
La page du ministère autrichien des Affaires étrangères consacrée au Mali a été mise à jour avec un cachet daté du 27 décembre 2025, maintenant un niveau 4 d’alerte nationale en vigueur depuis 2020. L’avertissement souligne la persistance des menaces terroristes, des enlèvements et l’absence de contrôle étatique fiable en dehors de Bamako.
Par conséquent, tous les déplacements professionnels en entreprise vers le Mali sont interdits selon la plupart des politiques de devoir de diligence des employeurs.
Les voyageurs qui doivent néanmoins se renseigner sur les règles d’entrée futures ou obtenir des documents d’urgence peuvent utiliser le portail autrichien de VisaHQ (https://www.visahq.com/austria/), qui offre des mises à jour en temps réel sur les exigences consulaires et peut organiser des visas accélérés, des renouvellements de passeport et d’autres services consulaires — idéal pour les entreprises préparant des plans de contingence en vue d’une amélioration de la situation.
Le ministère des Affaires étrangères rappelle que l’assistance consulaire est très limitée et que les assurances évacuation sanitaire peuvent être invalides dans les zones de conflit actif.
Les entreprises autrichiennes d’ingénierie et d’exploitation minière employant du personnel local sont invitées à s’appuyer sur des partenaires sécuritaires sur place pour obtenir les autorisations de déplacement et tester des solutions de télétravail.
Les responsables de la chaîne d’approvisionnement doivent s’attendre à de nouvelles perturbations sur le corridor Bamako–Dakar, suite aux récentes attaques contre des ponts dans l’ouest du Mali.
L’avis met également en garde contre les graves limitations des infrastructures médicales ; même une maladie courante peut nécessiter une évacuation aérienne coûteuse vers Dakar ou l’Europe. Les entreprises doivent donc vérifier leur couverture Medevac et leurs contrats préalables avec des ambulances aériennes.
Enfin, compte tenu des sanctions de la CEDEAO qui compliquent toujours le commerce régional, les exportateurs autrichiens sont invités à consulter leurs transitaires pour privilégier un acheminement longue distance via Abidjan plutôt que par le port instable de Conakry.
Par conséquent, tous les déplacements professionnels en entreprise vers le Mali sont interdits selon la plupart des politiques de devoir de diligence des employeurs.
Les voyageurs qui doivent néanmoins se renseigner sur les règles d’entrée futures ou obtenir des documents d’urgence peuvent utiliser le portail autrichien de VisaHQ (https://www.visahq.com/austria/), qui offre des mises à jour en temps réel sur les exigences consulaires et peut organiser des visas accélérés, des renouvellements de passeport et d’autres services consulaires — idéal pour les entreprises préparant des plans de contingence en vue d’une amélioration de la situation.
Le ministère des Affaires étrangères rappelle que l’assistance consulaire est très limitée et que les assurances évacuation sanitaire peuvent être invalides dans les zones de conflit actif.
Les entreprises autrichiennes d’ingénierie et d’exploitation minière employant du personnel local sont invitées à s’appuyer sur des partenaires sécuritaires sur place pour obtenir les autorisations de déplacement et tester des solutions de télétravail.
Les responsables de la chaîne d’approvisionnement doivent s’attendre à de nouvelles perturbations sur le corridor Bamako–Dakar, suite aux récentes attaques contre des ponts dans l’ouest du Mali.
L’avis met également en garde contre les graves limitations des infrastructures médicales ; même une maladie courante peut nécessiter une évacuation aérienne coûteuse vers Dakar ou l’Europe. Les entreprises doivent donc vérifier leur couverture Medevac et leurs contrats préalables avec des ambulances aériennes.
Enfin, compte tenu des sanctions de la CEDEAO qui compliquent toujours le commerce régional, les exportateurs autrichiens sont invités à consulter leurs transitaires pour privilégier un acheminement longue distance via Abidjan plutôt que par le port instable de Conakry.








