
Les voyageurs italiens risquent de troquer la joie de Noël contre de longues files d’attente aux aéroports, alors qu’une nouvelle vague de grèves menace la période festive. Le quotidien turinois CronacaQui rapporte que les équipes au sol et le personnel de cabine au Royaume-Uni, en Espagne **et en Italie** ont déjà entamé des mouvements de grève, la principale perturbation en Italie étant prévue pour le 9 janvier.
Le syndicat CUB Trasporti a appelé à une action nationale de quatre heures (de 13h00 à 17h00) touchant les agents de piste, le personnel d’enregistrement et les contrôleurs de sécurité. Par ailleurs, les employés de Swissport Italia à Milan-Linate cesseront le travail pendant 24 heures le même jour.
Bien que des plages horaires de « service garanti » protègent les vols tôt le matin et en soirée, les rotations en milieu de journée, très prisées des voyageurs d’affaires, sont menacées. L’ENAC a demandé aux compagnies aériennes de soumettre des horaires révisés avant le 3 janvier afin de pouvoir réorganiser la protection des passagers à l’avance. Ces grèves font suite à une série de conflits liés à l’inflation salariale : les agents de manutention estiment que l’augmentation de 6 % du coût de la vie en 2024 a été annulée par une inflation dépassant 8 % à Milan et Rome.
En cas de réacheminement imprévu ou d’escales prolongées nécessitant des documents de voyage supplémentaires — comme un visa de transit pour un hub hors UE — VisaHQ peut intervenir rapidement. Via son portail dédié à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/), les voyageurs et les équipes de mobilité d’entreprise peuvent télécharger leurs passeports, suivre le traitement en temps réel et organiser une prise en charge accélérée par coursier, simplifiant ainsi les démarches pour que les passagers se concentrent sur la gestion des changements liés à la grève.
Les perturbations pourraient se prolonger jusqu’en janvier. Le personnel du contrôle aérien d’Enav à Vérone a annoncé une manifestation pour le 31 janvier, tandis que les équipes au sol de Bologne et Venise envisagent une action coordonnée si les négociations salariales n’avancent pas. Ryanair et ITA Airways ont annoncé qu’elles offriront des modifications de date gratuites pour les vols desservant les aéroports concernés entre le 8 et le 10 janvier.
Pour les entreprises, la leçon est claire : prévoir des marges de manœuvre dans les itinéraires en réservant des billets entièrement flexibles, inciter les employés à s’enregistrer en ligne la veille et envisager des alternatives ferroviaires sur les grandes lignes comme Milan–Rome, où les trains à grande vitesse relient les deux villes en moins de trois heures. Les responsables mobilité doivent également rappeler que la compensation prévue par le règlement EU261/2004 ne s’applique pas aux grèves considérées comme des « circonstances extraordinaires », ce qui signifie que les entreprises doivent prendre en charge les frais d’hébergement ou de réacheminement si leurs politiques internes exigent une prise en charge des salariés.
Le syndicat CUB Trasporti a appelé à une action nationale de quatre heures (de 13h00 à 17h00) touchant les agents de piste, le personnel d’enregistrement et les contrôleurs de sécurité. Par ailleurs, les employés de Swissport Italia à Milan-Linate cesseront le travail pendant 24 heures le même jour.
Bien que des plages horaires de « service garanti » protègent les vols tôt le matin et en soirée, les rotations en milieu de journée, très prisées des voyageurs d’affaires, sont menacées. L’ENAC a demandé aux compagnies aériennes de soumettre des horaires révisés avant le 3 janvier afin de pouvoir réorganiser la protection des passagers à l’avance. Ces grèves font suite à une série de conflits liés à l’inflation salariale : les agents de manutention estiment que l’augmentation de 6 % du coût de la vie en 2024 a été annulée par une inflation dépassant 8 % à Milan et Rome.
En cas de réacheminement imprévu ou d’escales prolongées nécessitant des documents de voyage supplémentaires — comme un visa de transit pour un hub hors UE — VisaHQ peut intervenir rapidement. Via son portail dédié à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/), les voyageurs et les équipes de mobilité d’entreprise peuvent télécharger leurs passeports, suivre le traitement en temps réel et organiser une prise en charge accélérée par coursier, simplifiant ainsi les démarches pour que les passagers se concentrent sur la gestion des changements liés à la grève.
Les perturbations pourraient se prolonger jusqu’en janvier. Le personnel du contrôle aérien d’Enav à Vérone a annoncé une manifestation pour le 31 janvier, tandis que les équipes au sol de Bologne et Venise envisagent une action coordonnée si les négociations salariales n’avancent pas. Ryanair et ITA Airways ont annoncé qu’elles offriront des modifications de date gratuites pour les vols desservant les aéroports concernés entre le 8 et le 10 janvier.
Pour les entreprises, la leçon est claire : prévoir des marges de manœuvre dans les itinéraires en réservant des billets entièrement flexibles, inciter les employés à s’enregistrer en ligne la veille et envisager des alternatives ferroviaires sur les grandes lignes comme Milan–Rome, où les trains à grande vitesse relient les deux villes en moins de trois heures. Les responsables mobilité doivent également rappeler que la compensation prévue par le règlement EU261/2004 ne s’applique pas aux grèves considérées comme des « circonstances extraordinaires », ce qui signifie que les entreprises doivent prendre en charge les frais d’hébergement ou de réacheminement si leurs politiques internes exigent une prise en charge des salariés.








