienne a émis une alerte rouge pour l’Émilie-Romagne et des alertes orange pour la Ligurie, la Lombardie, la Vénétie, les Marches et certaines zones de Toscane, signalant que des rafales violentes pouvaient faire tomber des échafaudages et rendre les cols montagneux impraticables. Trenitalia a imposé une limitation de vitesse préventive à 140 km/h sur les lignes à grande vitesse Bologne-Milan et Florence-Rome, rallongeant les temps de trajet habituels de 20 à 40 minutes. L’opérateur autoroutier Autostrade per l’Italia a conseillé aux automobilistes de reporter les déplacements non essentiels sur les autoroutes A1 et A14, déployant des équipes de déneigement sur le tronçon des Apennins entre Barberino et Roncobilaccio.
Les responsables des déplacements professionnels sont une nouvelle fois rappelés à la rapidité avec laquelle les extrêmes météorologiques en Italie peuvent perturber la mobilité. Décembre est habituellement une « saison creuse » pour les voyages d’affaires, mais la popularité croissante des semaines de télétravail depuis n’importe où a entraîné une hausse des réservations de vols de dernière minute pour rentrer chez soi pendant les fêtes. Les employeurs ayant des salariés détachés ou en rotation doivent revoir leurs protocoles de devoir de diligence : le règlement européen 261 garantit repas, hébergement et remboursements, mais les voyageurs peuvent encore avoir besoin d’avances de fonds ou d’un soutien d’urgence lorsque les correspondances ou les locations de voiture sont annulées.
Si les démarches administratives deviennent un obstacle supplémentaire, une aide spécialisée peut alléger la charge. VisaHQ, par exemple, propose une assistance complète pour les visas italiens, le renouvellement des permis de séjour et la reprogrammation d’urgence des rendez-vous — des services précieux lorsque les perturbations météorologiques bouleversent des plannings soigneusement établis. Leur portail Italie (https://www.visahq.com/italy/) permet aux voyageurs et aux équipes mobilité de suivre les demandes en temps réel et d’organiser des collectes par coursier, garantissant que les questions de conformité ne s’aggravent pas parallèlement aux annulations de vols.
Du point de vue de la conformité en matière d’immigration, manquer un rendez-vous dans les bureaux de la police des étrangers (Questura) peut coûter cher. Plusieurs ressortissants non-européens ont signalé ne pas avoir pu récupérer leur carte de séjour à Florence le 27 décembre en raison de la suspension des trains locaux. Le ministère de l’Intérieur a confirmé tard dimanche que les demandeurs empêchés d’assister à leur rendez-vous biométrique pour cause de conditions météorologiques peuvent demander une reprogrammation sans pénalité, à condition de déposer une déclaration écrite dans les 48 heures. Les employeurs doivent diffuser cette information sans délai auprès de leurs collaborateurs étrangers.
Les météorologues prévoient un affaiblissement du cyclone lors de son passage sur les Balkans le 29 décembre, mais une seconde dépression se forme sur le golfe du Lion et pourrait atteindre le nord de l’Italie pour le réveillon du Nouvel An. Les équipes mobilité des entreprises doivent donc maintenir leurs plans de contingence — billets flexibles, itinéraires ferroviaires alternatifs et options de télétravail — au moins jusqu’au 2 janvier. Cet épisode illustre une tendance plus large : les événements météorologiques extrêmes se multiplient en Italie et deviennent un facteur déterminant dans l’évaluation des risques liés aux déplacements dans les programmes de mobilité internationale.
Les répercussions se sont fait sentir bien au-delà de la Toscane. La Protection civile italienne a émis une alerte rouge pour l’Émilie-Romagne et des alertes orange pour la Ligurie, la Lombardie, la Vénétie, les Marches et certaines zones de Toscane, signalant que des rafales violentes pouvaient faire tomber des échafaudages et rendre les cols montagneux impraticables. Trenitalia a imposé une limitation de vitesse préventive à 140 km/h sur les lignes à grande vitesse Bologne-Milan et Florence-Rome, rallongeant les temps de trajet habituels de 20 à 40 minutes. L’opérateur autoroutier Autostrade per l’Italia a conseillé aux automobilistes de reporter les déplacements non essentiels sur les autoroutes A1 et A14, déployant des équipes de déneigement sur le tronçon des Apennins entre Barberino et Roncobilaccio.
Les responsables des déplacements professionnels sont une nouvelle fois rappelés à la rapidité avec laquelle les extrêmes météorologiques en Italie peuvent perturber la mobilité. Décembre est habituellement une « saison creuse » pour les voyages d’affaires, mais la popularité croissante des semaines de télétravail depuis n’importe où a entraîné une hausse des réservations de vols de dernière minute pour rentrer chez soi pendant les fêtes. Les employeurs ayant des salariés détachés ou en rotation doivent revoir leurs protocoles de devoir de diligence : le règlement européen 261 garantit repas, hébergement et remboursements, mais les voyageurs peuvent encore avoir besoin d’avances de fonds ou d’un soutien d’urgence lorsque les correspondances ou les locations de voiture sont annulées.
Si les démarches administratives deviennent un obstacle supplémentaire, une aide spécialisée peut alléger la charge. VisaHQ, par exemple, propose une assistance complète pour les visas italiens, le renouvellement des permis de séjour et la reprogrammation d’urgence des rendez-vous — des services précieux lorsque les perturbations météorologiques bouleversent des plannings soigneusement établis. Leur portail Italie (https://www.visahq.com/italy/) permet aux voyageurs et aux équipes mobilité de suivre les demandes en temps réel et d’organiser des collectes par coursier, garantissant que les questions de conformité ne s’aggravent pas parallèlement aux annulations de vols.
Du point de vue de la conformité en matière d’immigration, manquer un rendez-vous dans les bureaux de la police des étrangers (Questura) peut coûter cher. Plusieurs ressortissants non-européens ont signalé ne pas avoir pu récupérer leur carte de séjour à Florence le 27 décembre en raison de la suspension des trains locaux. Le ministère de l’Intérieur a confirmé tard dimanche que les demandeurs empêchés d’assister à leur rendez-vous biométrique pour cause de conditions météorologiques peuvent demander une reprogrammation sans pénalité, à condition de déposer une déclaration écrite dans les 48 heures. Les employeurs doivent diffuser cette information sans délai auprès de leurs collaborateurs étrangers.
Les météorologues prévoient un affaiblissement du cyclone lors de son passage sur les Balkans le 29 décembre, mais une seconde dépression se forme sur le golfe du Lion et pourrait atteindre le nord de l’Italie pour le réveillon du Nouvel An. Les équipes mobilité des entreprises doivent donc maintenir leurs plans de contingence — billets flexibles, itinéraires ferroviaires alternatifs et options de télétravail — au moins jusqu’au 2 janvier. Cet épisode illustre une tendance plus large : les événements météorologiques extrêmes se multiplient en Italie et deviennent un facteur déterminant dans l’évaluation des risques liés aux déplacements dans les programmes de mobilité internationale.







