
Le ministère de l’Intérieur a confirmé la signature de deux nouveaux accords bilatéraux de réadmission permettant au Royaume-Uni de renvoyer vers l’Angola et la Namibie les ressortissants étrangers sans droit légal de séjour. Ces accords font suite à plusieurs semaines de diplomatie discrète menée par la ministre de l’Intérieur, Shabana Mahmood, qui a indiqué aux envoyés que la coopération sur les expulsions constitue désormais un test clé des relations plus larges avec Londres. Selon ces accords, les gouvernements angolais et namibiens se sont engagés à délivrer des documents de voyage d’urgence sous cinq jours ouvrables et à accepter des vols affrétés transportant des groupes plus importants de personnes rapatriées.
Parallèlement, le Royaume-Uni a activé pour la première fois les pouvoirs prévus par la loi sur la nationalité et les frontières de 2022 pour imposer des sanctions sur les visas aux États non coopératifs. Le traitement accéléré des visas pour les voyageurs de la République démocratique du Congo (RDC) a été suspendu, et les hauts responsables congolais ont perdu l’accès aux services prioritaires après que Kinshasa a à plusieurs reprises refusé d’accepter des vols d’expulsion. Mahmood a averti que ces mesures pourraient être renforcées jusqu’à un embargo total sur les visas si la coopération ne s’améliore pas.
Bien que les modalités des expulsions fassent rarement la une, elles revêtent une grande importance pour les employeurs internationaux. Les entreprises qui sponsorisent des employés étrangers peuvent voir leurs visas de travail restreints si leurs salariés dépassent la durée légale de séjour ; inversement, des expulsions plus rapides réduisent le risque que les personnes en situation irrégulière s’enracinent dans l’économie informelle. Les services RH doivent donc noter que la politique de contrôle se durcit et que les employés doivent impérativement maintenir un statut légal en permanence.
Par ailleurs, les organisations cherchant à s’adapter aux évolutions des régimes de visas peuvent s’appuyer sur l’expertise de VisaHQ ; le portail britannique (https://www.visahq.com/united-kingdom/) offre des mises à jour en temps réel, des listes de documents et un accompagnement complet pour les demandes de visa des personnels venant d’Angola, de Namibie, de RDC et d’autres pays, aidant ainsi les entreprises à rester en conformité et à limiter les perturbations liées aux déplacements.
Ces accords illustrent également l’approche plus transactionnelle du gouvernement travailliste en matière de diplomatie migratoire. La ministre des Affaires étrangères, Yvette Cooper, a demandé aux missions britanniques dans le monde de donner la priorité aux négociations sur les expulsions, promettant des incitations commerciales et d’aide aux partenaires qui contribuent à réduire les flux irréguliers. Depuis juillet 2024, le Royaume-Uni affirme avoir expulsé plus de 50 000 personnes sans droit de séjour, soit une hausse de 23 % par rapport à l’année précédente.
Concrètement, les ressortissants angolais et namibiens ne devraient pas constater de changements au quotidien, sauf en cas de non-respect des règles d’immigration. En revanche, les voyageurs d’affaires congolais doivent s’attendre à des délais de traitement plus longs et à des frais accrus, et les responsables de la mobilité internationale pourraient envisager de planifier leurs réunions via des hubs voisins tant que ces sanctions restent en vigueur.
Parallèlement, le Royaume-Uni a activé pour la première fois les pouvoirs prévus par la loi sur la nationalité et les frontières de 2022 pour imposer des sanctions sur les visas aux États non coopératifs. Le traitement accéléré des visas pour les voyageurs de la République démocratique du Congo (RDC) a été suspendu, et les hauts responsables congolais ont perdu l’accès aux services prioritaires après que Kinshasa a à plusieurs reprises refusé d’accepter des vols d’expulsion. Mahmood a averti que ces mesures pourraient être renforcées jusqu’à un embargo total sur les visas si la coopération ne s’améliore pas.
Bien que les modalités des expulsions fassent rarement la une, elles revêtent une grande importance pour les employeurs internationaux. Les entreprises qui sponsorisent des employés étrangers peuvent voir leurs visas de travail restreints si leurs salariés dépassent la durée légale de séjour ; inversement, des expulsions plus rapides réduisent le risque que les personnes en situation irrégulière s’enracinent dans l’économie informelle. Les services RH doivent donc noter que la politique de contrôle se durcit et que les employés doivent impérativement maintenir un statut légal en permanence.
Par ailleurs, les organisations cherchant à s’adapter aux évolutions des régimes de visas peuvent s’appuyer sur l’expertise de VisaHQ ; le portail britannique (https://www.visahq.com/united-kingdom/) offre des mises à jour en temps réel, des listes de documents et un accompagnement complet pour les demandes de visa des personnels venant d’Angola, de Namibie, de RDC et d’autres pays, aidant ainsi les entreprises à rester en conformité et à limiter les perturbations liées aux déplacements.
Ces accords illustrent également l’approche plus transactionnelle du gouvernement travailliste en matière de diplomatie migratoire. La ministre des Affaires étrangères, Yvette Cooper, a demandé aux missions britanniques dans le monde de donner la priorité aux négociations sur les expulsions, promettant des incitations commerciales et d’aide aux partenaires qui contribuent à réduire les flux irréguliers. Depuis juillet 2024, le Royaume-Uni affirme avoir expulsé plus de 50 000 personnes sans droit de séjour, soit une hausse de 23 % par rapport à l’année précédente.
Concrètement, les ressortissants angolais et namibiens ne devraient pas constater de changements au quotidien, sauf en cas de non-respect des règles d’immigration. En revanche, les voyageurs d’affaires congolais doivent s’attendre à des délais de traitement plus longs et à des frais accrus, et les responsables de la mobilité internationale pourraient envisager de planifier leurs réunions via des hubs voisins tant que ces sanctions restent en vigueur.










